Tarare (Rhône)





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Tarare (Rhône)

Blason de Tarare
Blason

Tarare (Rhône)
Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Auvergne-Rhône-Alpes

Département

Rhône

Arrondissement

Villefranche-sur-Saône

Canton

Tarare
(chef-lieu)

Intercommunalité

Communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien

Maire
Mandat
Bruno Peylachon
2014-2020

Code postal
69170

Code commune
69243
Démographie

Gentilé
Tarariens et Tarariennes

Population
municipale
10 639 hab. (2015 en augmentation de 2,96 % par rapport à 2010)
Densité 760 hab./km2
Géographie

Coordonnées

45° 53′ 49″ nord, 4° 26′ 02″ est

Altitude
Min. 350 m
Max. 727 m

Superficie
13,99 km2
Localisation


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Liens

Site web

ville-tarare.fr


Tarare est une commune française, située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Communes voisines




  • 2 Histoire


    • 2.1 Une petite ville industrielle, « cité de la mousseline » et « capitale du rideau »


    • 2.2 La patrie du Taraflex


    • 2.3 Les difficultés d'une reconversion




  • 3 Héraldique


  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Liste des maires


    • 4.2 Administration municipale


    • 4.3 Tendances politiques et résultats


    • 4.4 Intercommunalité


    • 4.5 Finances locales




  • 5 Jumelages


  • 6 Démographie


  • 7 Économie


  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


    • 8.2 Espaces verts et fleurissement


    • 8.3 Médias


      • 8.3.1 Presse locale


      • 8.3.2 Radios FM


      • 8.3.3 Radio numérique terrestre


      • 8.3.4 Télévision






  • 9 Personnalités liées à la commune


  • 10 Quartiers


  • 11 Sports


  • 12 Événements principaux


  • 13 infrastructures de proximités


  • 14 Associations


  • 15 Voir aussi


    • 15.1 Articles connexes


    • 15.2 Lien externe




  • 16 Notes et références


    • 16.1 Notes


    • 16.2 Références


    • 16.3 Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes







Géographie |


Tarare est une ville du département du Rhône située à 40 km au nord-ouest de Lyon. La ville est placée à mi-chemin entre Lyon et Roanne (Loire), sur les rivières de la Turdine et du Taret. La ville est construite sur un relief marqué à la limite nord des monts de Tarare. Elle est également aux portes du Beaujolais.



Communes voisines |



  • Affoux

  • Ancy

  • Dareizé

  • Dième

  • Joux

  • Les Olmes

  • Les Sauvages

  • Pontcharra-sur-Turdine

  • Saint-Appolinaire

  • Saint-Clément-sur-Valsonne

  • Saint-Forgeux

  • Saint-Loup

  • Saint-Marcel-l'Éclairé

  • Saint-Romain-de-Popey

  • Valsonne

  • Violay


Parmi ces dernières, sont limitrophes :























Rose des vents
Les Sauvages

Valsonne

Saint-Clément-sur-Valsonne
Rose des vents

Joux

N

Dareizé

O    Tarare    E

S


Saint-Marcel-l'Éclairé, Saint-Forgeux

Saint-Loup



Histoire |


La ville est créée au début du XIIe siècle, en tant que prieuré de Tarare par l'abbaye de Savigny. Il n'y vit alors que des tisserands, cordonniers ou tanneurs, mais aussi quelques petits marchands ou aubergistes.Toutefois, il semble que la famille De Tarare ait été liée plusieurs siècles durant à la vie et au développement de la commune[1].


Au XVIe siècle des pestes décimèrent la population au point que le consulat de Lyon ordonne « qu'il serait fait une quête particulière dans la ville pour subvenir aux besoins des pauvres pestiférés de Tarare »[2].



Une petite ville industrielle, « cité de la mousseline » et « capitale du rideau » |


Durant la seconde moitié du XVIIIe siècle, la ville prend son envol grâce à la fabrication de la mousseline, puis un siècle plus tard lance en parallèle la fabrication de peluches et velours, elle participe notamment à l'exposition industrielle de Paris en 1855 et à celle de Londres en 1862. Tarare se tourne ensuite vers l'industrie teinturière.


La ville compte plus de 15 000 habitants en 1866 et se munit d'une voie de chemins de fer (Lyon-Roanne), d'un viaduc, d'une église (église Saint-André), d'écoles et de nombreuses nouvelles usines.




Le centre-ville de la commune en été.


Au milieu du XIXe siècle, une énorme bâtisse (toujours visible aujourd'hui à l'entrée Est de la ville) abrite le travail de jeunes ouvrières d'origine rurale, dans un "couvent-usine" où l'encadrement est assuré par des religieuses qui aident à convaincre les familles de laisser partir leurs jeunes filles vers le travail industriel[3].


Le dix-neuvième siècle est l'époque des fibres naturelles dans l'industrie textile (lins, cotons). Dans les années 1930, se développe la production d'articles à base de rayonne et tous les composés en viscose qui en découlent. À partir des années 1950, un véritable renouveau s'opère avec le voile Tergal, fabriqué à partir de polyester. Tarare devient la capitale française du rideau, assurant près de 80 % de la production nationale.


À côté du rideau, l'industrie textile est déclinée dans le tissu éponge, la confection, la teinturerie… pratiquée par une dizaine d'entreprises familiales et un réseau d'ateliers ou petites usines de sous-traitance. L'industrie textile occupe une main-d'œuvre nombreuse, en bonne part féminine, résidant non seulement à Tarare mais dans les communes agricoles environnantes. Pour de nombreuses familles, le travail posté en usine (on dit, localement: "faire équipe") constitue une deuxième source de revenu, pour l'homme ou la femme, en complément de l'exploitation agricole.


Depuis 1950, tous les cinq ans, les Tarariens fêtent l'industrie textile pendant trois jours, baptisée "Fête des Mousselines", même si ce textile, ou la tarlatane qui la remplace pour pavoiser la ville, ne sont plus fabriquées sur place.



La patrie du Taraflex |


Dès 1947, une famille d'industriels tarariens, les Doligez, héritiers de la famille Champier[4], spécialisée dans la teinturerie textile, diversifie ses investissements en créant une activité de plasturgie au sein de la firme Blanchiment et apprêts de Tarare (BAT). Cette entreprise, dont la gestion est laissée dès l'origine à des ingénieurs spécialement recrutés pour ce nouveau métier[5], développe une gamme de produits de revêtement de sol en matière plastique, révolutionnaire pour l'époque. L'entreprise a longtemps conservé, en héritage de ses origines le nom de "Blanchiment et Apprêts de Tarare" (BAT), tandis que son produit était baptisé "Taraflex", en référence à la ville.


Dans les années 1980, "la BAT" est rachetée par le groupe Gerflor, dont le siège est à Villeurbanne. Taraflex reste la marque du groupe spécifique aux sols sportifs de haute performance. Ainsi équipe-t-elle les plus prestigieuses compétitions en tennis, badminton, volley-ball, basket-ball, handball, etc. : Jeux olympiques, championnats du monde, tournois ATP et WTA[6], etc.


L'usine Gerflor de Tarare est aujourd'hui encore la plus grosse entreprise de la ville, avec 700 salariés[7].



Les difficultés d'une reconversion |


À partir des années 1960, l'industrie textile rencontre des difficultés croissantes. Le voile Tergal, certes de très bonne qualité, subit la concurrence d'articles moins chers venus de l'étranger. La décolonisation entraîne la fermeture des marchés coloniaux.


Pour faire face, les entreprises tarariennes du rideau unissent leurs efforts commerciaux sous une marque commune, "Plein Jour", qui recueille une notoriété mondiale.



Pourtant, avec les années 1970, l'industrie textile entre dans une période difficile. Tarare voit disparaître l'usine de peluches Martin. Les unes après les autres, les entreprises du rideau tergal ferment leurs portes ou se concentrent. En 2009, la société Linder S.A. – dont le siège est situé à Violay, dans la Loire, à 10 km de Tarare – relève seul le flambeau du rideau tararien[8].




Le viaduc de Tarare vers 1920.


La ville engage une difficile diversification économique, principalement basée sur le négoce textile, l'agroalimentaire et la mécanique. Les difficultés majeures se marquent, dans le cadre du mouvement général de désindustrialisation, par l'inadaptation et à l'insuffisance de formation d'une population ouvrière longtemps peu payée[9].




Vue générale de Tarare entre 1901 et 1902.


Si la ville peine à digérer ses années « textile », il semblerait que Tarare connaisse une forme de renouveau, notamment avec l’installation de la plus importante micro-brasserie de la région Rhône-Alpes. En effet, le Ninkasi, installé à Lyon, a déplacé début 2012 sa fabrique de bière à Tarare, dans une ancienne friche industrielle entièrement rénovée, augmentant ainsi sa capacité de production. Canevaflor, entreprise spécialisée dans les murs végétalisés dépolluant, installée depuis 2011 à Tarare, connaît une croissance constante[réf. souhaitée]. Quant à Gerflor, enseigne symbolique de la ville spécialisée dans les revêtements de sol, elle envisage de s’agrandir[réf. souhaitée].


Le tronçon de l'autoroute A89 Balbigny/La Tour-de-Salvagny est ouvert à la circulation depuis le 21 janvier 2013.



Héraldique |







Blason de Tarare


Les armes de Tarare se blasonnent ainsi : D'or à la croix ancrée de gueules, cantonnée de quatre losanges de sable.






Politique et administration |



Liste des maires |






































































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2014 en cours
Bruno Peylachon

LR

Chef d'entreprise
Conseiller départemental du canton de Tarare (2015 → )
mars 2008 mars 2014 Thomas Chadoeuf-Hoebeke

PS

Traducteur[10]
février 1994 mars 2008
Robert Lamy

RPR puis UMP
Commerçant
Député de la 8e circonscription du Rhône (1997 → 2007)
mars 1983 février 1994
Jean Besson[11]

RPR

Industriel
Député du Rhône (1986 → 1988)
Député de la 10e circonscription du Rhône (1988 → 2003)
Conseiller régional de Rhône-Alpes (1992 → 1998)
Vice-président de la région Rhône-Alpes (1992 → 1998)

1982
mars 1983 André Béal

MRG

Enseignant
mars 1971
1982

Georges Vinson[12]

MRG

Médecin généraliste
Ancien député de la 9e circonscription du Rhône (1967 → 1968)
octobre 1947 mars 1971
Joseph Rivière

UDR

Agent général d'assurance
Député de la 9e circonscription du Rhône (1958 → 1967 puis 1968 → 1973)
Conseiller général du canton de Tarare (1945 → 1982)
1944 octobre 1947 Maurice Bonnet

Rad.
Médecin





Administration municipale |




Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Rhône.
















































































































































































































































































































Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.


Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
Année
Élu(e)
Battu(e)
Participation

2002
79,75 %

Jacques Chirac

RPR
20,25 %

Jean-Marie Le Pen

FN
73,40 % [13]

2007
51,91 %

Nicolas Sarkozy

UMP
48,09 %

Ségolène Royal

PS
80,28 % [14]

2012
51,70 %

François Hollande

PS
48,30 %

Nicolas Sarkozy

UMP
77,73 % [15]

2017
%

Emmanuel Macron

EM
%

Marine Le Pen

FN
% [16]

Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année
Élu(e)
Battu(e)
Participation
Tarare (Rhône) est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
Avant 2010, Tarare (Rhône) est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .

2002
58,32 %

Robert Lamy
élu(e) au premier tour

UMP
21,02 %
Yvon Olivier

PS
58,96 % [17]

2007
48,57 %

Patrice Verchère
élu(e) au premier tour

UMP
24,89 %
Sheila Mc Carron

PS
52,29 % [18]
Après 2010, Tarare (Rhône) est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .

2012
55,47 %

Patrice Verchère

UMP
44,53 %
Sheila Mc Carron

PS
50,21 % [19]

2017
%


%


% [20]

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
Année
Liste 1re
Liste 2e
Participation

2004
29,91 %

Michel Rocard

PS
13,31 %

Thierry Cornillet

UDF
33,74 % [21]

2009
28,36 %

Françoise Grossetête

UMP
20,70 %

Vincent Peillon

PS
31,26 % [22]

2014
%


%


% [23]

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
Année
Liste 1re
Liste 2e
Participation

2004
45,18 %

Jean-Jack Queyranne

PS
35,26 %

Anne-Marie Comparini

Modem
58,49 % [24]

2010
49,19 %

Jean-Jack Queyranne

PS
31,55 %

Françoise Grossetête

UMP
43,17 % [25]

2015
%


%


% [26]

Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année
Élu(e)
Battu(e)
Participation
Tarare (Rhône) est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .

2001
%


%


indisponible %

2004
%


%


indisponible %

2008
48,31 %
Jacques Larrochette

DVD
51,69 %
Thomas Chadoeuf-Hoebeke

PS
46,53 % [27]

2011
%


%


indisponible %

Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année
Élu(e)s
Battu(e)s
Participation
Tarare (Rhône) est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .

2015
%


%


% [28]

Élections municipales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année
Élu(e)
Battu(e)
Participation

2001
62,06 %

Robert Lamy
élu(e) au premier tour

UMP
32,00 %


60,48 % [29]

2008
50,21 %
Thomas Chadoeuf-Hoebeke
élu(e) au premier tour

PS
49,79 %
Thierry Borier

UMP
58,58 % [30]

2014
50,80 %
Bruno Peylachon
élu(e) au premier tour

DVD
30,83 %
Thomas Chadoeuf-Hoebeke

DVG
64,77 % [31]

Référendums.
Année
Oui (national)
Non (national)
Participation

1992
52,47 % (51,04 %)
47,53 % (48,96 %)
63,35 % [32]

2000
72,37 % (73,21 %)
27,63 % (26,79 %)
26,76 % [33]

2005
42,68 % (45,33 %)
57,32 % (54,67 %)
60,34 % [34]




Intercommunalité |



carte de la communauté d'agglomération

Carte de la communauté de communes du Pays de Tarare en 2012.


Articles détaillés : Communauté de communes du Pays de Tarare et Communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien.

Tarare fait partie de la communauté de communes du Pays de Tarare du 22 décembre 1995 au 31 décembre 2013 regroupant de 16 communes (Affoux,Ancy, Dareizé, Dième, Joux, Les Olmes, Pontcharra-sur-Turdine, Saint-Appolinaire, Saint-Clément-sur-Valsonne, Saint-Forgeux, Saint-Loup, Saint-Marcel-l'Éclairé, Saint-Romain-de-Popey, Les Sauvages, Tarare et Valsonne). À partir du 1er janvier 2014 elle intègre la communauté de communes de l'Ouest Rhodanien issue d'une fusion des trois anciennes communautés de communes, qui devient la communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien le 1er janvier 2016.



Finances locales |


Article détaillé : Finances de la commune de Tarare.

Cette sous-section présente la situation des finances communales de Tarare[Note 1].


Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Tarare s'établit à 15 893 000 € en dépenses et 18 490 000 € en recettes[A2 1] :


En 2013, la section de fonctionnement[Note 2] se répartit en 12 740 000 € de charges (1 211 € par habitant) pour 14 031 000 € de produits (1 333 € par habitant), soit un solde de 1 290 000 € (123 € par habitant)[A2 1],[A2 2] :



  • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 3] pour une somme de 5 530 000 € (43 %), soit 526 € par habitant, ratio inférieur de 17 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (636 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 493 € par habitant en 2009 et un maximum de 544 € par habitant en 2012 ;

  • la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 4] pour une valeur de 4 837 000 € (34 %), soit 460 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 460 € par habitant en 2013 et un maximum de 599 € par habitant en 2010.


Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Tarare[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :



  • la taxe d'habitation constante 20,65 % ;

  • la taxe foncière sur le bâti constante 21,82 % ;

  • celle sur le non bâti constante 62,12 %.


La section investissement[Note 5] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :



  • des dépenses d'équipement[Note 6] pour un montant de 2 225 000 € (71 %), soit 211 € par habitant, ratio inférieur de 45 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (387 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 211 € par habitant en 2013 et un maximum de 915 € par habitant en 2011 ;

  • des remboursements d'emprunts[Note 7] pour une valeur de 893 000 € (28 %), soit 85 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate.


Les ressources en investissement de Tarare se répartissent principalement en[A2 4] :




  • subventions reçues pour une valeur de 973 000 € (22 %), soit 92 € par habitant, ratio supérieur de 31 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (70 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 6 € par habitant en 2010 et un maximum de 108 € par habitant en 2012 ;


  • fonds de Compensation pour la TVA pour une somme de 534 000 € (12 %), soit 51 € par habitant, ratio supérieur de 28 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (40 € par habitant).


L'endettement de Tarare au 31 décembre 2013 peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 8], l'annuité de la dette[Note 9] et sa capacité de désendettement[Note 10] :



  • l'encours de la dette pour une valeur de 6 820 000 €, soit 648 € par habitant, ratio inférieur de 33 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (964 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 631 € par habitant en 2010 et un maximum de 1 253 € par habitant en 2011[A2 5] ;

  • l'annuité de la dette pour une valeur de 1 114 000 €, soit 106 € par habitant, ratio inférieur de 10 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (118 € par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 101 € par habitant en 2011 et un maximum de 289 € par habitant en 2010[A2 5] ;

  • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une somme de 1 951 000 €, soit 185 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 156 € par habitant en 2012 et un maximum de 242 € par habitant en 2010[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 3 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ 2 années en 2010 et un maximum d'environ 7 années en 2012.



Jumelages |



  • Drapeau de l'Allemagne Herrenberg (Allemagne) depuis 1970.


Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 11].



En 2015, la commune comptait 10 639 habitants[Note 12], en augmentation de 2,96 % par rapport à 2010 (Rhône : +5,61 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 799 2 174 2 516 6 294 6 833 7 762 8 647 9 659 10 280



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
13 060 14 569 15 092 13 694 14 383 13 352 12 580 12 387 12 028



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
12 334 12 180 12 532 11 472 11 768 11 474 10 395 10 142 11 364



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2015
12 131 12 296 12 045 10 822 10 720 10 420 10 673 10 541 10 639

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)



Histogramme de l'évolution démographique





Économie |


L’aérodrome de Villefranche - Tarare se trouve sur la commune de Frontenas. Il est géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Villefranche et du Beaujolais.


La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon.


L'Insee constate que la ville possède une « poche de précarité » avec 28,5 % de la population vivant avec un bas revenu (17,7 % dans le département du Rhône) et un revenu fiscal annuel par foyer de 17 400  en 2010 (26 100  pour le Rhône)[38]. Le taux de chômage est de 16,9 % en 2010[38].


La commune est située dans le ressort du Tribunal de commerce de Villefranche-Tarare[39].



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |




L'église Saint-André de Tarare.




  • Chapelles médiévales de Vindry, Grévilly et Clévy situées dans les monts de Tarare.


  • Églises Saint-André (XVIIIe et XXe) et Sainte-Madeleine (XIXe).


  • Tour de la prébende des Martin ou tour du Château (fin du XVe).


  • Viaduc ferroviaire construit en 1860[40].


  • Voie romaine (route de l'étain) s'étendant sur 7 km.

  • 440 km de circuits balisés dans les 17 communes du Pays de Tarare.


  • Théâtre municipal d'environ 700 places construit en plein cœur de la ville en 1955. (Fermé en 2011 il n'est toujours pas rouvert)[41]


  • Chapelle Notre-Dame-de-Bel-Air (altitude : 570 m) offrant un beau panorama sur la ville, accessible à pied (départ à la croix, rue des Ayets) ou en voiture (prendre la rue de la Providence), lieu idéal pour le pique-nique. Site émetteur de la TNT.


  • Ancien prieuré de Tarare du XVIe siècle[42].



Espaces verts et fleurissement |


Tarare a la chance de disposer de nombreux espaces verts aménagés :



  • Le parc Thivel et son sentier botanique



Parc Thivel


En 1850, Emile Thivel, industriel, acquiert une propriété située à l’entrée Est de Tarare. Il construit une maison bourgeoise et aménage un parc privé magnifiquement arboré avec notamment des cèdres du Liban. En 1986, la Ville loue sept hectares afin d’y créer un parc public. En 1991-92, elle aménage des cheminements, une roseraie, installe un kiosque, des bancs, l’éclairage… Un sentier botanique, constituant un support pédagogique (panneaux indiquant le nom et l’origine des végétaux) est fléché en 2004. On y trouve aussi des animaux comme des biches, des daims, des chèvres, des moutons et quelques oies. Ce parc constitue un site remarquable par sa dimension, ses 160 espèces végétales (dont 3 ou 4 nouvelles chaque année), sa liaison directe avec les hauts de Tarare et sa proximité immédiate du centre. Avec une superficie de 7 hectares, le parc Thivel situé entre la rue Radisson et le Boulevard du Commandant Thivel, constitue une bouffée d’oxygène à proximité du Centre Ville.


  • Le square Aristide Briand

Avec une superficie de 3 800 m², le square Aristide Briand est situé à proximité de la salle des Fêtes et de la Gare. Il est doté d’espaces gazonnés ombragés par des arbres, d’un jeu pour les petits, de bancs publics et il est équipé de toilettes publiques.


  • Le parc Bonnet

Avec une superficie de 3 000 m², ce petit endroit de verdure, situé au cœur de la ville, à proximité de l’Avenue Charles de Gaulle, est équipé d’une aire de jeux pour les petits, d’un kiosque, de bancs publics et de toilettes publiques.


  • Square Maurice Berger

Cet espace de 400 m² marque l’entrée Ouest de la ville.


  • Square du Vert Galant

En 1962, la Ville devient propriétaire d’une parcelle triangulaire à l’angle de la RN7 et du boulevard Garibaldi. Elle y crée un jardin d’enfants nommé “square du Vert Galant”


En 2014, la commune de Tarare bénéficie du label « ville fleurie » avec « deux fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[43].



Médias |



Presse locale |


Le Progrès est diffusé sur Tarare grâce à l'édition "Tarare - L'Arbresle" ainsi que l'hebdomadaire roannais Le Pays qui distribue l'édition "Le Pays d’entre Loire et Rhône".



Radios FM |


Sur Tarare, nous pouvons capter 2 radios associatives (catégorie A), 1 radio locale commerciale (catégorie B), 2 radios nationales (catégorie C) et 1 radio généraliste (catégorie E). 3 radios publiques émettent aussi sur Tarare depuis la fin des années 80[44].



















































































Fréquence
Nom de la radio
Diffuseur
Lieu d'émission
Puissance
Arrivée
88.6

RMC

TDF
Bel Air, Tarare
100 W
2011
91.3

France Musique

TDF
Bel Air, Tarare
200 W
1996[45]
95.1

RCF Lyon
Auto-diffusion
Le Danguin, Tarare
100 W
1996[46]
97.8

Fun Radio

TDF
La Plata, 13 rue des Frères Lumière, Tarare
100 W
1996
99.5

France Inter

TDF
Bel Air, Tarare
200 W
1996[47]
100.0

Radio Scoop
Auto-diffusion
Le Danguin, Tarare
100 W
2011
101.4
Radio Val de Reins[48]
Auto-diffusion
Le Danguin, Tarare
100 W
1990[49]
102.0

France Culture

TDF
Bel Air, Tarare
200 W
1996[50]
106.5

RFM

TDF
Bel Air, Tarare
100 W
1996


Radio numérique terrestre |


Prochainement, quelques stations arriveront en numérique à Tarare et dans le Beaujolais[51] grâce à l'allotissement 6 de la prochaine bande RNT lyonnaise[52],[53].



















Nom de la radio

Catégorie

Radio Scoop
B

Radio Orient
D
Radio Val de Reins
A


Télévision |


France 3 Rhône-Alpes (avec le décrochage "France 3 Grand Lyon") et TLM émettent sur Tarare grâce à 2 sites d'émission[54] :



  • L'un est situé au nord tararien, près de la Chapelle de Bel-Air. Le pylône appartenant à TDF émet le multiplex R1, qui comporte les 2 chaînes locales. Le pylône Towercast émet les autres multiplexes.

  • L'autre est situé près de Saint-Marcel-l'Éclairé, au sud tararien. Ce pylône appartient à TDF et émet tous les multiplexes sauf le R3.



Personnalités liées à la commune |




  • Georges Antoine Simonet[55], né en 1710 à Tarare et mort en 1778 à Charbonnières, fils d'un toilier, fut l'investigateur de la mousseline, coton léger et transparent à Tarare, et permit à la ville de se développer grandement. Son neveu Claude-Marie Simonet dit " le Jeune" né en 1749 à Tarare complétera son œuvre. Il deviendra le 1er président de la Chambre Consultative des Arts et Manufactures de Tarare et maire en 1804. Il mourra en 1822.


  • Jean-Baptiste Vietty, né en 1787 à Amplepuis et mort en 1842 à Tarare, sculpteur, helléniste, archéologue (membre de l’Expédition de Morée).


  • Georges Fattet, célèbre dentiste parisien du XIXe siècle, est né à Tarare en 1820.


  • Eugène Prothière (1864-1925) est un pharmacien et hygiéniste[55] qui a mené de nombreuses recherches sur les gaz asphyxiants pendant la Première Guerre mondiale, et a ainsi permis de sauver la vie de milliers de soldats. Il fut le fondateur et le premier président de la Société des Sciences naturelles et d'Enseignement populaire de Tarare en 1891.


  • Adrien Rougier (1892-1984), élabora un combinateur électronique pour orgue dont un exemplaire en état de marche se trouve dans l'église Saint-André[56].


  • Abbé Pierre, né Henri Grouès : les parents de l'abbé Pierre se sont mariés le 3 mars 1905 à Tarare où sa mère, Eulalie Perra, était née en 1880. La Ville de Tarare a commémoré ce lien avec l'abbé Pierre par une fresque représentant l'abbé Pierre sur le mur de chevet de l'église Sainte-Madeleine[57].


  • Maurice Ardouin, artiste peintre né à Tarare en 1932.


  • Michel Charrel, acteur né à Tarare en 1936.

  • Étienne Thomassin (1848-1925), défenseur de l'école laïque et maire de la ville, contribua à la création de l'école primaire supérieure et du barrage de la Turdine.


  • Philippe Thomas (géologue), découvreur des phosphates de Tunisie, a passé sa jeunesse à Tarare.

  • Jacques Bonnet est un géographe qui a mené de nombreuses études sur le peuplement du massif central et des Alpes au cours du XIXe siècle.


  • Michel Moskovtchenko, artiste peintre né à Tarare en 1935.


  • Corentin Tolisso, milieu de terrain évoluant au Bayern Munich, est né à Tarare en 1994.

  • Riboulet Eugène, artiste sculpteur né en 1883 à Tarare et décédé en 1972 à Belfast, a réalisé pour sa ville natale le monument aux morts de la première guerre mondiale en 1920.


  • David Christie, chanteur français, né le 1er janvier 1948 à Tarare et mort le 11 mai 1997, notamment connu pour le tube international Saddle Up en 1982.



Quartiers |




Place du marché et vue d'ensemble



  • Le centre-ville, où se concentrent la plupart des commerces, est très fréquenté par les habitants.

  • Le Serroux/quartier du viaduc, situé à l'entrée ouest de la ville, comporte une zone industrielle abandonnée, une école et un centre sportif de basketball.

  • Les Ayets et La Chassagne sont des quartiers résidentiels calmes situés au nord de la ville.

  • La Plata est composé de deux barres HLM comprenant 300 logements. Classé CUCS, ce quartier doit être détruit sous peu, les habitants sont souvent relogés à la Plaine, quartier résidentiel.

  • La Plaine est un quartier résidentiel composé de 17 immeubles HLM pour environ 600 logements sociaux, regroupés dans les cités des Mûriers, de la Plaine, Clemenceau, Garibaldi et des logis de la Plaine.

  • Le Danguin, limitrophe de La Plaine, est en quelque sorte un « nouveau » quartier composé essentiellement de pavillons neufs.



Sports |


La ville dispose de multiples installations[58] sportives dont les plus importantes sont le complexe sportif Léon-Masson[58] (stades de football, de rugby, piste d’athlétisme) et le complexe sportif de l’Association Sportive Tararienne[58] (salle de basket, hand-ball, volley-ball, salle de gymnastique, salle de musculation et terrains extérieurs de hand-ball, volley-ball, boules lyonnaises



  • Aïkido club des monts de Tarare

  • AS Tarare Basket

  • Union Sportive Football de Tarare (USFT)

  • Football Club de Tarare

  • Judo Club de Tarare

  • Première compagnie de tir à l'arc de Tarare

  • Twirling Club Tarare

  • ACTP (Association cycliste Tarare-Popey)

  • AST GYM

  • EOL (Entente Ouest-Lyonnaise : athlétisme)

  • Club Bouliste Tarare

  • PMT (Plongeurs des Monts de Tarare) Club de plongée affilié FFESSM entraînements à AQUAVAL

  • CNT (Club de natation de Tarare)

  • CSL Handball Club de Tarare

  • TBC (Tarare Badmindton Club)



Événements principaux |




Rue de la Pêcherie lors de la fête des Mousselines 2010.



  • Depuis 1955, tous les cinq ans sont organisées les fêtes des Mousselines, période durant laquelle la ville présente la mousseline et garnissant ainsi toute la ville de tissus. Des dômes et des chapiteaux fleurissent partout dans la ville. La mousseline décore aussi de nombreux chars présentés par les associations tarariennes. Une reine est également élue dans les mois qui précèdent la fête[59]. Mais c'est dès 1893[60] qu'aura lieu la première "fête des Mousselines".

  • Fête du Beaujolais gourmand


  • Moto-cross du Baldago’s fondé en 1946

  • Foire de Saint-André : Depuis 2006, la foire a lieu le week-end suivant la sortie du beaujolais nouveau. Auparavant elle était organisée le dernier samedi de novembre. Cette décision avait été prise par la municipalité Vinson en 1977 pour ne pas faire coïncider la foire avec les festivités du 8 décembre. De 1965 à 1977, elle avait lieu le premier dimanche de décembre. Les principales artères de la ville se couvrent d'étalages, ce qui attire beaucoup de monde. Une vogue est également montée, selon les années, sur les différents endroits plats de la ville. Les associations organisent aussi nombre de stands.

  • En 2012, la ville de Tarare organise, dans le sillon de son carnaval, la première édition de son festival Tararts, événement consacré aux arts de la rue. Spectacles et défilés de troupes déguisées : artistes échassiers et fanfares venus de toute la France accompagnés de groupes locaux, tels que les Tap'Zoreilles, l'unique batucada de Tarare.



infrastructures de proximités |




A89 au niveau du château de la Bussière (sud-ouest) - printemps 2010.



  • Hôpital de Tarare : l'hôpital Nord-Ouest, avec une reconstruction prévue pour 2015[61].


  • Gare SNCF de Tarare (ligne TER Lyon - Roanne - Clermont-Ferrand).

  • Trois lignes du réseau Les cars du Rhône :

    • Ligne 116 (Lyon Gorge de Loup - Cours) ;

    • Ligne 217 (Villefranche-sur-Saône - Tarare) ;

    • Ligne 264, navette interne à la commune.



  • Une crèche, deux haltes-garderies, sept écoles maternelles, six écoles primaires, deux collèges, deux lycées d’enseignement général (lycée René-Cassin et lycée Notre-Dame-de-Bel-Air) et un lycée d’enseignement professionnel (lycée Jules-Verne). Les lycées René-Cassin, Jules-Verne et le collège Marie-Laurencin forment la cité scolaire de La Plata.


  • A89 (Axe Lyon - Bordeaux). Temps de parcours moyen : Lyon 20 min - Saint-Étienne 40 min - Clermont-Ferrand 1h. La ville possède deux diffuseurs: Tarare Est (sortie no 35) et Tarare Ouest (sortie no 34). L'autoroute A89 emprunte notamment les tunnels de La Bussière et de Chalosset situés au sud de la commune.




Associations |



  • Tarare Micro Club Informatique

  • Tarasphère

  • Shopping Actif, est l'association des commerçants et artisans. Elle regroupe une soixantaine d'adhérents sur Tarare, Valsonne, Pontcharra-sur-Turdine et Saint-Romain-de-Popey.



Voir aussi |


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Voir la catégorie : Tarare.


Articles connexes |



  • Liste des communes du Rhône


  • Gare de Tarare • Ligne du Coteau à Saint-Germain-au-Mont-d'Or



Lien externe |


  • Site officiel


Notes et références |



Notes |




  1. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances.
    Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal.
    Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa Logo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Tarare.
    Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.



  2. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.


  3. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.


  4. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.


  5. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.


  6. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.


  7. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.


  8. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au 31 décembre de l'année considérée


  9. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année


  10. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Tarare.


  11. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
    des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
    que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
    communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
    pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
    par l’Insee pour l'ensemble des communes.



  12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.



Références |





  1. Commission Mixte des Affaires Culturelles de la ville/Société d'Archéologie et d'Histoire des Monts de Tarare, Tarare: Des origines à nos jours, 1985, 253 p., p. 31


  2. de Rolland et D. Clouzet, Dictionnaire illustré des communes du département du Rhône, vol. Tome 2, A. Storck & Cie, 1901-1902, 627 p. (lire en ligne), p. 544


  3. Claude Albout, "démographie et industrialisation d'une région rurale: le canton de Tarare (de la fin du XVIIIe siècle à nos jours" (maîtrise, Université de Lyon, 1971)


  4. Marcel Auguste Joseph Doligez ( 1891-1979 ), ingénieur civil des mines et de l'école supérieure d'électricité, a épousé en 1920 Aline Champier, fille d'Adolphe dit Hippolyte fils Roche-Champier. Avec son beau-père, héritier de la Maison Champier fondée en 1884 par Hippolyte Champier, et Jean Claudius Champier, il a fondé à Tarare en 1923 la SA Ets H. Champier, au capital à l'origine d'un million de francs, une firme de blanchiment, d’apprêt et de teinture, et la SA Blanchiment et apprêts de Tarare ( BAT ): Le Salut public, 21 novembre 1923, Éléments de biographie. Cet industriel partisan du corporatisme dirige depuis 1939 la corporation du textile de Tarare et anime en zone sud l'Office des comités sociaux sous l'Occupation. Il est désigné par Vichy en 1943 membre de la Chambre de commerce de Paris ( Journal officiel, 25 novembre 1943 ).


  5. cette extraordinaire aventure industrielle a été racontée par le directeur fondateur de "la BAT", Robert Michon dans un récit très vivant Mes heures claires à la BAT (ISBN 2912234018) / 2-912234-01-8): cf. aussi Tarare et son pays, 2012, "Robert Michon, inventeur du Taraflex, donne son nom au boulevard Garibaldi", le-pays.fr, 26 août 2014, "Robert Michon, une vie en sol majeur"


  6. Cf. le site Gerflor - Taraflex


  7. 43 boulevard Garibaldi - Tarare


  8. Cf. site internet de Linder S.A. [1]. Linder S.A. est dirigée aujourd'hui par Patrick Linder, arrière-petit-fils du fondateur Célestin Linder de l'entreprise en 1894.


  9. en 1973, la revendication syndicale du "SMIG à 1 000 F" concerne une partie notable des salariés tarariens


  10. Biographie du maire archive, ville-tarare.fr. Consulté le 24 mars 2014.


  11. « Ancien député, ancien maire de Tarare, Jean Besson est mort », Le Progrès, 16 septembre 2017


  12. « Georges Vinson, maire de Tarare de 1971 à 1982, est décédé », Le Progrès, 22 février 2013


  13. Résultats des élections présidentielles de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  14. Résultats des élections présidentielles de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  15. Résultats des élections présidentielles de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  16. Résultats des élections présidentielles de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  17. Résultats des élections législatives de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  18. Résultats des élections législatives de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  19. Résultats des élections législatives de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  20. Résultats des élections législatives de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  21. Résultats des élections européennes de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  22. Résultats des élections européennes de 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  23. Résultats des élections européennes de 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  24. Résultats des élections régionales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  25. Résultats des élections régionales de 2010 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  26. Résultats des élections régionales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  27. Résultats des élections cantonales de 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  28. Résultats des élections départementales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  29. [xls] Résultats des élections municipales de 2001 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  30. Résultats des élections municipales de 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  31. Résultats des élections municipales de 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur.


  32. Résultats des élections référendaires de 1992 sur le site PolitiqueMania.


  33. Résultats des élections référendaires de 2000 sur le site PolitiqueMania.


  34. Résultats des élections référendaires de 2005 sur le site PolitiqueMania.


  35. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee


  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.


  38. a et bInsee Rhône-Alpes, « Nouveau Rhône : un territoire contrasté en interaction avec les territoires voisins » [PDF], sur Rhône.fr, octobre 2014(consulté le 30 octobre 2014), p. 2


  39. « Communes du Greffe », sur www.greffe-tc-villefranche-tarare.fr (consulté le 3 décembre 2016)


  40. Le viaduc de Tarare sur Structurae.


  41. http://www.ville-tarare.fr/Premieres-vues-du-theatre.html


  42. « Maison dite ancien prieuré », notice no PA00118072, base Mérimée, ministère français de la Culture


  43. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le 20 juillet 2014).


  44. Sources : Mixture.fr (taper "Tarare" dans "Liste des radios FM/DAB+ actuelles") et annuaireradio.fr.


  45. Elle émettait sur 91.4 FM entre 1988 et 1996.


  46. Elle émettait sur 104.4 FM entre 1996 et 2001.


  47. Elle émettait sur 95.3 FM entre 1988 et 1996.


  48. Site web de Radio Val de Reins


  49. Entre 1996 et 2011, elle émettait sur 95.1 FM.


  50. Elle émettait sur 89.4 FM entre 1988 et 1996.


  51. "La RNT bientôt dans le Nord, l'Alsace et la région lyonnaise" sur csa.fr (fichier PDF à télécharger)


  52. La RNT à Lyon (par allotissements) sur radioscope.fr


  53. Radios à Lyon.


  54. Emetteurs TNT dans le Rhône


  55. a et bTarare, des origines à nos jours


  56. « Adrien Rougier, illustrateur et défenseur des orgues de Lyon » (consulté le 6 octobre 2016)


  57. La fresque a été inaugurée en mars 2008


  58. a b et cville de Tarare, « Accueil du site > Vie de proximité > Sport à Tarare> Equipements sportifs », sur www.ville-tarare.fr (consulté le 5 mai 2013)


  59. Un roman récent évoque la Fête des Mousselines: "La reine des mousselines", de Laure Buisson - Grasset, 2009 [2] au fil d'une grande aventure picaresque


  60. Ville de Tarare, 100 ans d'histoire, Tarare au 20e siècle, Ville de Tarare, 2007, 208 p. (ISBN 978-2-9529236-0-6), p. 89


  61. http://www.lhopitalnordouest.fr/index.php?id=6




Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes |





  1. a et b« Les comptes des communes - Tarare : chiffres clés » (consulté le 11 août 2015).


  2. « Les comptes des communes - Tarare : opérations de fonctionnement » (consulté le 11 août 2015).


  3. a et b« Les comptes des communes - Tarare : fiche détaillée » (consulté le 11 août 2015).


  4. a et b« Les comptes des communes - Tarare : opérations d'investissement » (consulté le 11 août 2015).


  5. a et b« Les comptes des communes - Tarare : endettement » (consulté le 11 août 2015).


  6. « Les comptes des communes - Tarare : autofinancement » (consulté le 11 août 2015).





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