Conseil départemental de l'Essonne
Conseil départemental de l’Essonne | |||
Devise : « Terre d'avenirs » | |||
Situation | |||
---|---|---|---|
Région | Île-de-France | ||
Création | 1er janvier 1968 | ||
Ancien nom | Conseil général de l'Essonne | ||
Type | Collectivité territoriale | ||
Siège | Hôtel du département, Boulevard de France, 91012 Évry cedex France | ||
Coordonnées | 48° 37′ 46″ N, 2° 26′ 02″ E | ||
Budget | 1 528 698 000 € (2011) | ||
Organisation | |||
Effectifs | 4 600 agents (2016) | ||
Président | François Durovray (LR) | ||
Directeur général des services | Michel Delamaire | ||
Site web | www.essonne.fr | ||
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : France
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Le conseil départemental de l’Essonne est l'assemblée délibérante qui administre le département français et francilien de l’Essonne, qui est une collectivité territoriale décentralisée.
Son siège est situé à Évry, préfecture du département.
Jusqu'aux élections départementales de 2015, il était dénommé conseil général de l'Essonne.
Sommaire
1 Histoire
2 Gouvernance politique
2.1 Élus
2.1.1 Présidence du Conseil départemental de l’Essonne
2.1.2 Liste des présidents
2.1.3 Vice-présidents
3 Organisation administrative
3.1 Administration
3.1.1 Compétences et interventions
3.1.2 Directions
3.2 Données financières
3.3 Données sociales
3.4 Identité visuelle
3.5 Coopération décentralisée
4 Compléments
4.1 Articles connexes
4.2 Liens externes
4.3 Bibliographie
5 Sources
Histoire |
Le département est créé en 1968 dans le cadre de la réorganisation de la région parisienne en 1964[1].
Les premiers conseillers généraux de l’Essonne au nombre de vingt-sept furent élus lors des élections cantonales de 1967, en application du décret no 67-589 du 20 juillet 1967[2],[3] ils entrèrent en fonction le 1er janvier 1968.
Compte tenu de la croissance démographique du département, et en application du décret no 75-1116 du 25 novembre 1975[4], le nombre de conseillers généraux fut porté à trente-cinq puis en application du décret no 85-83 du 23 janvier 1985[5] ils furent quarante-deux, nombre conservé dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014.
En 1997, la gestion du conseil général avait été mise en cause dans le cadre de l’affaire des emplois fictifs du conseil général de l'Essonne concernant notamment Xavière Tiberi[6], les affaires politico-financières du conseil général de l'Essonne[7] et son ancien président Xavier Dugoin a été condamné pour trafic d’alcool, salaires fictifs et corruption. En 2010 le conseil général adhéra au syndicat mixte Paris Métropole[8].
Depuis les élections départementales françaises de 2015, le conseil général de l'Essonne est désormais dénommé Conseil départemental de l'Essonne.
Gouvernance politique |
Élus |
Parti | Sigle | Élus | |
---|---|---|---|
Majorité (30 sièges) | |||
les Républicains | LR | 20 | |
Divers droite | DVD | 4 | |
Union des démocrates et indépendants | UDI | 2 | |
Debout la France | DLF | 2 | |
Mouvement démocrate | MoDem | 1 | |
Mouvement républicain et citoyen | MRC | 1 | |
Opposition (12 sièges) | |||
Parti socialiste | PS | 9 | |
Europe Écologie Les Verts | EELV | 2 | |
Parti communiste français | PCF | 1 | |
Président du Conseil départemental | |||
François Durovray (LR) |
Présidence du Conseil départemental de l’Essonne |
Au terme des Élections départementales de 2015 dans l'Essonne, le conseil départemental a élu son président François Durovray, conseiller départemental du canton de Vigneux-sur-Seine. Il est le chef du pouvoir exécutif départemental.
Liste des présidents |
Avant les lois de décentralisation de 1982, les séances du conseil général étaient menées par son président, mais l’exécutif du département était le préfet. Après cette date, le président du conseil général, puis du conseil départemental, représente l'institution départementale, dirige ses services et dispose de prérogatives propres.
Sept présidents se sont succédé à la tête du conseil général puis départemental depuis l’élection du premier en 1967, lors de la création du département par scission de la Seine-et-Oise[9] :
Vice-présidents |
Par délégation du président, les vice-présidents représentent le conseil départemental dans un domaine spécifique. Ils mettent en œuvre les décisions prises par l'assemblée départementale et préparent les budgets nécessaires. Le Conseil compte les douze vice-présidents suivants (six femmes et six hommes)[23] :
- Michel Bournat : 1er vice-président délégué aux partenariats avec les collectivités, grands projets et Europe, Conseiller départemental de Gif-sur-Yvette
- Sandrine Gelot-Rateau : 2e vice-présidente déléguée à l’insertion, à la cohésion sociale, à la politique de la ville et au logement, Conseillère départementale de Longjumeau
- Dominique Echaroux : 3e vice-président délégué aux finances et à l'évaluation des politiques publiques, conseiller départemental de Corbeil-Essonnes
- Françoise Marhuenda : 4e vice-présidente déléguée chargée des familles, de la solidarité et de la santé, conseillère départementale des Ulis
- Alexandre Touzet : 5e vice-président délégué à l'administration générale, aux ressources humaines, à l'égalité homme-femme, au monde combattant et à la citoyenneté, conseiller départemental d'Arpajon
- Sophie Rigault : 6e vice-présidente déléguée à la jeunesse, aux sports et à la vie associative, conseillère départementale de Brétigny-sur-Orge
- Patrick Imbert : 7e vice-président délégué à l’aménagement et développement économiques, à l’emploi, aux nouvelles technologies, à l’enseignement supérieur, à la recherche et à l’innovation, conseiller départemental de Mennecy
- Caroline Parâtre : 8e vice-présidente déléguée à l'éducation, aux collèges et à l'accès aux savoirs, conseillère départementale de Mennecy
- Nicolas Meary : 9e vice-président délégué aux mobilités, conseiller départemental de Brétigny-sur-Orge
- Aurélie Gros : 10e vice-présidente déléguée à la culture, au tourisme et à l'action extérieure, conseillère départementale de Draveil
- Eric Mehlhorn : 11e vice-président délégué au patrimoine départemental, conseiller départemental de Savigny-sur-Orge
- Brigitte Vermillet : 12e vice-présidente déléguée au développement durable et à l'environnement, conseillère départementale de Savigny-sur-Orge
Organisation administrative |
Administration |
Compétences et interventions |
Les compétences du département, administré par son conseil, sont fixées par la loi no 82-213 du 2 mars 1982 fixant les droits et libertés des communes, départements et régions[24] et les lois no 83-8 du 7 janvier 1983[25], no 83-663 du 22 juillet 1983[26] et no 83-1186 du 29 décembre 1983[27] portant sur la répartition des compétences entre l’État et les collectivités locales. Ces lois lui attribuent les compétences d’aide sociale à l'enfance, d’aide aux personnes handicapées, d’aide aux personnes âgées, l’entretien et l’investissement des routes départementales, l’organisation des transports et le soutien au développement économique. La loi no 2003-1200 du 18 décembre 2003 a ajouté la compétence en matière de revenu minimum d'insertion[28] et la loi constitutionnelle no 2003-276 du 28 mars 2003 a instauré le principe de décentralisation[29].
La loi no 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales[30] a ajouté les compétences de gestion de certaines routes nationales, l’entretien et l’investissement dans les collèges, l’aide au logement, la protection maternelle et infantile, la gestion des cours d'eau et lacs, des espaces naturels sensibles, la gestion du schéma départemental des établissements d’enseignement culturel, des archives, bibliothèques et musées départementaux, l’entretien des immeubles possédés par l’État classés et inscrits aux monuments historiques, le financement du service départemental d'incendie et de secours[31],[32].
Aux termes de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles du 27 janvier 2014
les départements ont « compétence pour promouvoir les solidarités et la cohésion territoriale sur le territoire départemental, dans le respect de l'intégrité, de l'autonomie et des attributions des régions et des communes[33]. »
En 2010, le département finance le réseau de bus Albatrans, la rénovation urbaine, la banque des savoirs de l'Essonne, l’association culturelle et technique de l’Essonne, l’agence pour l’économie en Essonne[34], le comité départemental du tourisme[35], le fonds de solidarité pour le Logement[36].
Au titre de sa politique environnementale, le conseil général de l’Essonne a été récompensé en 2010 par le grand prix de l’environnement des villes et territoires d’Île-de-France et les prix pour la préservation et la mise en valeur des espaces verts et des paysages, pour la gestion et le traitement des déchets, la valorisation et la prévention[37].
Directions |
L’organisation des services départementaux et de l’administration relèvent d’un directeur général des services et, depuis 2010, d’un secrétaire général[38]. Les services sont alors regroupés au sein de cinq directions générales adjointes : "Territoires et mobilités", "Solidarités", "Éducation, citoyenneté, culture et sports", "Equipements et Environnement", "Accompagnement et Ressources"[39].
Données financières |
En 2011, le conseil départemental de l’Essonne disposait d’un budget global de 1 528 698 000 euros dont 1 127 111 000 euros de fonctionnement et 401 587 000 euros d’investissement, la dette cumulée s’élevait à 813 783 000 euros, soit 675 euros par habitant[40]. En 2010, les taux d’imposition était fixés à 9,99 % et 29,50 % pour la taxe foncière sur le bâti et le non-bâti, 7,40 % pour la taxe d'habitation. Le 18 septembre 2008, la note de la politique économique du département a été évaluée AA+ avec perspectives négatives par l’agence internationale de notation financière Fitch Ratings[41], le 20 octobre 2009, cette même agence a réévaluée la note en AA avec perspectives stables[42]. Le 7 mai 2010, la note de la politique économique du département a été réévaluée de « standard » à « negative » avec une évaluation à « AA » par l’agence internationale de notation financière Standard & Poor's[43].
Postes | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2018 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Produits de fonctionnement | 800 142 000 € | 914 583 000 € | 963 226 000 € | 982 001 000 € | 1 001 298 000 € | 1 077 167 000 € | 1 127 111 000 € | 1 237 772 341 € |
Charges de fonctionnement | 781 838 000 € | 850 162 000 € | 918 079 000 € | 961 222 000 € | 969 378 000 € | 997 403 000 € | 1 033 539 000 € | 1 237 772 341 € |
Ressources d'investissement | 460 858 000 € | 365 116 000 € | 403 488 000 € | 431 578 000 € | 471 349 000 € | 278 428 000 € | 401 587 000 € | 523 226 333 € |
Emplois d'investissement | 426 462 000 € | 402 932 000 € | 370 705 000 € | 431 321 000 € | 475 079 000 € | 328 609 000 € | 411 355 000 € | |
Dette | 544 535 000 € | 583 203 000 € | 657 807 000 € | 717 763 000 € | 780 270 000 € | 804 793 000 € | 813 783 000 € | |
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[45],[46],[47],[40]. |
Domaines d’intervention | Dépenses de fonctionnement | Pourcentages du total | Dépenses d’investissement | Pourcentage du total |
---|---|---|---|---|
Solidarités et santé | 597 900 000 € | 54,5% | 11 050 000 € | 3% |
Partenariats et territoires et THD | 3 900 000 € | 0,4% | 44 320 000 € | 14% |
Culture, tourisme, actions extérieures, citoyenneté, sport | 21 100 000 € | 1,9% | 5 060 000 € | 2% |
Mobilités et déplacements | 37 700 000 € | 3,4% | 67 040 000 € | 27% |
Collèges et Éducation | 33 400 000 € | 3% | 6 540 000 € | 2% |
Environnement et développement durable | 3 300 000 € | 0,3% | 16 580 000 € | 5% |
Habitat et Logement | 5 000 000 € | 0,5% | 11 440 000 € | 3% |
Moyens de l'institution | 291 000 000 € | 26,5% | 101 270 000 € | 30% |
Prévention et sécurité | 94 500 000 € | 8,6% | 4 500 000 € | 1% |
Politique domaniale et patrimoniale | 10 100 000 € | 0,9% | 67 600 000 € | 20% |
Données sociales |
En 2009 le conseil départemental employait 4 673 agents, dont 1 618 agents techniques, 1 483 agents administratifs, 604 agents sociaux, 519 agents médico-sociaux, cinquante-quatre agents culturels, soixante-dix-huit emplois-jeunes[49]. En 2011, le conseil départemental de l’Essonne employait 4 085 agents dont 76 % de femmes, la moyenne d’âge des effectifs se situait à quarante-cinq ans[50].
Identité visuelle |
Le conseil départemental représentant le département s’est doté de six logotypes en onze années[51], l’actuel reprenant le thème revisité du losange avec la mention manuscrite du nom du département sur fond bleu[52]. En 2009 à l’occasion de la présentation du projet de réforme des collectivités locales et du projet de suppression de la taxe professionnelle, la majorité de gauche du conseil départemental lança une campagne de communication pour défendre « les services publics locaux » et « la liberté d’action des collectivités locales » avec pour slogan : « L’Essonne, j’y tiens ! »[53]. Ce slogan est aujourd’hui devenu celui du conseil départemental et est utilisé pour toute la communication institutionnelle.
Le conseil départemental est en outre propriétaire de la marque commerciale « Banque numérique des savoirs de l'Essonne » depuis le 7 novembre 2003[54].
Logotype du conseil général de l’Essonne (version 1998) avec le thème du tangram.
Logotype du conseil général de l’Essonne (version 2000) conservant le thème du tangram.
Logotype du conseil général de l’Essonne (version 2002) abandonnant le tangram au profit d’un simple losange.
Logotype du conseil général de l’Essonne (version 2007), titre à gauche en capitales et inversion des couleurs.
Logotype du conseil général de l’Essonne (version 2008), ajout de l’encadré blanc.
Logotype du conseil général de l’Essonne (version 2009).
Logotype du conseil départemental de l'Essonne (version 2015).
Coopération décentralisée |
Le conseil départemental de l’Essonne a développé des associations de jumelage avec :
Le département s’est aussi engagé depuis 1996 dans un programme d’appui au développement du cercle de Diéma au Mali[56] et dans un programme de codéveloppement avec les départements de Nippes et du Sud en Haïti depuis 2004[57]. Sur son site officiel, le conseil général présente aussi une convention de coopération décentralisée avec le cercle de Douentza[58]. |
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Compléments |
Articles connexes |
- Politique en Essonne
- Conseil régional d'Île-de-France
- Cantons de l'Essonne
- Liste des conseillers généraux de l'Essonne
Liens externes |
(fr) Site officiel
Bibliographie |
Sources |
En 1966, à la veille de la création du nouveau département de l'Essonne, son territoire défini dans l'ancien département de Seine-et-Oise comportait dix-huit cantons :
Texte du décret du 20 juillet 1967 portant création des cantons de l'Essonne sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 04/06/2009.
Cécile Chevallier, « l y a 50 ans, les élus de l’Essonne tenaient leur première assemblée : En octobre 1967, les premiers conseillers généraux ont tenu la première séance du département nouvellement créé. Un anniversaire célébré ce mercredi, où était rassemblée la mémoire politique du département », Le Parisien, édition de l'Essonne, 5 octobre 2017(lire en ligne).
Fac-similé du décret n°75-1116 du 25 novembre 1975 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 22/08/2009.
Fac-similé du décret n°85-83 du 23 janvier 1985 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 22/08/2009.
Relance des poursuites du CG91 à l’encontre de Xavière Tibéri sur le site d’informations TF1 LCI. Consulté le 02/02/08.
Procès de corruption généralisée au CG91 sur le site d’information Le Ruisseau. Consulté le 02/02/08.
Liste des membres du Paris Métropole sur le site officiel du syndicat. Consulté le 18/12/2010.
Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
« Essonne : M. Pierre Prost, sénateur (Rép. ind.), l'emporte sans difficulté », Le Monde, 6 octobre 1967(lire en ligne).
« Dans la région parisienne : Essonne : M. Lakota (P.C.) », Le Monde, 19 mars 1976(lire en ligne) « M. Robert Lakota, conseiller général de Vigneux et secrétaire fédéral du P.C., a été élu par vingt et une voix contre treize à M. Pierre Ceccaldi-Pavard (mod. maj.), maire de Dourdan, et une abstention ».
« Les départements et leurs nouveaux patrons : Essonne : les limites du changement », Le Monde, 30 mars 1982(lire en ligne) « Le pouvoir départemental est, en effet, désormais incarné par M. Jean Simonin (R.P.R.), qui est devenu, le mercredi 24 mars, par 18 voix contre 16 au président sortant M. Robert Lakota (P.C.), le nouveau " patron " de l'Essonne. (...) Il a fallu en effet près de trois jours de discussions et de tractations au sein de l'UPE (Union pour l'Essonne), qui rassemble les élus du R.P.R., de l'U.D.F. et des non-inscrits, pour que la candidature de M. Simonin fasse l'unanimité ».
« Simonin Jean, ancien sénateur de l'Essonne », Anciens sénateurs Vème République, sur http://www.senat.fr (consulté le 30 mai 2018).
« Sénat: Mort de Jean Simonin (RPR) », Le Monde, 10 novembre 1993(lire en ligne).
« Les nouveaux élus », Le Monde, 9 octobre 1988(lire en ligne) « M. Xavier Dugoin succède à M. Jean Simonin, sénateur RPR, qui ne s'était pas représenté aux élections cantonales. Bien qu'élu pour la première fois le 2 octobre à l'assemblée départementale, il en devient facilement le président puisqu'il ne lui a manqué que deux voix sur sa majorité théorique ».
Olivier Bertrand, « Un aventurier grisé par le succès facile. Parti de zéro, le président RPR de l'Essonne a toujours rêvé à un destin national », Libération, 24 juillet 1996(lire en ligne).
« Xavier Dugoin n'est plus sénateur : L'ancien président du Conseil général des Hauts-de-Seine avait été condamné le 18 octobre dernier à dix-huit mois d'inéligibilité », L'Obs, 16 janvier 2001(lire en ligne).
AFP, « Démission du maire UMP de Mennecy », Le Figaro, 7 janvier 2011(lire en ligne) « Le maire UMP de Mennecy (Essonne), Xavier Dugoin, a annoncé hier soir sa démission au profit de son fils Jean-Philippe Dugoin-Clément, actuel adjoint aux finances, lors de ses voeux au personnel communal, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la majorité et de l'opposition ».
« La der de Michel Berson : L'ex-patron du département va annoncer son départ du conseil général. Le sénateur (DVG) sera remplacé par une jeune élue issue de la diversité », Le Parisien, édition de l'Essonne, 27 janvier 2014(lire en ligne) « C'était en 1994. Michel Berson, alors maire socialiste de Crosne, est élu à 49 ans conseiller général d'opposition sous la mandature du RPR Xavier Dugoin. En 1997, il prend la tête du groupe socialiste avant, un an plus tard, de contribuer à renverser cette citadelle de droite et d'en garder la présidence pendant treize ans (1998-2011) (...) Après avoir transmis le flambeau de la présidence en 2011 à Jérôme Guedj (PS), être redevenu conseiller général « de base » et avoir été élu sénateur en perdant au passage son étiquette socialiste pour cause de dissidence, l'élu de 69 ans, aujourd'hui divers gauche, a décidé de mettre fin prématurément à son mandat au département ».
« Jérôme Guedj, nouveau président du Conseil général de l’Essonne : L’élection du nouveau Président de Conseil général sonne la fin des cantonales en Essonne. Hier après-midi, le socialiste Jérôme Guedj a pris les rênes du département », Essonne info, 1er avril 2011(lire en ligne).
Emmanuèle Bailly, « Jérôme Guedj (UG), président sortant du Conseil général, élu à Massy : Jérôme Guedj (Union de la Gauche) est élu à Massy alors que l'Essonne, a basculé à droite dimanche à l'issue du second tour des élections départementales », France 3 Paris Île-de-France, 29 mars 2015(lire en ligne).
Jérôme Lemonnier, « La consécration pour François Durovray : Après une semaine forte en rebondissements, François Durovray a été élu à la présidence du Conseil départemental de l’Essonne. Il a présenté les grandes lignes de son programme face à l’assemblée départementale où flottait une certaine tension par moment », Essonne info, 3 avril 2015(lire en ligne).
http://www.essonne.fr/le-conseil-departemental/fonctionnement/lassemblee-departementale/#.VXQNyFKkKtA
Texte de la loi n°82-213 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 17/04/2010.
Texte de la loi n°83-8 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 17/04/2010.
Texte de la loi n°83-663 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 17/04/2010.
Texte de la loi n°83-1186 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 17/04/2010.
Texte de la loi n°2003-1200 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 17/04/2010.
Texte de la loi n°2003-276 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 17/04/2010.
Texte de la loi n°2004-809 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 17/04/2010.
Présentation du SDIS 91 sur le site officiel du conseil général de l’Essonne. Consulté le 17/08/2010.
Présentation des compétences obligatoires sur le site officiel du conseil général de l’Essonne. Consulté le 17/04/2010.
Article L. 3211-1 du code général des collectivités territoriales.
Présentation de l’AEE sur le site officiel du conseil général. Consulté le 17/08/2010.
Présentation du CDT sur le site officiel du conseil général. Consulté le 17/04/2010.
Présentation du FSL sur le site officiel du conseil général de l’Essonne. Consulté le 17/04/2010.
Lauréats 2010 du Grand prix de l'Environnement sur le site de l'association. Consulté le 30/10/2010.
Présentation de la direction générale sur le site officiel du conseil général. Consulté le 17/04/2010.
Conseil départemental de l'Essonne, « Les services du Conseil départemental : Fonctionnement du Département - Conseil départemental de l'Essonne - CD91 », sur www.essonne.fr (consulté le 19 novembre 2018)
Fiche de situation financière départementale 2011 sur la base Alize du ministère des Finances. Consulté le 11/11/2012.
Rapport d’analyse financière 2008 de Fitch Ratigns sur le site officiel du cabinet. Consulté le 15/01/2011.
Rapport d’analyse financière 2009 du cabinet Fitch Ratigns sur son site officiel. Consulté le 15/01/2011.
Ratings actions pour la zone Europe sur le site officiel de Standard & Poor's. Consulté le 09/05/2010.
Conseil départemental de l'Essonne, « Le budget 2018 : Finances - Conseil départemental de l'Essonne - CD91 », sur www.essonne.fr (consulté le 19 novembre 2018)
Fiche de situation financière départementale 2008 sur le site du ministère français de l’Économie et des Finances. Consulté le 17/04/2010.
Fiche de situation financière départementale 2009 sur le site du ministère français de l’Économie et des Finances. Consulté le 02/05/2012.
Fiche de situation financière départementale 2010 sur la base Alize du ministère des Finances. Consulté le 02/05/2012.
Rapport du compte administratif 2008 sur le site officiel du conseil général de l’Essonne. Consulté le 17/04/2010.
Compte administratif 2009 sur le site du conseil général. Consulté le 15/01/2011.
Rapport d’activité 2011 du président du conseil général sur le site officiel de l’institution. Consulté le 11/11/2012.
Article Conseil général de l'Essonne : six logos en onze ans ! sur le site observatoiredessubventions.com Consulté le 06/02/2011.
Présentation du logotype du conseil général sur son site officiel. Consulté le 17/04/2010.
Site officiel de la pétition départementale contre la réforme des collectivités locales et de leur financement. Consulté le 17/04/2010.
Fiche de la marque Banque numérique des savoirs de l'Essonne sur le site de l'Inpi. Consulté le 06/12/2010.
Présentation du jumelage avec la l’Ibaraki sur le site du ministère français des affaires étrangères. Consulté le 24/10/2009.
Fiche du programme de coopération entre l’Essonne et le cercle de Diéma sur le site du ministère français des affaires étrangères. Consulté le 24/10/2009.
Fiche du programme de codéveloppement sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 24/10/2009.
Présentation du partenariat avec le Mali sur le site officiel du conseil général. Consulté le 17/04/2010.
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