1961




 Cette page concerne l'année 1961 (MCMLXI en chiffres romains) du calendrier grégorien.





Chronologies



Description de cette image, également commentée ci-après

Le mur de Berlin en 1961.







Années :
1958 1959 1960  1961  1962 1963 1964
Décennies :
1930 1940 1950  1960  1970 1980 1990
Siècles :
XIXe siècle  XXe siècle  XXIe siècle
Millénaires :
Ier millénaire  IIe millénaire  IIIe millénaire






Chronologies géographiques












Chronologies thématiques

Aéronautique • Architecture • Arts plastiques • Astronautique • Automobile • Bande dessinée • Chemins de fer • Cinéma • Dadaïsme et surréalisme • Disney • Droit • Échecs • Économie • Fantasy • Football • Informatique • Jeu • Jeu vidéo • Littérature • Musique populaire • Musique classique • Numismatique • Parcs de loisirs • Photographie • Radio • Santé et médecine • Science • Science-fiction • Sociologie • Sport • Télévision • Terrorisme •Théâtre






Calendriers

.mw-parser-output .sep-liste{font-weight:bold}
Romain · Chinois · Grégorien · Hébraïque · Hindou · Musulman · Persan · Républicain



1961 est une année commune commençant un dimanche.




Sommaire






  • 1 En bref


  • 2 Relations internationales


  • 3 Événements


    • 3.1 Afrique


      • 3.1.1 Afrique du Nord




    • 3.2 Amérique


    • 3.3 Asie et Pacifique


    • 3.4 Proche-Orient


    • 3.5 Europe




  • 4 Fondations en 1961


  • 5 Naissances en 1961


  • 6 Décès en 1961


  • 7 Voir aussi


  • 8 Notes et références


  • 9 Liens externes





En bref |




  • 12 avril : premier vol orbital d’un homme dans l’espace, Youri Gagarine, à bord du Vostok 1[1].


  • 16 - 20 avril : échec du débarquement de la baie des Cochons à Cuba par les exilés cubains militarisés, soutenus par les États-Unis.


  • 21 - 26 avril : putsch des généraux à Alger.


  • 2-3 juin : sommet Kennedy-Khrouchtchev à Vienne (Autriche) ; début de la « coexistence pacifique »[2].


  • 12 - 13 août : début de la construction du mur de Berlin.


  • 17 octobre : ouverture du congrès du Parti communiste de l’Union soviétique (PCUS) consacrant la rupture avec la Chine[3].


  • 10 décembre : le prix Nobel de la paix est attribué au Suédois Dag Hammarskjöld à titre posthume[4].



Relations internationales |




  • 30 mars : tenue de la convention unique sur les stupéfiants à New York sous l’égide de l’ONU qui prohibe la production, le commerce, la détention et l’usage de la coca, l’opium, du cannabis et leurs dérivés (excepté à des fins médicales) pour les pays signataires[5].


  • 28 mai : le quotidien à grand tirage londonien The Observer publie « L’appel pour l’amnistie 1961 », de Peter Benenson. Cette initiative conduit à la fondation du mouvement Amnesty International[6].


  • 23 juin : entrée en vigueur du traité sur l’Antarctique[7].


  • 1er septembre-6 septembre : Tito organise une conférence des États non-alignés à Belgrade, avec la participation de 25 pays. La Yougoslavie, l’Inde et l’Égypte sont les nations dirigeantes du groupe des pays non-alignés dans ses premières années[8].


  • 9 septembre : ajournement de la conférence sur le désarmement nucléaire (Genève), sans la France[9].


  • 18 septembre : Dag Hammarskjöld, secrétaire général des Nations unies, meurt dans un accident d’avion en Rhodésie[10].


  • 3 novembre : le Birman U Thant, dit « Monsieur U », est nommé secrétaire général des Nations unies[11].


  • 20 décembre : résolution de l’ONU sur le statut des corps célestes ; ils peuvent être librement explorés par tous les États et ne sont pas susceptibles d’appropriation nationale[12].



Événements |



Afrique |



  • 3 janvier : gouvernement Houphouët-Boigny en Côte d’Ivoire[13].


  • 3-7 janvier : la conférence de Casablanca réunit les gouvernements africains les plus « progressistes ». Elle adopte la charte africaine de Casablanca signée par des représentants du Ghana, de la Guinée, du Mali, du Maroc, de la RAU et du GPRA. Elle définit des objectifs supranationaux, dont la création d’un marché commun africain et d’une citoyenneté africaine unique. Elle apporte son soutien aux territoires en lutte pour l’indépendance[14]. Le « groupe de Casablanca » se prononce en faveur du gouvernement de Patrice Lumumba au Congo-Kinshasa[15].



  • 17 janvier, crise congolaise : assassinat de Patrice Lumumba, premier ministre du Congo-Kinshasa[16]. Un de ses partisans, Antoine Gizenga, vice-premier ministre du gouvernement continue le gouvernement à Stanleyville (Kisangani).


  • 19 janvier : démission de Modibo Keïta. Après avoir mis en place un nouveau cabinet, il se fait réinvestir le lendemain à l’unanimité des votants par l’Assemblée nationale du Mali[17]. En mars, à Ségou, il lance un appel à l’austérité et en octobre, il décide la mise en route du premier plan quinquennal malien[18].


  • 20 janvier : Modibo Keïta demande l’évacuation rapide de toutes les bases françaises du Mali[19] (2200 hommes, qui assurent la surveillance de la frontière avec l’Algérie). Ce retrait est achevé en septembre.




  • 4 février : début de la rébellion nationaliste en Angola soutenue par l’Union soviétique (1961-1974). Émeute à Luanda où les rebelles attaquent les prisons, suivie d’une insurrection massive de paysans (février-mars)[20]. Les membres du MPLA tuent 2000 colons portugais, ce qui déclenche la guerre d´indépendance (1961-1974)[21]. L´insurrection est matée dans le sang à partir du 5 février.


  • 11 février : référendum au Cameroun britannique ; le sud s’unit au Cameroun français nouvellement indépendant, le nord vote en faveur du rattachement au Nigeria[22].


  • 12 février : Léon Mba est élu président du Gabon. Un gouvernement d’Union nationale est formé le 21 février[23].


  • 21 février : la résolution 161 du Conseil de sécurité des Nations unies autorise l’Opération des Nations unies au Congo à recourir à la force en dernier recours pour faire cesser les combats au Congo[24].





Guerre en Angola : reconquête de Beira Baixa au nord du pays par les Portugais




  • 15 mars : l’Union des populations de l’Angola (UPA) de Holden Roberto lance depuis le Congo la grande révolte des Bakongo dans le nord de l’Angola[25]. Plusieurs centaines de Portugais et d’assimilados sont massacrés.


  • 30 mars : la constitution du Togo est promulguée[26].


  • 25 - 31 mars : IIIe Conférence des Peuples africains au Caire[27].




  • 6 avril, Ghana : « Discours à l’aube », discours radiodiffusé de Kwame Nkrumah qui stigmatise la corruption de plusieurs cadres de son parti, le CPP[28].


  • 9 avril : Sylvanus Olympio est élu président du Togo[26].


  • 13 avril : Salazar prend le ministère de la défense au Portugal et organise une répression sanglante en Angola[29] : 30 000 à 50 000 Africains sont tués et de 150 000 à 200 000 Angolais se réfugient au Congo Léopoldville. Le mouvement se poursuit par des guérillas dans le nord et dans l’est du pays[30].


  • 26 avril : arrestation de Moïse Tshombe, emprisonné à Léopoldville jusqu’au 22 juin ; l’État du Katanga est gouverné par un collège constitué du vice-président Jean-Baptiste Kibwe, le ministre de l’éducation nationale Joseph Kiwele et le ministre de l’intérieur Godefroid Munongo[31].


  • 27 avril : indépendance de la Sierra Leone[32].


  • 29 avril : signature à Accra d’une « charte de l’Union des États africains » par les chefs d’État de la Guinée, du Ghana et du Mali[33]. Elle ne se réalisera pas.




  • 1er mai : Julius Nyerere (TANU), Premier ministre du Tanganyika devenu autonome[34].


  • 2 mai : André Malraux, ministre d’État aux Affaires culturelles se rend à Bamako pour normaliser la situation entre la France et le Mali[35]. Quelques jours plus tard, Modibo Keita propose l’ouverture de négociations bilatérales, qui sont conduites à Londres alors que la France évacue la base de Kati (8 juin). Les bases de Tessalit (8 juillet), de Gao (2 août) et de Bamako (5 septembre) sont évacuées[36].


  • 8 - 12 mai : conférence de Monrovia (21 participants) réunie à l’initiative de sir Abubakar Tafawa Balewa (en), Premier ministre du Nigeria. Elle prône le renforcement des États-nations en affirmant l’égalité absolue entre eux, la non-ingérence dans les affaires intérieures de chacun, le respect de leur souveraineté et la nécessité de coopérer au sein d’organismes consultatifs. Elle préconise le maintien des relations avec les anciennes métropoles et propose l’introduction du français et de l’anglais aux côtés des langues nationales[37].


  • 10 mai : Charles Swart est élu Président de la République d’Afrique du Sud[38].


  • 15 - 25 mai : à la Conférence d’Addis-Abeba organisée par l’UNESCO, les représentants des États participants se donnent pour objectif la scolarisation universelle à la fin des années 1970[39].


  • 25 - 30 mai : congrès constitutif de l’USPA (Union syndicale Panafricaine) à Casablanca[40].


  • 31 mai : entrée en vigueur de la nouvelle Constitution sud-africaine. l’Union d'Afrique du Sud cède la place à la République d’Afrique du Sud et quitte le Commonwealth plutôt que de renoncer au principe d’inégalité raciale[41].



  • 20 juin : la constitution somalienne est adoptée par référendum[42].


  • 9-11 juillet : premier congrès du United National Independence Party (UNIP). Kenneth Kaunda lance une campagne de désobéissance civile en Rhodésie du Nord (Cha-cha-cha campaign). La situation devient insurrectionnelle dans le Nord de la fédération de Rhodésie et au Nyassaland[43].



  • 14 août : libération de Jomo Kenyatta après neuf ans de détention, après que la KANU, victorieuse aux élections de février, a conditionné la formation d’un gouvernement responsable à sa libération ; il prend la direction du parti le 28 octobre[44]. Le Kenya obtient son indépendance en 1964.


  • 15 août : gouvernement noir au Nyassaland après la victoire du Parti du congrès du Malawi aux législatives[45].


  • 20 août : Moktar Ould Daddah est élu le président de Mauritanie (fin en 1978)[46].



  • 28 août : opération « Rumpunch » menée par l’ONUC contre Élisabethville pour en déloger les mercenaires. Le succès est partiel[47].



  • 1er septembre : un groupe de onze anciens soldats érythréens menés par Hamid Idris Awate (en) attaque un poste de police. Début de l’insurrection de l’Érythrée contre l’Éthiopie sous la direction du FLE (Front de libération de l’Érythrée). Le conflit dure trente ans[48].


  • 6 septembre : décret-loi n° 43.893. Les habitants de l’empire colonial portugais accèdent à la citoyenneté portugaise[49].


  • 11 septembre : constitution par les États africains « modérés » du Groupe de Brazzaville de l’Union africaine et malgache (UAM) à la conférence de Tananarive (6-12 septembre)[50].


  • 13 septembre : échec de l’opération « Morthor » menée par l’ONUC pour arrêter les dirigeants sécessionnistes du Katanga (Tshombe, Munongo, Kibwe et Mutaka ). Seul Kibwe est fait prisonnier[47].




  • 17 septembre : reddition de 158 soldats de l’ONUC (dont 155 irlandais) assiégés à Jadotville par l’armée katangaise[24].

  • Nuit du 17 au 18 septembre : le secrétaire général des Nations unies Dag Hammarskjöld est tué dans un accident d’avion près de Ndola, en Rhodésie du Nord[24].


  • 18 et 25 septembre : élections supervisées par l’ONU au Burundi[51] et au Ruanda[52].




  • 1er octobre : réunification du Cameroun[22]. Le 11 novembre, le président Ahmadou Ahidjo se prononce pour la constitution d’un parti national unifié[53].


  • 18 octobre : victoire du Parti national aux élections législatives sud-africaines[54].




  • 9 - 20 novembre : voyage de la reine Élisabeth II du Royaume-Uni au Ghana[55].


  • 25 novembre : début de la répression du « Complot des enseignants » en Guinée[56]. Le régime élabore la théorie du « complot permanent » auquel il répond par la terreur symbolisée par les « pouvoirs révolutionnaires locaux » et le « camp Boiro » où sont internés les opposants[57].




  • 6 décembre : constitution en Rhodésie du Sud, négociée avec le Royaume-Uni, qui institue une assemblée élue sur la base des « races », avec 50 sièges pour les colons blancs et 15 pour les Africains[58].


  • 9 décembre : indépendance du Tanganyika au sein du Commonwealth. Julius Nyerere chef de l’État[34].


  • 11 décembre : Sir Albert John Lutuli (Afrique du Sud) reçoit à Oslo le prix Nobel de la paix pour 1960[59].


  • 19 décembre : l’ONU forme un comité spécial d’enquête sur les territoires portugais d’Afrique[60].


  • 21 décembre : accords de Kitona entre Moïse Tshombe et Cyrille Adoula. Par une déclaration en huit ponts, Tshombe renonce à l’indépendance du Katanga et reconnait Joseph Kasa-Vubu comme président du Congo[61].



Afrique du Nord |




  • 8 janvier : référendum français sur l’autodétermination de l’Algérie. La politique du général de Gaulle est approuvée par près de 75,2 % des suffrages exprimés en métropole et par 69,1 % en Algérie[62].


  • 25 janvier : l’avocat Pierre Popie est assassiné (premier meurtre revendiqué par les fondateurs de l’OAS)[62].


  • 11 février : création à Madrid de l’Organisation armée secrète (OAS) par Pierre Lagaillarde et Jean-Jacques Susini pour défendre l’Algérie française[63].



  • 3 mars : intronisation du roi Hassan II après la mort à Rabat du roi Mohammed V du Maroc le 26 février ; le 4 mars, Hassan II prend la tête du gouvernement[64].


  • 10 avril : le premier tract de l’OAS est distribué à Alger. « L’OAS frappe où elle veut et quand elle veut »[62].



  • 21 - 26 avril : tentative de putsch des généraux à Alger. Dans la nuit du 21 au 22 avril les généraux Challe, Jouhaud, Zeller, rejoint par le général Salan le 23 avril, parviennent à soulever plusieurs régiments dans un coup de force pour s’opposer à la politique algérienne du général de Gaulle. Le 1er régiment étranger de parachutistes commandé par Hélie de Saint-Marc prend le contrôle de la ville. Le putsch durera quatre jours avant son échec[62].


  • 23 avril : dans une allocution télévisée, Charles de Gaulle condamne le « quarteron des généraux en retraite » et s’attribue les pleins pouvoirs en vertu de l’article 16 de la Constitution[62].


  • 25 avril : opération gerboise verte, dernier essai nucléaire français atmosphérique tiré à Reggane en Algérie[65].


  • 25-26 avril : la sédition des généraux prend fin : Gouraud, Challe, puis Zeller se constituent prisonniers[62].



  • 20 mai-13 juin : échec de la première conférence d’Évian sur l’Algérie[66].




3 juin : obsèques de Roger Gavoury, premier fonctionnaire français tué par l’OAS le 31 mai.



  • 29 mai : le général Salan prend la tête de l’Organisation armée secrète[67].



  • 5 juillet : sanglants affrontements dans la région de Constantine et d’Alger à l’occasion de la journée nationale organisée par le FLN.


  • 11 juillet : les généraux Raoul Salan, Edmond Jouhaud et Paul Gardy sont condamnés à mort par contumace par le Haut Tribunal militaire[68].


  • 12 juillet : dans un discours radiotélévisé, De Gaulle déclare « La France accepte sans aucune réserve que les populations algériennes constituent un État entièrement indépendant »[66].


  • 17 - 22 juillet, Tunisie : crise de Bizerte. Revendiquant la base de Bizerte, le président Bourguiba poste ses troupes autour des installations françaises : un affrontement sanglant s’ensuit. La Tunisie rompt les relations diplomatiques avec la France et saisit le Conseil de sécurité des Nations unies (résolution 164). Le 29 septembre, un accord prévoit l’évacuation de la base par la France[69].



  • 29 août : De Gaulle adresse ses instructions au premier ministre Michel Debré et au ministre d’État, chargé des affaires algériennes, Louis Joxe : « Vis-à-vis de l'Algérie, notre politique est celle du dégagement »[70]. Depuis le début du mois de juillet, les troupes françaises se retirent progressivement d’Algérie[71].



  • 5 septembre : de Gaulle admet les prétentions algériennes sur le Sahara. La négociation avec le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) reprend le 9 décembre[66].


  • 11 - 12 septembre : graves incidents dans le quartier juif d’Oran[72].


  • 12 septembre : graves incidents à Bab El-Oued[73].



  • 2-20 novembre : Ben Bella et les détenus algériens en France font la grève de la faim pour obtenir le statut de prisonnier politique[74].


Amérique |


Article détaillé : 1961 au Brésil.



  • 4 janvier : rupture des relations diplomatiques entre les États-Unis et Cuba à la suite de l’expulsion de diplomates américains en poste à la Havane. Eisenhower transmet le dossier à Kennedy, qui donne le feu vert à l’invasion, à condition qu’aucune force nord-américaine ne soit impliquée[75].


  • 20 janvier : début de la présidence démocrate de John Fitzgerald Kennedy aux États-Unis (fin en 1963)[76].





Janio Cuadros et Arturo Frondizi le 21 avril 1961



  • 31 janvier : Jânio da Silva Quadros, (UDN), Président de la République au Brésil[77]. Il doit affronter une situation économique délicate.


  • 23 février : Ernesto Guevara devient ministre de l’industrie à Cuba[78]. Il élabore un plan de restructuration, dans l’idée de rompre la dépendance économique de Cuba à l’égard des exportations de sucre, de diversifier la production agricole et d’industrialiser le pays. La production de sucre tombe de 6,8 millions de tonnes en 1961 à 4,8 en 1962 et 3,8 en 1963, privant le pays de précieuses devises. L’industrialisation est handicapée par l’embargo nord-américain[75].




John F. Kennedy et Rómulo Betancourt, lors d’une réunion officielle au Venezuela dans le cadre de l’Alliance pour le Progrès, le 16 décembre 1961.



  • 13 mars : le président Kennedy propose à l’Amérique latine une « Alliance pour le Progrès » afin de promouvoir conjointement le développement économique, engager des réformes structurelles, instaurer ou consolider la démocratie[79]. Le lendemain, il demande au Congrès des États-Unis l’autorisation de créer un Fond interaméricain de progrès social[75].



  • 14 avril : plébiscite de François Duvalier lui permettant de commencer un nouveau mandat le 22 mai et de rester au pouvoir à Haïti jusqu’en 1967[80].


  • 17 avril : débarquement de la baie des Cochons. Un millier d’opposants au régime castriste, bénéficiant de l’aide de la CIA, tentent un débarquement armé. Les attaquants sont attendus par les troupes de Castro et ne reçoivent aucune aide aérienne de la part des États-Unis. L’opération se révèle un fiasco et à pour conséquence un rapprochement officiel de Fidel Castro avec l’Union soviétique. La veille de l’attaque, il a proclamé le caractère « socialiste » de la révolution cubaine et Khrouchtchev lui assure son soutien inconditionnel. Le gouvernement des États-Unis décrète un blocus[75].


  • 25 avril : création au Brésil d’une société nationale, Eletrobrás, pour contrôler la production et la distribution d’électricité[81].



  • 1er mai : Cuba devient une République démocratique socialiste[82].


  • 30 mai : assassinat de Trujillo en République dominicaine, ouvrant une période d’instabilité politique[83]. Longtemps écarté du pouvoir, la bourgeoisie se rue sur les biens du dictateur déchu.


  • 23 juillet : fondation du Front sandiniste de libération nationale au Nicaragua, qui mène des actions insurrectionnelles[84].



  • 5 - 17 août : conférence exceptionnelle du Conseil interaméricain économique et social de l’OEA à Punta del Este, en Uruguay. Après le fiasco de l’intervention à Cuba, Kennedy présente ses projets d’« Alliance pour le progrès ». Deux documents sont signés : le premier, la Déclaration des peuples d’Amérique, fixe un certain nombre d’objectifs généraux détaillés dans le second, la Charte de Punta del Este[75]. La rhétorique de l’Alliance pour le progrès concernant la démocratie ne sera guère suivie d’effet et sera même contre-productive. À l’opposée, l’assistance militaire fait des progrès considérables. Elle passe de 65 millions par an pour l’Amérique latine entre 1953 et 1961 à 172 millions pour les trois années de l’administration Kennedy. L’aide économique est singulièrement accrue, passant d’une moyenne annuelle de 204 millions de dollars sous la présidence d’Eisenhower à 1,3 milliard entre 1962 et 1965.


  • 23 août, Brésil : le journaliste Carlos Lacerda dénonce à la télévision de São Paulo un coup d’État qu’aurait préparé le président Quadros. Le 24 août, il fait de même à la télévision de Rio[77].


  • 25 août : le Président brésilien Jânio Quadros renonce à la présidence et quitte Brasilia, laissant une lettre accusant les forces occultes et étrangères. Le vice-président João Marques Goulart, ancien ministre du Travail de Getúlio Vargas qui se trouvait en Chine, revient en hâte, et trouve un compromis avec l’armée : l’armée laisse Goulart accéder à la présidence, mais la Constitution est amendée (2 septembre). De présidentiel, le régime devient parlementaire. Goulart entre en fonction le 7 septembre et Tancredo Neves forme le gouvernement le 8 septembre[77].



  • 19 septembre : référendum en Jamaïque, qui choisit de quitter la Fédération des Indes occidentales[85].



  • 7 novembre : les militaires mettent un terme au quatrième mandat du dirigeant populiste Velasco en Équateur. Le vice-président Carlos Julio Arosemena Monroy lui succède le 9 novembre. Il fait preuve de nationalisme et d’inclinaisons à gauche (fin le 11 juillet 1963)[86].


  • 30 novembre : opération Mongoose de la CIA contre le gouvernement cubain[87].



  • 2 décembre : Fidel Castro se déclare marxiste-léniniste[88].


Asie et Pacifique |




  • 28 janvier : au Cambodge, Penn Nouth est nommé Premier ministre[89].


  • 9 mars : première compétition internationale de récitation du Coran à Kuala Lumpur[90].


  • 23 mars : le 14e dalaï lama refonde l’institut de médecine et d’astrologie tibétaine à Dharamsala en Inde[91].




Guérilleros anticommunistes Hmongs au printemps 1961, pendant la guerre civile laotienne.




  • 11 mai : cessez-le-feu au Laos[92].


  • 16 mai :

    • ouverture de la Conférence de Genève sur le Laos (fin en juillet 1962)[92].

    • coup d’État militaire en Corée du Sud. Un gouvernement militaire mené par le général Park Chung-hee gouverne par décret la Corée du Sud jusqu’en octobre 1963, quand Park Chung-hee est élu président. Il reste au pouvoir jusqu’à sa mort en 1979[93]. Début de la dictature militaire (fin en 1988).




  • 20 mai : le gouvernement indien fait voter une loi interdisant d’exiger une dot pour conclure un mariage, le Dowry Prohibition Act (en)[94].


  • 27 mai : Tunku Abdul Rahman propose d’élargir la fédération de Malaisie à Singapour, Sarawak, Sabah (Nord-Bornéo) et Brunei[95].




  • 12 juin : promulgation de la loi fondamentale sur l’agriculture au Japon[96].


  • 22 juin : accord de Zurich permettant l’installation d’un gouvernement d’union nationale au Laos[92].


  • 29 juillet : Wallis-et-Futuna devient un territoire d'outre-mer.



  • 6 septembre : rupture des relations diplomatiques et fermeture des frontières entre l’Afghanistan et le Pakistan sur la question du Pachtounistan (fin le 28 mai 1963)[97].


  • 27 octobre : l’Union soviétique soutient la candidature de la Mongolie à l’ONU[98].


  • 17 novembre : au Cambodge, Norodom Sihanouk se nomme Premier ministre[89].




Guerre du Viêt Nam : l’ARVN en action (photographie de 1961).



  • 18 novembre : Kennedy envoie 18 000 conseillers militaires américain à Saigon pour aider le gouvernement sud-vietnamien dans sa lutte contre le Front national de libération du Sud Viêt Nam[99].



  • 1er décembre : le Conseil de la Nouvelle-Guinée occidentale créé par les Pays-Bas, qui est la puissance coloniale, hisse un nouveau drapeau, l’« Etoile du matin »[100].


  • 9 décembre : élections fédérales australiennes[101].


  • 11 décembre : arrivée du premier contingent d’hélicoptères de combat américain à Saigon[99]. Début de l’engagement américain (15 000 hommes) au Viêt Nam.


  • 18 et 19 décembre : annexion de Goa, Daman et Diu (territoires portugais) à l’Inde avec l’intervention de l’armée (opération Vijay, combat de Mormugão)[102].


  • 20 décembre : résolution 1723 de l’Assemblée générale des Nations unies sur la situation au Tibet à la suite des appels du 14e dalaï lama[103].



Proche-Orient |



  • 15-21 janvier : le Qatar adhère à l’OPEP à la suite d’une décision de la conférence de Caracas[104].




11 avril-15 décembre : procès Adolf Eichmann, qui est condamné à mort.



  • 11 avril : début du procès Adolf Eichmann en Israël[105].


  • 11 mai : le président américain Kennedy adresse une lettre aux principaux dirigeants arabes, qui lance une initiative de paix pour le Moyen-Orient. Il souhaite l’application des recommandations de l’ONU sur les réfugiés palestiniens et la résurrection de la Commission de conciliation de 1949. Les réfugiés arabes pourraient se voir octroyer le droit d’émigrer en Amérique du Nord, en Amérique latine et en Australie, sauf 25 % qui rentreraient en Israël[106]. David Ben Gourion refuse tout retour de réfugiés avant le règlement durable de l’ensemble de la question. Il se rend aux États-Unis (entrevue du Waldorf-Astoria le 30 mai) et recherche une intervention américaine contre les livraisons d’armes de l’Union soviétique à la RAU[107]. En septembre, Kennedy désigne un émissaire spécial au Moyen-Orient, Joseph Johnson, chargé d’étudier la question des réfugiés palestiniens sur la base des propositions américaines. Nasser s’affirme favorable au plan américain. Washington se rapproche de Tel-Aviv, malgré la question de l’armement nucléaire israélien.



  • 19 juin : le Koweït accède à l’indépendance après abrogation du traité de protectorat de 1899[108].


  • 25 juin : le premier ministre irakien Qasim envoie un mémorandum à la Ligue arabe qui revendique « le territoire koweïtien comme partie intégrante de l’Irak » et menace de l’occuper militairement. Le Koweït fait appel à la Grande-Bretagne qui débarque des troupes 1er juillet[108],[109]. Le Conseil de sécurité des Nations unies se réunit du 2 au 7 juillet, mais le veto de l'URSS empêche toute résolution. La Ligue arabe accueille le Koweït le 20 juillet et le 10 septembre les troupes arabes remplacent les britanniques.




  • 20 juillet : Nasser nationalise les banques, les compagnies d’assurances et de nombreuses autres sociétés industrielles en Égypte[110].


  • 25 juillet : une nouvelle loi de réforme agraire est promulguée en Égypte. Le plafond de la superficie des propriétés est réduit à 42 ha. Les cultures sont réglementées par l’État et encadrées par des coopératives agricoles[111].


  • 17 août : le gouvernement de la République arabe unie est entièrement centralisé en Égypte[110].


  • 11 septembre : début de la révolte kurde en Irak. Qasim soutient les opposants au dirigeant kurde Barzani, qui réplique en prenant le maquis et demande l’autonomie du Kurdistan. En septembre, les organisations kurdes sont interdites et l’armée entame une répression contre les forces de Barzani. Devant la situation, les officiers kurdes de l’armée démissionnent et s’engagent auprès de Barzani. La guérilla kurde est efficace et l’armée irakienne ne parvient à contrôler que les principales agglomérations. Le régime de Qasim en sort affaiblit[112].


  • 28 septembre : la centralisation du gouvernement de la République arabe unie décidé le 17 août provoque un coup d’État à Damas. L’armée syrienne s’empare du pouvoir. Nasser refuse une épreuve de force et rapatrie tous les Égyptiens présents en Syrie. La RAU est dissoute le 5 octobre[110].




  • 15 octobre : élections législatives en Turquie[113].


  • 18 octobre : nouveau gouvernement en Égypte, sans représentation syrienne[110].


  • 24 octobre, Arabie saoudite : inauguration de l’université islamique de Médine, chargée de former des missionnaires pour répandre le Wahhabisme[114]. les États-Unis soutiennent la politique de prédication des wahhabites qui leur apparaît comme un moyen de combattre l’arabisme révolutionnaire et le marxisme.


  • 15 décembre, Israël : à Jérusalem, le nazi Adolf Eichmann est condamné à mort après un procès de 8 mois[105].


  • 31 décembre : échec d’une tentative de prise de pouvoir par le Parti social nationaliste syrien au Liban[115].



Europe |




  • 22-23 janvier : détournement du paquebot Santa Maria par le capitaine Henrique Galvão pour attirer l’attention sur le régime de l’Estado Novo au Portugal[116].


  • 31 janvier, Portugal : la préparation des élections permet de mettre au point un « programme pour la démocratisation de la République », rendu public le 11 mai par une conférence de presse. Le gouvernement interdit la publication de ce document jugé diffamatoire et subversif. Les principaux signataires sont poursuivis[117].



  • 10 et 11 février : les 6 États-membres de la CEE veulent une union politique[118].



  • 21 mars : Gheorghe Gheorghiu-Dej devient président du Conseil d’État en Roumanie[119].


  • 31 mars : recensement en Yougoslavie[120]. À cette occasion, les musulmans de Bosnie-Herzégovine obtiennent un statut ethnique distinct pour les mettre sur un pied d’égalité avec les Serbes et les Croates[121].




  • 15 avril : élections législatives polonaises[122].


  • 25 avril : gouvernement de Théo Lefèvre en Belgique (fin en 1965)[123].


  • 26 avril : l’aide économique soviétique à l’Albanie est officiellement suspendue[124].



  • 15 mai : encyclique Mater et Magistra du pape Jean XXIII sur les questions sociales[125]. Renouvellement de l’enseignement social de l’Église.




4 juin : entrevue de Kennedy et Khrouchtchev



  • 4 juin : entrevue de Kennedy et Khrouchtchev à Vienne. Le dirigeant soviétique annonce son intention de signer un traité de paix avec la RDA, qui rendrait caduc les droits d’accès aérien et terrestres occidentaux à Berlin-Ouest. Kennedy réagit fermement et demande en juillet au Congrès des États-Unis le droit de rappeler 250 000 réservistes. Après la construction du mur de Berlin, Khrouchtchev annonce qu’il renonce pour le moment à la signature d’un tel traité[79].



  • 5 août : les ministres des Affaires étrangères occidentaux réunis à Paris décident de maintenir par tous les moyens la présence à Berlin de leurs troupes, la liberté de la population et le libre accès à la ville[126].


  • 9 août : Harold Macmillan demande formellement l’adhésion du Royaume-Uni à la CEE[118].





20 novembre : construction du Mur de Berlin


  • Nuit du 12 au 13 août : construction dans la d’un réseau de barbelés qui coupe Berlin en deux, ce qui va devenir le mur de Berlin quand le béton commencera à remplacer le fil de fer, deux jours plus tard. Les autorités est-allemandes veulent ainsi mettre un terme à l'exode massif des Berlinois de l’Est vers l’ennemi de l’Ouest. Le mur tombera après vingt-huit ans et plus de deux cent trente-huit morts, le 9 novembre 1989, événement marquant le début de la fin de l’empire soviétique et de facto celui de la guerre froide.



  • 1er septembre : reprise des essais nucléaires soviétiques dans l’atmosphère[127].


  • 11 septembre :

    • fondation à Lisbonne de la Lisnave (pt), chantier naval le plus important du monde occidental[128].


    • élections législatives norvégiennes[129].




  • 17 septembre : élection du 4e Bundestag en Allemagne de l’Ouest[130].




  • 17 octobre : Massacre d’indépendantistes algériens lors d’une manifestation à Paris[131].


  • 17-31 octobre : XXIIe Congrès du Parti communiste de l’Union soviétique à Moscou. Khrouchtchev réitère certaines de ses accusations contre Staline et fait retirer sa dépouille du mausolée où il reposait aux côtés de Lénine. Il obtient également l’exclusion du parti des staliniens qui s’étaient opposés à lui en 1957[132].



  • 18 octobre : la charte sociale européenne est signée à Turin[133].




27 octobre : face à face entre chars soviétiques et américains à Checkpoint Charlie.




  • 27 octobre : à Checkpoint Charlie à Berlin, face à face de deux colonnes de chars d’assaut américains et soviétiques 16 heures durant[134].


  • 29 octobre : les élections législatives en Grèce reconduisent la majorité absolue à l’Union nationale radicale de Constantin Caramanlis sur fond d’irrégularités ; l’Union du centre de Geórgios Papandréou émerge avec 33,65 % des suffrages[135].


  • 30 octobre: explosion au-dessus de l’archipel arctique soviétique de Nouvelle-Zemble de Tsar Bomba, la bombe nucléaire la plus puissante jamais mise au point par l’homme[136].




  • 14 novembre : cabinet Adenauer IV en RFA[137].


  • 28 novembre : reprise de la conférence de Genève sur le désarmement, Khrouchtchev réclame la présence de la France[138].




  • 10 décembre: rupture des relations diplomatiques entre l’URSS et la République populaire d’Albanie[3] ; l’Albanie pratique une politique prochinoise.


  • 31 décembre : tentative de putsch militaire à Béja au Portugal[139].



Fondations en 1961 |


Voir la catégorie : Fondation en 1961.


Naissances en 1961 |


Article détaillé : Naissances en 1961.


Décès en 1961 |


Article détaillé : Décès en 1961.

Personnalités majeures décédées en 1961 :




Ernest Hemingway




  • 10 janvier : Dashiell Hammett (romancier américain)


  • 17 janvier : Patrice Lumumba (homme politique congolais)


  • 21 janvier : Blaise Cendrars (écrivain français d'origine suisse)


  • 26 février : Mohammed V (sultan puis roi du Maroc)


  • 3 mai : Maurice Merleau-Ponty (philosophe français)


  • 13 mai : Gary Cooper (acteur américain)


  • 6 juin : Carl Gustav Jung (psychiatre suisse)


  • 1er juillet : Louis-Ferdinand Céline (écrivain français)


  • 2 juillet : Ernest Hemingway (écrivain américain)


  • 1er septembre : Eero Saarinen (architecte et designer américain d'origine finlandaise)


  • 11 octobre : Chico Marx (acteur américain)


  • 14 octobre : Paul Ramadier (homme politique français)



Voir aussi |


  • Liste d'élections en 1961


Notes et références |





  1. Alain Dupas, La nouvelle conquête spatiale, Odile Jacob, 2010(ISBN 9782738124869, présentation en ligne)


  2. Pierre Jeanneret, Popistes : histoire du Parti ouvrier et populaire vaudois, 1943-2001, Éditions d'en bas, 2002(ISBN 9782829002724, présentation en ligne)


  3. a et bOlivier Delorme, La Grèce et les Balkans, vol. 2, Gallimard (ISBN 9782072488450, présentation en ligne)


  4. Carsten Stahn, Henning Melber, Peace Diplomacy, Global Justice and International Agency : Rethinking Human Security and Ethics in the Spirit of Dag Hammarskjöld, Cambridge University Press, 2014(ISBN 9781107037205, présentation en ligne)


  5. Traités multilatéraux déposés auprès du secrétaire général : État au 31 décembre 2002, United Nations Publications, 2003(ISBN 9789212333755, présentation en ligne)


  6. Encyclopédie de la culture politique contemporaine, Hermann, 2008(ISBN 9782705670184, présentation en ligne)


  7. Yves Frenot, Le Traité Antarctique : La recherche française en Antarctique, MkF Éditions, 2013(présentation en ligne)


  8. Françoise Berger, Gilles Ferragu, Le XXe siècle, Hachette Éducation, 2016(ISBN 9782013201124, présentation en ligne)


  9. Actes Officiels - Assemblée de L'Union de L’Europe occidentale, vol. 2-4, 1962(présentation en ligne)


  10. Philippe Moreau Defarges, Relations internationales. Questions régionales, Seuil (ISBN 9782021291469, présentation en ligne)


  11. David Gioe, Len Scott, Christopher Andrew, An International History of the Cuban Missile Crisis : A 50-year Retrospective, Routledge, 2014(ISBN 9781317813149, présentation en ligne)


  12. Ius Gentium r.y, he Finnish Yearbook of International Law, vol. 2, Martinus Nijhoff Publishers, 1990(ISBN 9789041104694, présentation en ligne)


  13. Cyril K. Daddieh, Historical Dictionary of Cote d'Ivoire (The Ivory Coast), Rowman & Littlefield, 2016(ISBN 9780810873896, présentation en ligne)


  14. Abdelkhaleq Berramdane, Le Maroc et l'Occident : 1800-1974, Karthala Éditions, 1987(ISBN 9782865371716, présentation en ligne)


  15. « Onze mois de crise politique au Congo », Courrier hebdomadaire du CRISP, vol. 30, no 120,‎ 1961, p. 1-24 (présentation en ligne)


  16. Emizet F. Kisangani, Guerres civiles dans la République démocratique du Congo, 1960-2010, l'Harmattan, 2015(ISBN 9782343021980, présentation en ligne)


  17. Jean Du Bois de Gaudusson, Gérard Conac, Christine Desouches, Les constitutions africaines publiées en langue française : Mali, Maroc, Maurice, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Tchad, Togo, Tunisie, vol. 2, La documentation française (ISBN 9782802710837, présentation en ligne)


  18. « Le Mali de Modibo Keita (1960-1968) », sur clio.fr (consulté le 5 juin 2016)


  19. Philippe Oulmont, Maurice Vaïsse, De Gaulle et la décolonisation de l'Afrique subsaharienne, Karthala, 2014(ISBN 9782811110338, présentation en ligne)


  20. Isabel de Castro Henriques, Commerce et changement en Angola au XIXe siècle : Imbangala et Tshokwe face à la modernité, vol. 1, L'Harmattan, 1995(ISBN 9782738433510, présentation en ligne)


  21. Figures de la révolution africaine : De Kenyatta à Sankara, La Découverte, 2014(ISBN 9782355220753, présentation en ligne)


  22. a et bAnge Bergson Lendja Ngnemzué, Politique et émigration irrégulière en Afrique : enjeux d'une débrouille par temps de crise, Karthala, 2010(ISBN 9782811103460, présentation en ligne)


  23. Guy Rossatanga-Rignault, Le Gabon malgré lui, Karthala, 2005(ISBN 9782845866959, présentation en ligne)


  24. a b et cWalter Bruyère-Ostells, Dans l'ombre de Bob Denard : Les mercenaires français de 1960 à 1989, Nouveau Monde éditions (ISBN 9782369420781, présentation en ligne)


  25. Jean-François Labourdette, Histoire du Portugal, Fayard, 2000(ISBN 9782213640105, présentation en ligne)


  26. a et bEuropa Publications, A Political Chronology of Africa, Routledge, 2003(ISBN 9781135356668, présentation en ligne)


  27. Fongot Kini-Yen Kinni, Pan-Africanism : Political Philosophy and Socio-Economic Anthropology for African Liberation and Governance, vol. 2, Langaa RPCIG, 2015(ISBN 9789956762309, présentation en ligne)


  28. Présence Africaine, vol. 85, 1973(présentation en ligne)


  29. Les Grands Articles d'Universalis : Portugal, vol. 87, Encyclopaedia Universalis, 2014(ISBN 9782341001915, présentation en ligne)


  30. Ali Al'Amin Mazrui, L'Afrique depuis 1935, vol. 8, UNESCO, 1998(ISBN 9789232025005, présentation en ligne).


  31. Martin Chukwuka Okany, Osagyefo Dr. Kwame Nkrumah : the legend of African nationalism, Africana First Publishers, 2008(ISBN 9789781755286, présentation en ligne)


  32. Patrick Puy-Denis, La Sierra Leone, Karthala, 1998(ISBN 9782865377237, présentation en ligne)


  33. Edmund Jan Osmańczyk, Anthony Mango, Encyclopedia of the United Nations and International Agreements : T to Z, vol. 4, Taylor & Francis, 2003(ISBN 9780415939249, présentation en ligne)


  34. a et bKefa M. Otiso, Culture and Customs of Tanzania, ABC-CLIO, 2013(ISBN 9780313087080, présentation en ligne)


  35. Documents diplomatiques français, Peter Lang, 2009(ISBN 9789052015378, présentation en ligne)


  36. Abdoulaye-Sékou Sow, L'état démocratique républicain : la problématique de sa construction au Mali, Grandvaux, 2008(ISBN 9782909550619, présentation en ligne)


  37. Hélène d'Almeida-Topor, L'Afrique du XXe siècle à nos jours, Armand Colin, 2013(ISBN 9782200288938, présentation en ligne)


  38. Guy de Bosschère, Le Tiers monde, Seghers, 1975(présentation en ligne)


  39. Bhekithemba Richard Mngomezulu, Politics and Higher Education in East Africa, AFRICAN SUN MeDIA, 2012(ISBN 9781920382117, présentation en ligne)


  40. Publications de la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l'Université catholique de Louvain, Vander, 1967(présentation en ligne)


  41. François-Xavier Fauvelle-Aymar, Histoire de l'Afrique du Sud, Seuil (ISBN 9782021008548, présentation en ligne)


  42. Mohamed Haji Mukhtar, Historical Dictionary of Somalia, Scarecrow Press, 2003(ISBN 9780810866041, présentation en ligne)


  43. Dr Miles Larmer, Rethinking African Politics : A History of Opposition in Zambia, Ashgate Publishing, Ltd., 2013(ISBN 9781409482499, présentation en ligne)


  44. Bethwell A. Ogot, William Robert Ochieng', Decolonization and Independence in Kenya, Ohio State University Press, 1995(présentation en ligne)


  45. John McCracken, A History of Malawi, 1859-1966, Boydell & Brewer Ltd, 2012(ISBN 9781847010506, présentation en ligne)


  46. Muriel Devey, La Mauritanie, Karthala, 2005(ISBN 9782845865839, présentation en ligne)


  47. a et bIsidore Ndaywel è Nziem, Histoire générale du Congo, De Boeck Supérieur, 1998(ISBN 9782801111741, présentation en ligne)


  48. Gérard Prunier, L’Éthiopie contemporaine, Karthala, 2007(ISBN 9782811140434, présentation en ligne)


  49. Mário de Andrade, Liberté pour l'Angola, Éditions Maspero, 1962(présentation en ligne)


  50. Documents diplomatiques français: 1966. 1er juin-31 décembre, Peter Lang, 2006(ISBN 9789052013213, présentation en ligne)


  51. Université du Burundi, Histoire sociale de l'Afrique de l'Est (XIXe-XXe siècle) : actes du colloque de Bujumbura, 17-24 octobre 1989, Karthala, 1991(ISBN 9782865373154, présentation en ligne)


  52. Aloys Muberanziza, L' Égal accès du citoyen aux affaires publiques de son pays, Presses universitaires de Namur, 2005(ISBN 9782870375020, présentation en ligne)


  53. « Cameroun : Ahmadou Ahidjo ou l’État incarné », sur Jeune Afrique (consulté le 6 juin 2016)


  54. Paulette Pierson-Mathy, La politique raciale de la République d'Afrique du Sud, Institut Royal des Relations Internationales, 1964(présentation en ligne)


  55. « Commonwealth Tours: 1960s », sur British Pathé (consulté le 7 juin 2016)


  56. Thierno Bah, Mon combat pour la Guinée, Karthala, 1996(ISBN 9782865376872, présentation en ligne)


  57. Muriel Devey Malu Malu, La Guinée, Karthala, 2009(ISBN 9782811130336, présentation en ligne)


  58. Jāmiʻat al-Jazāʼir, Problèmes actuels de l'unité africaine : colloque d'Alger (25 mars-12 avril 1971), Société nationale d'édition et de diffusion, 1973(présentation en ligne)


  59. George Seldes, Great Thoughts, Revised and Updated, Random House Publishing Group, 2011(ISBN 9780307775603, présentation en ligne)


  60. Jacques Georgel, Le Salazarisme : histoire et bilan, 1926-1974, vol. 2, Editions Cujas, 1981(présentation en ligne)


  61. Paul-Henry Gendebien, L'intervention des Nations Unies au Congo. 1960-1964, Walter de Gruyter (ISBN 9783111504698, présentation en ligne)


  62. a b c d e et fBenjamin Stora, La guerre d'Algérie, Prisma, 2016(ISBN 9782810417384, présentation en ligne)


  63. Philippe Valode, Les Grands Coups de bluff de l'Histoire, EDI8, 2011(ISBN 9782754034593, présentation en ligne)


  64. Ignace Dalle, Les Trois Rois : La monarchie marocaine de l'indépendance à nos jours, Fayard, 2004(ISBN 9782213639529, présentation en ligne)


  65. Bernard Dumortier, Les Atolls de l'atome : Mururoa & Fangataufa, Marines éd., 2004(ISBN 9782915379112, présentation en ligne)


  66. a b et cMaurice Vaïsse, La Grandeur: Politique étrangère du général de Gaulle (1958-1969), Fayard, 1998(ISBN 9782213638768, présentation en ligne)


  67. J.-Yves Goëau-Brissonnière, Mission secrète: Pour la paix en Algérie, 1957, Lieu Commun, 1992(ISBN 9782867051517, présentation en ligne)


  68. Maurice Cottaz, Les procès du putsch d'Alger et du complot de Paris, Nouvelles Éditions Latines, 1962(présentation en ligne)


  69. Maurice Vaïsse, Dictionnaire des relations internationales de 1900 à nos jours, Armand Colin, 2009(ISBN 9782200247386, présentation en ligne)


  70. Laurent Gervereau, La France en guerre d'Algérie, BDIC, 1992(présentation en ligne)


  71. Philippe Aziz, Regards sur l'Algérie : l'aventure nationaliste, 1954-1962 : étude historique, Didro, 2002(ISBN 9782910726461, présentation en ligne)


  72. Bertrand Dicale, Cheikh Raymond, EDI8, 2011(ISBN 9782754033084, présentation en ligne)


  73. Michel Winock, Chronique des années soixante, Seuil, 1987(ISBN 9782020097529, présentation en ligne)


  74. Guy Pervillé, Mohammed Harbi, Les étudiants algériens de l'université française, 1880-1962 : populisme et nationalisme chez les étudiants et intellectuels musulmans algériens de formation française, Casban, 2004(ISBN 9789961640654, présentation en ligne)


  75. a b c d et eOlivier Dabène, L'Amérique latine à l'époque contemporaine, Armand Colin, 2016(ISBN 9782200615291, présentation en ligne)


  76. BreAnn Rumsch, Woodrow Wilson, ABDO Publishing Company, 2010(ISBN 9781617851339, présentation en ligne)


  77. a b et cArmelle Enders, Histoire du Brésil contemporain: XIXè-XXè siècles, Éditions Complexe, 1997(ISBN 9782870276372, présentation en ligne)


  78. Philippe Godard, Che Guevara : Fils prodigue de la révolution, Nathan, 2010(ISBN 9782748507669, présentation en ligne)


  79. a et bEric Nguyen, La politique étrangère des États-Unis depuis 1945 : de Yalta à Bagdad=, Studyrama, 2004(ISBN 9782844724984, présentation en ligne)


  80. Alix Michel, Manières Haïtiennes : Le combat pour implanter Démocratie et Capitalisme dans la première République négre, Xlibris Corporation, 2013(ISBN 9781483680668, présentation en ligne)


  81. http://www.zonaeletrica.com.br/legislacao/leis/leis_esp/LEIS_3890.pdf


  82. André-Marcel d'Ans, Le Honduras : difficile émergence d'une nation, d'un État, Karthala, 1997(ISBN 9782865377251, présentation en ligne)


  83. Jacques Adélaïde-Merlande, Histoire contemporaine de la Caraïbe et des Guyanes : de 1945 à nos jours, Karthala, 2002(ISBN 9782845862524, présentation en ligne)


  84. Salvador Martí i Puig, Carlos Figueroa Ibarra, La izquierda revolucionaria en Centroamérica : de la lucha armada a la participación electoral, 2006(ISBN 9788483192511, présentation en ligne)


  85. , op. citJacques Adélaïde-Merlande, p. 148.


  86. Guillermo H. Vásquez Pérez, Lo que no sabemos sobre el palacio de Carondelet, SKED CO, 2007(ISBN 9789978349069, présentation en ligne)


  87. Hernando Calvo Ospina, Katlijn Declercq, Dissidents ou mercenaires ? : des États-Unis à l'Europe pour briser Cuba, Éditions Aden, 1998(ISBN 9782872621354, présentation en ligne)


  88. Jean-Pierre Clerc, Fidel Castro, une vie, Archipel, 2013(ISBN 9782809810080, présentation en ligne)


  89. a et b« Leaders Cambodia (Kingdom of Cambodia) », sur Zárate's Political Collections (ZPC)


  90. « Sejarah - Tilawah al-Quran », sur Majlis tilawah al-Qur'an Malaysia


  91. « Men-Tsee-Khang », sur http://www.men-tsee-khang.org (consulté le 8 juin 2016)


  92. a b et cMangkra Souvannaphouma, « Chronologie politique et militaire du Laos », sur laosnet (consulté le 9 juin 2016)


  93. Michael D. Shin, Lee Injae, Owen Miller, Park Jinhoon, Yi Hyun-Hae, Korean History in Maps, Cambridge University Press, 2014(ISBN 9781107098466, présentation en ligne)


  94. The Dowry Prohibition Act, 1961, Current Publications, 1961(présentation en ligne)


  95. Le Communisme en Asie Du Sud-est, Éditions L'Âge d'Homme, 1987(ISBN 9782825134030, présentation en ligne)


  96. Kent E. Calder, Crisis and Compensation : Public Policy and Political Stability in Japan, 1949-1986, Princeton University Press, 1988(ISBN 9780691023380, présentation en ligne)


  97. A Political Chronology of Central, South and East Asia, Routledge, 2003(ISBN 9781135356804, présentation en ligne)


  98. ONU, « Résolutions de la Seizième session de l'Assemblée générale », sur www.un.org


  99. a et bStéphane Trano, Kennedy ou l'invention du mensonge, Archipel, 2013(présentation en ligne)


  100. John Saltford, The United Nations and the Indonesian Takeover of West Papua, 1962-1969 : The Anatomy of Betrayal, Routledge, 2003(ISBN 9781135785970, présentation en ligne)


  101. Thomas Taylor MacKie, Richard Rose, International Almanac of Electoral History, Springer, 1982(ISBN 9781349063215, présentation en ligne).


  102. Sandrine Bègue, « Invasion ou libération ? La prise militaire de Goa du 18 décembre 1961 », Guerres mondiales et conflits contemporains, vol. 1, no 233,‎ 2009, p. 109 - 126 (présentation en ligne)


  103. Anne-Sophie Bentz, Les réfugiés tibétains en Inde : Nationalisme et exil, Graduate Institute Publications, 2015(ISBN 9782940549047, présentation en ligne)


  104. Georges Fischersem-link, « L'Organisation des pays exportateurs de pétrole », Annuaire français de droit international, vol. 7, no 1,‎ 1961, p. 163-172 (présentation en ligne)


  105. a et bClaude Klein, Le cas Eichmann : Vu de Jérusalem, Gallimard (ISBN 9782072416576, présentation en ligne)


  106. Henry Laurens, La question de Palestine, vol. 3, Fayard, 2007(ISBN 9782213640143, présentation en ligne)


  107. Olav Njølstad, Nuclear Proliferation and International Order : Challenges to the Non-Proliferation Treaty, Routledge, 2010(ISBN 9781136922886, présentation en ligne)


  108. a et bAcadémie de droit international de La Haye, Recueil des cours, vol. 137, Martinus Nijhoff Publishers, 1974(ISBN 9789028602441, présentation en ligne)


  109. Paul Bonnenfant, La péninsule arabique aujourd’hui : Études par pays, vol. 2, Institut de recherches et d'études sur le monde arabe et musulman (ISBN 9782271081292, présentation en ligne)


  110. a b c et dDavid Lea, Annamarie Rowe, A Political Chronology of Africa, vol. 4, Taylor & Francis, 2001(ISBN 9781857431162, présentation en ligne)


  111. « La réforme agraire en Égypte », Revue internationale de droit comparé, vol. 27, no 2,‎ 1975, p. 421-428 (présentation en ligne)


  112. Wirya Rehmany, Dictionnaire politique et historique des Kurdes, L'Harmattan, 2014(ISBN 9782343032825, présentation en ligne)


  113. Hamit Bozarslan, Histoire de la Turquie contemporaine, La Découverte, 2016(ISBN 9782707191885, présentation en ligne)


  114. René Otayek, Le Radicalisme islamique au sud du Sahara : Da'wa, arabisation et critique de l'Occident, Karthala, 1993(ISBN 9782865374045, présentation en ligne)


  115. Middle East Record 1961, vol. 2, The Moshe Dayan Center, 1961(présentation en ligne)


  116. Paulette Ngo Mbogba-Mikano, Le droit international de la sûreté maritime de 2002 en Afrique subsaharienne=, L'Harmattan, 2015(ISBN 9782343072883, présentation en ligne)


  117. « O Programa para a Democratização da República », sur O Portal da História (consulté le 10 juin 2016)


  118. a et bMaurice Vaïsse, Les relations internationales depuis 1945, Armand Colin, 2015(ISBN 9782200603731, présentation en ligne)


  119. sous la direction de Maurice Vaïsse, Documents diplomatiques français, Peter Lang, 2008(ISBN 9789052013954, présentation en ligne)


  120. Byron Kotzamanis, Alain Parant, Jean-Paul Sardon, La démographie des Balkans : sources et données : publication empruntant largement au matériau assemblé dans le cadre de la première séance de la conférence internationale, Cinquante ans d'évolution démographique dans les Balkans (Thessalonique, 26-29 juin 1996), INED, 1998(ISBN 9782950935632, présentation en ligne)


  121. Dusan-T Batakovic, Histoire du peuple serbe, Éditions L'Âge d'Homme, 2005(ISBN 9782825119587, présentation en ligne)


  122. Pierre Buhler, Histoire de la Pologne communiste: autopsie d'une imposture, Éditions Karthala, coll. « Hommes et sociétés », 1997, 808 p. (ISBN 2865377709, présentation en ligne, lire en ligne) p. 386


  123. Robert Falony, Le Parti socialiste: un demi-siècle de bouleversements, Luc Pire Editions, 2006(ISBN 9782874155208, présentation en ligne)


  124. Bernard Lory, Pierre Thibault, L'Europe balkanique de 1945 à nos jours, Ellipses, 1996(ISBN 9782729896539, présentation en ligne)


  125. Christian Pian, La pensée sociale de l’Église racontée à ceux qui n’en savent rien, Éditions de l'Atelier, 2013(ISBN 9782708244115, présentation en ligne)


  126. Loukas Thanasekos, Chronologie des relations internationales 1914-1971, Mouton, 1972(présentation en ligne)


  127. James C. Bradford, International Encyclopedia of Military History, Routledge, 2004(ISBN 9781135950347, présentation en ligne)


  128. Fairplay International Shipping Journal, vol. 224, Fairplay Publishing Limited, 1967(présentation en ligne)


  129. Thomas Taylor MacKie, Richard Rose, International Almanac of Electoral History, Springer, 1982(ISBN 9781349063215, présentation en ligne).


  130. Adrian Webb, Longman Companion to Germany Since 1945, Routledge, 2014(ISBN 9781317884248, présentation en ligne)


  131. « Manifestation des travailleurs algériens. Paris, 17 octobre 1961 », sur Musée de l’histoire de l’immigration


  132. Alfred D. Low, The Sino-Soviet Dispute : An Analysis of the Polemics, Fairleigh Dickinson Univ Press, 1976(ISBN 9780838614792, présentation en ligne)


  133. La Charte sociale européenne, Council of Europe (ISBN 9789287177766, présentation en ligne)


  134. Raymond L. Garthoff, A journey through the Cold War : a memoir of containment and coexistence, Brookings Institution Press, 2001(ISBN 9780815701019, présentation en ligne)


  135. Olivier Delorme, La Grèce et les Balkans, Gallimard (ISBN 9782072495366, présentation en ligne)


  136. Pierre Pascallon, Henri Paris, La dissuasion nucléaire française en question(s), L'Harmattan, 2006(ISBN 9782296001756, présentation en ligne)


  137. Alfred Wahl, L'Allemagne de 1945 à nos jours, Armand Colin, 2009(ISBN 9782200245429, présentation en ligne)


  138. Michael Hart, Multilateral Negotiations: Lessons from Arms Control, Trade, and the Environment, JHU Press, 1999(ISBN 9780801861970, présentation en ligne)


  139. Maria de Fátima Bonifácio, António Barreto - Política e Pensamento, Leya, 2016(ISBN 9789722060127, présentation en ligne)




Liens externes |


.mw-parser-output .autres-projets ul{margin:0;padding:0}.mw-parser-output .autres-projets li{list-style-type:none;list-style-image:none;margin:0.2em 0;text-indent:0;padding-left:24px;min-height:20px;text-align:left}.mw-parser-output .autres-projets .titre{text-align:center;margin:0.2em 0}.mw-parser-output .autres-projets li a{font-style:italic}

Sur les autres projets Wikimedia :





  • L’année 1961 sur le site de la Bibliothèque nationale de France


  • Portail des années 1960 Portail des années 1960
  • Portail du monde contemporain Portail du monde contemporain



Popular posts from this blog

Trompette piccolo

Slow SSRS Report in dynamic grouping and multiple parameters

Simon Yates (cyclisme)