Rivière des Outaouais







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Illustration
La rivière des Outaouais, entre les villes de Gatineau et d'Ottawa.

Carte.
Carte du bassin de l'Outaouais.
Caractéristiques
Longueur 1 271 km [1]
Bassin 146 300 km2 [1]

Bassin collecteur

Fleuve Saint-Laurent
Débit moyen 1 950 m3/s [1]
Cours

Source
Lac des Outaouais
· Localisation

Lac-Moselle
· Altitude
409 m
· Coordonnées
47° 38′ 38″ N, 75° 38′ 36″ O

Confluence

Fleuve Saint-Laurent
· Localisation

Pointe-des-Cascades / Notre-Dame-de-l'Île-Perrot
· Altitude
25 m
· Coordonnées
45° 20′ 00″ N, 73° 55′ 00″ O
Géographie
Principaux affluents
· Rive gauche

Rivière du Nord, Rivière rouge, Rivière de la Petite Nation, Rivière Gatineau, Rivière Dumoine
· Rive droite

Rivière Nation Sud, Rivière Rideau, Rivière Kinojévis
Pays traversés

Drapeau du Canada Canada
Province

Drapeau : Québec Québec Drapeau de l'Ontario Ontario

Région

Outaouais, Est de l'Ontario, Nord-Est de l'Ontario
Principales localités

Ottawa, Gatineau, Montréal


Sources : atlas.nrcan.gc.ca


Carte du tracé du cours d'eau et de ses principaux affluents.


La rivière des Outaouais (en anglais Ottawa River) est le principal affluent du fleuve Saint-Laurent (provinces de l‘Ontario et du Québec, Canada)[2]. La rivière constitue un important segment de la frontière entre les provinces canadiennes du Québec et de l'Ontario. L’Outaouais a joué un rôle déterminant de voie de pénétration dans le continent nord-américain, au nord vers la baie d’Hudson et à l’ouest vers les Grands Lacs. Elle est la plus longue rivière du Québec. Elle est nommée en l'honneur de la nation des Outaouais.




Sommaire






  • 1 Hydrographie


    • 1.1 Parcours


    • 1.2 Affluents


    • 1.3 Émissaires


    • 1.4 Canaux


      • 1.4.1 Les premiers canaux


      • 1.4.2 Les nouveaux canaux




    • 1.5 Harnachement


    • 1.6 Lacs


    • 1.7 Îles


    • 1.8 Ponts et traverses


    • 1.9 Municipalités et localités




  • 2 Histoire


  • 3 Liens externes


  • 4 Bibliographie


    • 4.1 Articles




  • 5 Voir aussi


  • 6 Notes et références





Hydrographie |



Parcours |


Le bassin versant de l’Outaouais s'étend sur environ 179 000 km2. D'une longueur de 1 271 km[1], l’Outaouais prend sa source principale dans le lac des Outaouais dans la région de l’Outaouais (Québec) (municipalité régionale de comté de La Vallée-de-la-Gatineau), à 280 km au nord-ouest de Montréal. De là, la rivière alimente le lac Capimitchigama[3] dans la Réserve faunique La Vérendrye et ensuite les réservoirs Cabonga et Dozois, puis le Grand Lac Victoria et le lac Granet. Elle quitte la réserve faunique avant de rejoindre le réservoir Decelles, le lac Simard et le lac des Quinze. Jusque-là, elle s’est écoulée en zigzaguant vers l'ouest à travers les régions de l’Outaouais et de l'Abitibi-Témiscamingue. À partir du lac Témiscamingue, la rivière bifurque vers le sud et devient la frontière naturelle entre l'Ontario et le Québec. Elle poursuit alors son cours dans un axe nord-ouest sud-est, jusqu'à Hawkesbury Est où son rôle de frontière naturelle s’arrête. Elle continue de descendre, au Québec exclusivement, jusqu’à se jeter dans le Saint-Laurent, après son élargissement au lac des Deux Montagnes. La confluence des deux cours d'eau crée l'archipel d'Hochelaga.



Affluents |


L’Outaouais compte plusieurs dizaines d’affluents dont la Dumoine, la Noire, la Coulonge et la Quyon. Dans la partie inférieure de la rivière des Outaouais, les principaux affluents sont, en aval de :




  • Gatineau sur sa rive gauche, au Québec : Gatineau, Blanche, du Lièvre, Petite Nation, Rivière rouge ;


  • Ottawa sur sa rive droite, en Ontario : Rideau et Nation sud.


Plus loin, à la hauteur de Grenville sur le flanc québécois et de Hawkesbury sur le flanc ontarien, la rivière s'élargit pour former le lac Dollard-des-Ormeaux qui est borné en aval par le barrage de Carillon. Au pied du barrage se trouve un élargissement naturel de la rivière, le lac des Deux Montagnes, lui-même alimenté par quelques affluents.



Partie supérieure - Rive gauche



  • Chenal du Sud (rivière des Outaouais)

  • Rivière Camatose

  • Rivière Camitogama

  • Rivière Hénault

  • Rivière de la Baie (Grand lac Victoria)

  • Rivière Kânitawigamitek (Val-d'Or)

  • Rivière Fraser (rivière des Outaouais)

  • Rivière McFadden

  • Rivière Chevreuil

  • Ruisseau Klock

  • Rivière Winneway

  • Rivière de l'Esturgeon (réservoir Decelles)

  • Rivière Decelles


Partie intermédiaire - Rive gauche



  • Rivière à la Loutre

  • Rivière Lavallée

  • Rivière Kipawa

  • Rivière Beauchêne (rivière Outaouais)

  • Rivière Antoine

  • Rivière Maganasipi

  • Rivière à l'Ours (Témiscamingue)

  • Petite rivière à l'Ours

  • Rivière Dumoine

  • Rivière Saint-Cyr

  • Rivière Schyan

  • Rivière Noire (Outaouais)

  • Rivière Coulonge

  • Rivière Quyon

  • Rivière Mohr


Partie inférieure - Rive gauche



  • Rivière Gatineau

  • Rivière Blanche (Gatineau)

  • Rivière La Petite Blanche (Thurso)

  • Rivière du Lièvre

  • Rivière Blanche (Lochaber-Ouest)

  • Rivière de la Petite Nation

  • Rivière rouge

  • Rivière du Nord (Québec)

  • Rivière aux Serpents


Partie supérieure - Rive droite



  • Rivière Chochocouane

  • Rivière Capitachouane

  • Rivière Camachigama

  • Rivière Solitaire

  • Petite rivière Roger

  • Rivière Roger

  • Rivière Kinojévis

  • Rivière Darlens


Partie intermédiaire - Rive droite



  • Rivière Montréal (Ontario)

  • Rivière Mattawa

  • Rivière Petawawa

  • Rivière Bonnechère

  • Rivière Madawaska (Ontario)

  • Rivière Mississippi


Partie inférieure - Rive droite



  • Rivière Rideau

  • Rivière Rigaud

  • Rivière à la Raquette

  • Rivière Viviry

  • Rivière Quinchien


  • Rivière à l’Orme (Senneville)




Émissaires |


L’Outaouais termine sa longue course dans le fleuve Saint-Laurent, principalement par la rivière des Prairies qui reçoit 70 % de son eau et, dans une moindre mesure, par la rivière des Mille Îles (qui rejoint la rivière des Prairies avant que celle-ci se jette dans le fleuve). Le reste s'écoule vers le fleuve par le lac Saint-Louis.



Canaux |


L’Outaouais est une importante voie navigable parsemée d’obstacles naturels notamment les rapides, les chutes d’eau et plusieurs zones de haut-fond. Dès la première moitié du XIXe siècle on a creusé et aménagé quatre canaux sur son parcours, auxquels s’ajoutèrent, formant un ensemble complexe, les canaux des autres cours d’eau auxquels il est rattaché (notamment, le canal Lachine et le canal Rideau). C’est cet ensemble qui permit la libre circulation des bateaux dans un vaste réseau navigable jusqu’au cœur de l’Amérique du Nord.



Les premiers canaux |


En remontant le fleuve, on rencontrait un premier obstacle de taille, à Montréal: les rapides de Lachine. Il était nécessaire de les contourner pour aller plus loin. Pour ce faire, on creusa dans un premier temps le canal Lachine (XIXe siècle) puis, au XXe siècle, on aménagea la voie maritime du Saint-Laurent. Ces deux ouvrages permettaient de passer du fleuve Saint-Laurent au lac Saint-Louis situé quelque 15 m plus haut. La route de l’Outaouais passait par le lac des Deux Montagnes. Pour rejoindre ce lac (situé 1 m plus haut) à partir du lac Saint-Louis, il fallait un canal, le premier sur l’Outaouais, celui de Sainte-Anne-de-Bellevue. Plus loin on arrivait aux rapides du Long-Sault. Pour les contourner il fallut creuser et aménager trois canaux successifs sur une distance d’environ 20 km, celui de Carillon, celui de la Chute-à-Blondeau et celui de Grenville. À la hauteur des villes de Gatineau et Ottawa le passage était bloqué par les chutes des Chaudières et il l’est toujours aujourd’hui. L’amont de la rivière n’est plus directement accessible par eau à partir de ce point. Il n’existe aucun canal qui permet de contourner ces chutes ni tous les rapides qui se trouvent en amont sur le reste du parcours. Pourtant, la navigation était possible plus en amont et jusque dans les lacs d’Abitibi grâce aux trains de portage qui permettaient de transporter les marchandises et les passagers au-delà de chaque nouvel obstacle[4].



Les nouveaux canaux |


Du pied des rapides de Lachine dans le Vieux port de Montréal à l’entrée du canal Rideau à Ottawa, l’escalier d’eau comptait, au XIXe siècle, dix-sept marches, qui étaient autant d’écluses sur le parcours. Depuis les années 1960 et l’avènement de la voie maritime du Saint-Laurent et de la centrale hydro-électrique de Carillon, les navigateurs ont, selon la taille de leur bateau, le choix entre deux voies, soit le passage du canal Lachine, soit celui de la voie maritime. Pour remonter vers Ottawa et Gatineau l’escalier compte désormais quatre marches (par la voie maritime) ou sept marches (par le canal Lachine).



Harnachement |


Le cours de la rivière des Outaouais est ponctué de dix barrages qui captent et transforment son énergie en hydroélectricité et contrôlent par le fait même son débit. En amont du lac Témiscamingue, six structures sont en place. Toutes ces installations à l’exception d’une seule, la centrale de Rapide-7, sont dites centrales au fil de l’eau. Le premier barrage a produit de l’électricité dès 1910[5], à Hull, aujourd’hui Gatineau mais on a produit de l’électricité sans barrage dès 1881 à l’usine E.B. Eddy, puis en 1882 à Ottawa.




  1. La centrale de la Première-Chute

  2. La centrale de Bryson

  3. La centrale de Rapide-2

  4. La centrale de Rapide-7

  5. La centrale des Rapides-des-Îles

  6. La centrale des Rapides-des-Quinze

  7. La centrale de la Chute-des-Chats

  8. Le barrage des Chaudières (Hull, auj. Gatineau)

  9. La centrale de Hull-2

  10. La centrale de Carillon



Dans la partie où elle est la frontière naturelle entre les deux provinces, la production hydroélectrique est parfois le fait de l’Ontario Power Generation, parfois celui d’Hydro-Québec, les deux sociétés d'État provinciales de production d'électricité, et elle est parfois le fait des deux sociétés, conjointement. Certaines centrales sont privées, ou l’ont été. Au barrage de Carillon, en amont de Montréal, la moyenne du débit s'établit à 1 950 m3/s ; ce débit connaît des variations entre 700 et 8 000 m3/s selon les saisons. En 1974, la crue amène des inondations importantes à Hudson dans Vaudreuil-Soulanges[6].


Tous ces barrages ont haussé le niveau de la rivière et modifié ses rives. Ils ont noyé des rapides et altéré les écosystèmes. Les eaux vives se sont transformées en eaux calmes. Certains de ces obstacles naturels, connus des communautés autochtones et notés dans les rapports d’expédition des explorateurs européens, sont disparus sous les eaux. C’est notamment le cas des rapides du Long-Sault en amont du barrage et de la centrale de Carillon ainsi que des rapides des Sept-Chutes[7] en amont du barrage de Bryson.



Lacs |


La rivière des Outaouais comprend plusieurs lac fluviaux et plusieurs lacs de barrages, des élargissements qui sont tantôt l’œuvre de la nature et tantôt la conséquence de la construction de barrages permettant d’exploiter l’énergie de la rivière.




  • Grand lac Victoria

  • Lac Granet

  • Lac Simard

  • Réservoir Decelles

  • Lac Témiscamingue

  • Lac la Cave

  • Lac Holden

  • Rivière Creuse : portion de la rivière des Outaouais située entre Rapides-des-Joachims au Québec et Petawawa en Ontario, d'une longueur d'environ 35 km par au plus 1 km de large. Sa profondeur mesurée en face du Rocher-à-l'Oiseau est de 70 mètres (230 pieds). Elle est aussi connue sous le nom de Deep River en anglais.

  • Lac des Allumettes

  • Lac Coulonge

  • Lac du Rocher Fendu

  • Lac des Chats

  • Lac Deschênes

  • Lac Dollard-des-Ormeaux

  • Lac des Deux Montagnes




Îles |


La rivière des Outaouais est parsemée de centaines d’îles. Les plus importantes portent un nom. Certaines sont habitées. D’autres abritent des écosystèmes variés. Les deux plus grandes îles de l’Outaouais sont situées en territoire québécois. La première est l’île aux Allumettes qui est habitée par une population de 1346 personnes (2014), en face de Pembroke (Ontario). La seconde en importance est l’île du Grand-Calumet, tout près de Fort-Coulonge. L’île de Hull compte une partie de la population de la ville de Gatineau.



  • Île du Rocher Capitaine

  • Île Lemieux

  • Île Limerick

  • Île Cadieux



Ponts et traverses |


Pas moins de dix-huit ponts routiers et six traversiers permettent de passer d’une rive à l’autre de l’Outaouais, sans parler des ponts ferroviaires.




  • Pont de Notre-Dame-du-Nord

  • Pont du barrage du Lac-Témiscamingue

  • Pont de la route 63 (Ontario)

  • Pont du chemin du Moulin

  • Pont du chemin Dumoine

  • Pont du chemin Swisha

  • Pont du Chemin de Pembrooke

  • Pont du boulevard de Waltham (Route 148)

  • Pont du Chemin de l’Île (Route 301)

  • Traversier Quyon-Fitzroy Harbour

  • Pont Champlain

  • Pont Cartier-Macdonald

  • Pont de la Chaudière

  • Pont du Portage

  • Pont Alexandra

  • Traverse Cumberland/Masson

  • Traverse Rockland-Thurso

  • Traverse Fassett-Lefaivre

  • Pont du Long-Sault

  • Traverse Pointe-Fortune-Carillon

  • Traverse Oka-Hudson

  • Pont de l'Île-aux-Tourtes

  • Pont Taschereau

  • Pont Galipeault





Un pont ferroviaire enjambe la rivière des Outaouais, à Mattawa, Ontario, à environ 300 km au nord de la capitale canadienne.



Municipalités et localités |


Les villes d'Ottawa en Ontario (capitale fédérale canadienne, 900 000 hab.) et Gatineau au Québec (250 000 hab.) forment le noyau principal de population sur la rivière. Plus en aval, on retrouve les municipalités québécoises de Montebello, Papineauville, Grenville, Rigaud et Saint-André-d'Argenteuil ainsi que la ville ontarienne de Hawkesbury.



Rive gauche



  • Grenville-sur-la-Rouge

  • Grenville


  • Saint-André-d'Argenteuil (Saint-André-Est, Carillon)

  • Saint-Placide

  • Oka

  • Pincourt

  • Notre-Dame-de-l'Île-Perrot

  • Montréal


Rive droite



  • Hawkesbury


  • Hawkesbury Est (Chute-à-Blondeau)

  • Pointe-Fortune

  • Rigaud

  • Hudson


  • Vaudreuil-Dorion (Dorion)

  • Vaudreuil-sur-le-Lac

  • L'Île-Cadieux

  • Pointe-des-Cascades





Rivière des Outaouais en hiver, entre Ottawa et Gatineau.



Histoire |


Article connexe : Histoire du Pontiac.



Carte des étapes numérotées de l'expédition de Samuel de Champlain de 1615 le long de l'Outaouais.


Il y a 9 000 ans, la mer de Champlain (carte), créée à la suite du retrait des glaciers, commence à se retirer vers l'est, formant ainsi les vallées de l'Outaouais et du St-Laurent. À son plus haut niveau, elle occupait les terres situées sous 200 m d'altitude (par rapport au niveau actuel des mers).


La rivière a été pendant longtemps le chemin privilégié par les amérindiens et par les premiers explorateurs pour atteindre les Grands Lacs et l'ouest du Canada (Pays d'en Haut) par la rivière Mattawa puis le lac Nipissing et vers le nord par le lac Témiscamingue, le cours supérieur de l'Outaouais et les cours d'eau qui y communiquent. Son nom actuel vient d'une tribu originaire de l'Île Manitoulin (située dans le lac Huron) qui s'en servait pour venir faire la traite des fourrures avec les premiers explorateurs français. Son nom algonquin, Kitchesippi, signifie Grande rivière. La rivière des Outaouais a aussi porté les noms suivants: La Grande rivière (Galinée 1670), Rivière des Outaouai, Rivière des Hurons, Rivière des Outaouacs ou des Prairies (Bernou 1680), Outaouais (Alexander Henry), Utawas River (Alexander Mackenzie)[8].


Le 14 août 2017 la portion québécoise de la rivière des Outaouais, en excluant les îles, a été désigné comme lieu historique par le ministère de la Culture et des Communications[9].



Liens externes |



  • Ressources relatives à la géographie : Banque de noms de lieux du Québec • GeoNames • OpenStreetMapVoir et modifier les données sur Wikidata

  • Ressource relative à l’architecture : Répertoire du patrimoine culturel du QuébecVoir et modifier les données sur Wikidata

  • Atlas Hydrologique pour la Gestion des Bassins Versants (HydrOG)

  • Commission de planification de la régularisation de la rivière des Outaouais (fr/en)

  • Sentinelle Outaouais (fr/en)

  • Voie navigable de la rivière des Outaouais



Bibliographie |


Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.



Articles |




  • Bernard Hallé (Géographe), « Les canaux de l’Outaouais et du Richelieu : Des liens nord-sud », Continuité, Éditions Continuité, no 93 « Les canaux ou l’eau apprivoisée »,‎ été 2002(ISSN 0714-9476 et 1923-2543, lire en ligne)Document utilisé pour la rédaction de l’article


  • (en) « Rescue of 22lb fish in 1974 », Gazette Vaudreuil-Soulanges, vol. 63, no 10,‎ 1er mai 2013, p. 8 (lire en ligne)Document utilisé pour la rédaction de l’article



Voir aussi |


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Notes et références |




  1. a b c et d« Cours d'eau »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur L'Atlas du Canada (consulté le 15 novembre 2008)


  2. « Rivière des Outaouais », sur Commission de toponymie du Québec


  3. Commission de toponymie — Lac Capimitchigama


  4. Hallé 2002


  5. Musée canadien de l’histoire — Le barrage des Chaudières


  6. Gazette Vaudreuil-Soulanges 2013


  7. [PDF] Le Nord de l’Outaouais. Manuel-Répertoire d’Histoire et de Géographie régionales, Le Droit, Ottawa, 1938, 396 p. Chapitre 2, À l’ouest de Hull, p. 212-213.


  8. Kennedy, Clyde C. The Upper Ottawa Valley, Renfrew County Council, Pembroke, Ontario, 1970


  9. « Rivière des Outaouais », sur Répertoire du patrimoine culturel du Québec (consulté le 18 août 2017).



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