Grez-Neuville





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Grez-Neuville
La Mayenne, l'église et le port de Neuville vus de Grez.
Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Pays de la Loire

Département

Maine-et-Loire

Arrondissement

Segré

Canton

Tiercé

Intercommunalité

C.C. des Vallées du Haut-Anjou

Maire
Mandat
Pascal Crubleau
2014-2020

Code postal
49220

Code commune
49155
Démographie

Gentilé
Grez-Neuvillois, Grez-Neuvilloise

Population
municipale
1 459 hab. (2015 en diminution de 2,15 % par rapport à 2010)
Densité 54 hab./km2
Géographie

Coordonnées

47° 36′ 07″ nord, 0° 40′ 59″ ouest

Altitude
Min. 16 m
Max. 97 m

Superficie
26,9 km2
Localisation


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Grez-Neuville







Grez-Neuville est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Hydrographie




  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


    • 3.1 La commune


    • 3.2 Le collège


    • 3.3 La Grandière


    • 3.4 La Beuvrière




  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Administration municipale


    • 4.2 Intercommunalité


    • 4.3 Jumelages




  • 5 Population et société


    • 5.1 Démographie


      • 5.1.1 Évolution démographique


      • 5.1.2 Pyramide des âges




    • 5.2 Sports


    • 5.3 Enseignement


    • 5.4 Labels




  • 6 Économie


  • 7 Lieux et monuments


    • 7.1 À Grez


    • 7.2 À Neuville


    • 7.3 Galerie




  • 8 Personnalités liées à la commune


  • 9 Voir aussi


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Localisation |


La commune est située à la frontière du Haut-Anjou. Elle se situe à 22 km au nord-ouest d'Angers, 20 km au sud-est de Segré, 12 km au nord-ouest de Montreuil-Juigné, 4 km au sud-est du Lion-d'Angers, à 8 km à nord-ouest de Feneu, à 6 km au nord de La Membrolle-sur-Longuenée (commune de Longuenée-en-Anjou), à 5 km au sud de Thorigné-d'Anjou ainsi qu'à 6 km à l'ouest de Sceaux-d'Anjou.


La commune bénéficie un accès direct pour se rendre à Angers avec la départementale 775 reliant Angers à Rennes à 1,5 km du bourg.



Communes limitrophes |























Rose des vents
Le Lion-d'Angers

Thorigné-d'Anjou

Sceaux-d'Anjou
Rose des vents

Erdre-en-Anjou

N

Feneu

O    Grez-Neuville    E

S

Longuenée-en-Anjou

Longuenée-en-Anjou

Longuenée-en-Anjou



Hydrographie |


La Mayenne traverse la commune.



Toponymie |


Formes anciennes du nom pour Grez : Gradus en 1530, Greto en 1082, Greio en 1094, Grez en 1183[1],[2]. Formes anciennes du nom pour Neuville : Nova Villa in Andecavo en 837, Nova Villula en 1080, Nova Villa en 1111, Novilla en 1134-1150, Parochia de Novile en 1265, Nefville outre Maine en 1378, Nova Villa en 1454, La paroisse de Neufville-sur-Maine en 1539, St-Martin-de-Neuville et Gré aux XVIIe et XVIIIe siècles[3],[2]. Grez Neuville en 1793 et Grez-Neuville en 1801[4].


Nom des habitants (gentilé) : les Grez-Neuvillois[5] (ou Grezneuvillois[2]).



Histoire |



La commune |


Grez-Neuville, malgré son nom composé, n’a toujours formé qu’une seule et unique paroisse sous l'Ancien Régime, mais une paroisse regroupant deux bourgs, Grez et Neuville, séparés par la Mayenne. Voilà comment les habitants décrivaient leur paroisse en 1777 :



« la rivierre de la Mayenne coulle du Nord au Midy et divise la paroisse et le bourg de Grez et de Neuville, au couchant est le bourg, l’église de Neuville et environ les deux tiers de la paroisse, au soleil levant est le bourg et le territoire de Grez, formant le tiers de laditte paroisse ».

La population, relativement nombreuse par rapport aux paroisses voisines (193 feux en 1688, 226 feux en 1700, 300 feux en 1789, 1 269 habitants en 1790), était assez également répartie puisque, toujours selon les habitants, en 1777 : « la partie de Grez (…) [était] composée de château et maisons considérables, de dix-sept métairies, de vingt-six closeries, plusieurs villages et d’un bourg beaucoup plus gros et peuplé que celuy de Neuville, de sorte qu’il y [avait] dans la partie de Grez, environ quatre cent communiants » ; sachant que les enfants ne communiaient généralement pas avant l’âge de dix à quatorze ans, au XVIIIe siècle, les deux parties de la paroisse devaient être à peu près aussi peuplées. Enfin, du point de vue religieux, administratif et judiciaire, la paroisse dépendait du diocèse d'Angers et de l’archidiaconé d’Outre-Maine, elle relevait de l’autorité du gouverneur d’Anjou et de l’intendant de Tours, et était du ressort du Parlement de Paris et du bailliage d’Angers.


Divisée territorialement par la Mayenne, Grez-Neuville devait connaître une organisation et un développement différenciés de part et d’autre de la rivière. Différenciés au niveau de la chronologie tout d’abord : contrairement à ce que pourrait laisser penser la toponymie, c’est le bourg de Neuville qui est le plus ancien puisqu’il est mentionné dès 834, lorsque saint Aldéric y établit une métairie. Son nom, Nova Villa in Andecavo, pourrait « l’indiquer comme une agglomération récente comparé au Lion-d’Angers ». Quant à Grez, c’est en 1122 qu’il est mentionné pour la première fois, lorsque Nicolas de Neuville autorisa son vassal, Raoul de Grez, à construire une chapelle dédiée à saint Jacques, près de sa maison, sur la rive gauche de la Mayenne. « Raoul de Grez donna cette chapelle en 1125 aux moines de Saint-Serge d’Angers, qui en firent un prieuré ». L’église paroissiale se trouvant, elle, comme le presbytère, à Neuville. Grez et Neuville étaient reliés par un pont, mentionné en 1462, mais dont la date de construction est inconnue, et qui fut détruit au plus tard en 1576. On n’eut alors d’autre solution que le recours à un bac, dangereux puisqu’il coula à plusieurs reprises[6],[7],[8].



Le collège |


C'est à Grez qu'Hélène Fournier avait prévu l’installation du collège qu’elle fonda par son testament passé devant le notaire Claude de Villiers, le 1er janvier 1592. L'activité du collège débutant vraisemblablement en 1594.


De la fondatrice, Hélène Fournier, nous savons relativement peu de choses : son grand-père, Pierre Fournier, fut échevin à Angers en 1494, puis maire de cette ville en 1503 ; quant à son père, Guillaume Fournier, qui avait épousé Hélène Erreau, la mère de la fondatrice, il fut élu échevin d’Angers en 1552. Elle était donc issue d’une importante famille angevine et elle épousa à une date inconnue, Jean de Bréon.


Mais ce fut elle, et elle seule, qui fonda le collège de Grez-Neuville… Bien doté (un logis principal avec ses dépendances, une métairie, des terres, des prés et des vignes), ce petit établissement qui ne comptait sans doute qu’un seul enseignant, le principal, fut actif pendant deux siècles, et huit principaux se succédèrent à sa direction : René Viot (1594-1602), Maurice Buffé (1602-1628), Jean Godillon (1628-1680), Pierre Blanchet (1681-1699), Jean Richard (1700-1730), Pierre Goudé (1730-1746), Louis-Sébastien Bertrie (1746-1774) et Jacques-François Foucault (1774-1790).


On y enseignait le catéchisme, le latin, la géographie, sans doute un peu d’arithmétique et de français. Mais la Révolution eut raison de lui et son activité cessa vraisemblablement dès 1790. En revanche, les bâtiments qui abritaient l’établissement ne furent détruits qu’en 1869, lorsque l’on décida de construire un nouveau presbytère à Grez, à la place de la Garenne, l’ancien collège, qui en fait servait déjà de presbytère à Grez depuis 1834. Seuls les murs d’enceinte du jardin subsistent encore aujourd’hui[6].



La Grandière |


Ce nom apparaît dès le XIIe siècle sur la rive gauche de la Mayenne, du côté de Grez, où existe déjà une motte féodale appelée "Le Bois Grandière".


Suivent une lignée de Seigneurs de La Grandière dont le premier, un certain Luc de La Grandière apparaît dans un cartulaire de 1150. Cette famille, l'une des plus anciennes d'Anjou avec les Quatrebarbes, conserve le château et les terres du même nom depuis plus de trente générations.



La Beuvrière |


Pendant quatre siècles, c'est la même famille qui habite la Beuvrière, changeant de nom par les alliances successives : d'Orvault, Hullin de la Selle, de Terves[9].




Blasons des d'Orvault, Hullin de la Selle, de Terves.



Politique et administration |



Administration municipale |























































































































Liste des maires successifs[10]
Période
Identité
Étiquette
Qualité

1792
1797
Mathurin Foucault
 
 

1797
1804
Vincent Davy
 
 

1804
1821

Pierre-Étienne Dumesnil du Pineau
 
Officier, émigré, chef royaliste en 1815

1821
1830
Hilaire Desprez
 
 

1830
1837
Jean-Baptiste Hubert Modiquet
 
 

1837
1848
Palamède de La Grandière
 
 

1848
1866

Gustave Bucher de Chauvigné

Légitimiste

Représentant du peuple, ancien magistrat

1866
mai 1912
Henri Desprez
 
 

mai 1912
décembre 1919
Charles Lemesle
 
 

décembre 1919
mars 1959
Jacques de La Grandière
 
 

mars 1959
1969
Dominique de Broglie, (prince de)
 
Propriétaire du Château de la Violette en 1926

1969
mars 1989
Francis Michau
 
 

mars 1989
mars 2001
Françoise Martin

UDF
 

mars 2001
mars 2014
Jean-Yves Surrault[11],[12],[13]

UMP
Informaticien retraité

mars 2014
en cours
Pascal Crubleau[14]
 
Enseignant-chercheur en innovation à l'Istia

Les données manquantes sont à compléter.



Intercommunalité |


La commune est membre de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers[15], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.



Jumelages |




  • Drapeau de l'Angleterre Wray (Angleterre)


  • Drapeau de l'Angleterre Hornby (en) (Angleterre)


Grez-Neuville est jumelée avec deux villages anglais du Lancashire dans le nord-ouest de l'Angleterre.



Population et société |



Démographie |



Évolution démographique |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].



En 2015, la commune comptait 1 459 habitants[Note 1], en diminution de 2,15 % par rapport à 2010 (Maine-et-Loire : +3,23 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 269 1 131 1 175 1 447 1 401 1 393 1 383 1 369 1 418



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 359 1 427 1 360 1 252 1 212 1 155 1 191 1 228 1 212



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 122 1 173 1 141 1 056 1 013 983 966 873 1 016



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
935 853 765 860 1 040 1 307 1 436 1 455 1 473



























2013 2015 - - - - - - -
1 464 1 459 - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (12,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %).
Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).


La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :



  • 50 % d’hommes (0 à 14 ans = 26,7 %, 15 à 29 ans = 15,5 %, 30 à 44 ans = 25,8 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 12,6 %) ;

  • 50 % de femmes (0 à 14 ans = 25 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 24,7 %, 45 à 59 ans = 20,4 %, plus de 60 ans = 12,8 %).














































Pyramide des âges à Grez-Neuville en 2008 en pourcentage[20]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,1 

90  ans ou +

0,0 



3,4 

75 à 89 ans

4,8 



9,1 

60 à 74 ans

8,0 



19,4 

45 à 59 ans

20,4 



25,8 

30 à 44 ans

24,7 



15,5 

15 à 29 ans

17,1 



26,7 

0 à 14 ans

25,0 














































Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[21].
Hommes Classe d’âge Femmes


0,4 

90  ans ou +

1,1 



6,3 

75 à 89 ans

9,5 



12,1 

60 à 74 ans

13,1 



20,0 

45 à 59 ans

19,4 



20,3 

30 à 44 ans

19,3 



20,2 

15 à 29 ans

18,9 



20,7 

0 à 14 ans

18,7 





La Mayenne, le Grand Moulin à Grez.




L'église Saint-Martin de Neuville.



Sports |


La commune possède un club de basket-ball et un club de boule de fort. Elle accueille également deux clubs loisirs de volley-ball et de badminton. Elle est équipée de deux salles multi-sports et d'un court de tennis extérieur.


Il n'y a pas de club de football dans la commune. Le club le plus proche se trouve à 4 km au Lion-d'Angers.



Enseignement |


Grez-Neuville dispose d'une école maternelle et élémentaire publique, La Garenne.



Labels |


Dans les ruelles de la commune on peut apercevoir les différentes maisons faites de pierres apparentes ou de schiste, et sur le quai de Grez, les maisons de Neuville et son église romane. Grez-Neuville compte parmi les villages de charme du département de Maine-et-Loire[22].


La commune est récompensée par deux fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[23].


En 2015, la commune est élue « Plus Beau Village du Maine-et-Loire » par les lecteurs du quotidien Le Courrier de l'Ouest[24].



Économie |


Sur cent-dix établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 43 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[25].


On trouve sur son territoire un supermarché Super U situé à 3 km au nord du bourg, sur le lieu-dit de la Grée. Bien qu'il soit sur le territoire de la commune, il est plus près du Lion-d'Angers et est appelé le centre commercial du Pays Lionnais.



Lieux et monuments |



À Grez |



  • Le château de La Grandière (XVIe et XVIIIe siècles) Chatelet inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques ;

  • Le château du Port devenu la Mairie de Grez-Neuville en 1953.

  • Le Château de Bellevue à Grez,

  • La chapelle Saint-Jacques ;

  • Le Prieuré et sa tour ;

  • Le Vieux Logis rue du Moulin ;

  • Le Grand Moulin.



À Neuville |



  • Le château de la Violette (XVIIe siècle)

  • L'ancien presbytère du XVIIIe siècle ;

  • Le Grand Logis du XVIIIe siècle ;

  • L'église Saint-Martin de Vertou ;

  • L'écluse ;

  • Le chemin de halage (de Pruillé à Montreuil-sur-Maine).



Galerie |




Personnalités liées à la commune |



  • Pierre-Étienne Dumesnil du Pineau (1757-1821), maire, émigré et chef chouan.


  • René Lemesle (1766-1824), prêtre révolutionnaire[26].


  • Gustave Bucher de Chauvigné (1802-1866), homme politique français, maire de Grez-Neuville de 1848 à 1866[27], député de Maine-et-Loire de 1849 à 1851[28].


  • Hercule-Gilles de La Grandière (1736-1794), aristocrate et militaire français guillotiné pendant la Révolution Française, né au château de La Grandière à Grez-Neuville.

  • Jacques de La Grandière, maire de Grez-Neuville de 1920 à 1960, petit-fils de l'amiral-gouverneur de Cochinchine Pierre-Paul de La Grandière qui pacifia l'Indochine et établit le protectorat français sur le Cambodge (1865)[29].


  • Roger de La Grandière, fils du précédent, né au château de La Grandière en octobre 1916, après avoir rallié la France libre en 1941, fut officier d'État-major du général de Gaulle à Londres en 1943 et rejoignit les SAS (Special Air Service) avant d'être parachuté en Bretagne avec le commandant Bourgoin. Il tomba au champ d'honneur en juin 1944 près de Guégon et fut fait Compagnon de la Libération à titre posthume[30],[31].


  • Edmond van Daële, acteur décédé à Grez-Neuville (1884-1960).



Voir aussi |



Bibliographie |



  • Dominique de Broglie, Grez-Neuville, dactylographié, 1962, 190 pages.

  • Pierre Cochard, Grez-Neuville, son histoire, son patrimoine, Association “Les Amis de Grez-Neuville”, Grez-Neuville, 1994, 54 pages.


  • Célestin Port (Édition révisée par J. Levron, P. d'Herbécourt, R. Favreau et C. Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, 1978, 2e éd. (notice BnF no FRBNF34649310, lire en ligne), p. 258.

  • Mickaël Pouteau, Le collège de Grez-Neuville (1592-Révolution française), Éditions Hérault, Maulévrier, 2001, 263 pages.



Articles connexes |



  • Le Segréen

  • Liste des communes de Maine-et-Loire

  • Liste des anciennes communes de Maine-et-Loire

  • De la Grandière



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Site de la mairie de Grez-Neuville

  • Grez-Neuville sur le site de l'Insee



Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.



Références |




  1. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874-1878, Édition révisée de 1978 par J. Levron, P. d'Herbécourt, R. Favreau et C. Souchon, t. 2, p. 256 et 257 (Grez)


  2. a b et cPierre-Louis Augereau, Les Secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Éd. Cheminements, 2004, p. 88.


  3. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874-1878, Édition révisée de 1989 par André Sarazin et Pascal Tellier, t. 3, p. 10 à 12 (Neuville).


  4. EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, Notice communale de Grez-Neuville, consultée le 31 décembre 2014 - Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.


  5. Ouest-France, Boule de fort : Grez-Neuville en tête du Segréen, article du 18 juin 2013.


  6. a et bExtrait de l'ouvrage de Mickaël Pouteau, Le Collège de Grez-Neuville (1592-Révolution française), Impr. Hérault, 2001 (ISBN 2-7407-0172-1), avec autorisation de l'auteur.


  7. Archives départementales de Maine-et-Loire, 212 J, H 1031


  8. Lebrun François,Paroisses et communes de France, Dictionnaire d’histoire administrative et démographique, Maine-et-Loire, Laboratoire de Démographie Historique de l'École Pratique des Hautes Études (VIe section), Paris, 1974, page 199.


  9. Histoire de la Beuvrière en Grez-Neuville, par Jean Poussin.


  10. Édition révisée de 1978 du Célestin Port, op. cit., t. 2, p. 258 et 259 (Grez-Neuville) : David, messidor an VIII - Pierre du Mesnil du Pineau, 4 nivôse an XII - Palamède de la Grandière, 1837 - Gustave Bucher de Chauvigné, 1848 - Henri Desprès, 1866 - Charles Lemesle, 1912 - Jacques de la Grandière, 1919 - Prince Dominique de Broglie, 1959 - François Michau, 1971.


  11. Ouest-France, Jean-Yves Surrault, maire sortant, présente sa liste, article du 18 février 2008


  12. Ministère de l'Intérieur, Résultats des élections municipales 2008 - Grez Neuville, 16 mars 2008


  13. Ouest-France, Vœux en forme de bilan final pour Jean-Yves Surrault, article du 20 janvier 2014.


  14. Ouest-France, Pascal Crubleau étrenne son écharpe de maire, article du 2 avril 2014.


  15. Insee, Composition de l'EPCI de la Région du Lion d'Angers (244900585), consulté le 14 décembre 2013.


  16. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  17. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.



  20. « Évolution et structure de la population à Grez-Neuville en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le 29 mars 2012)




  21. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le 29 mars 2012)



  22. « Grez-Neuville », sur Association Les Villages de Charmes (villagesdecharme.com) (consulté le 2 avril 2017).


  23. « Communes fleuries - Pays de la Loire - Maine-et-Loire », sur Association Conseil national des Villes et Villages Fleuris (villes-et-villages-fleuris.com) (consulté le 2 avril 2017).


  24. « Maine-et-Loire Le plus beau village, c'est Grez-Neuville ! », sur Le Courrier de l'Ouest (courrierdelouest.fr), 26 septembre 2015(consulté le 2 avril 2017).


  25. Insee, Statistiques locales du territoire de Grez-Neuville (49), consultées le 14 avril 2013


  26. Odile Halbert, Mémoire d'avant - L'œuvre clandestine d'un Angevin - René Lemesle (1766-1824) à Saint Julien de Concelles (1794-1802), 1990 (Fiche) (ISBN 2-9504443-1-8)


  27. Port 1978, p. 258


  28. Assemblée nationale, « Base de données des députés français depuis 1789 (Gustave Bucher de Chauvigné », sur assemblee-nationale.fr (consulté le 6 janvier 2015)


  29. « Association Loi 1901 - Étude et Conservation du Patrimoine de Grez-Neuville », Bulletin n° 2,‎ juillet 2012, p. 4 (lire en ligne)


  30. Musée de l'Ordre de la Libération , Roger de la Grandière, consulté le 2 septembre 2014


  31. Ouest-France, À Grez-Neuville, l’hommage à un compagnon de la Libération mort en 1944, article du 8 octobre 2011




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