Guise





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Guise
Vue du donjon de Guise
depuis la basse cour du château.

Blason de Guise
Blason

Guise
Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Hauts-de-France

Département

Aisne

Arrondissement

Vervins

Canton

Guise
(bureau centralisateur)

Intercommunalité

Thiérache Sambre et Oise
(siège)

Maire
Mandat
Hugues Cochet
2014-2020

Code postal
02120

Code commune
02361
Démographie

Gentilé
Guisards [ɡɥizaʁ]

Population
municipale
4 868 hab. (2016 en diminution de 5,9 % par rapport à 2011)
Densité 302 hab./km2
Population
aire urbaine
6 284 hab. (2016)
Géographie

Coordonnées

49° 54′ 03″ nord, 3° 37′ 42″ est

Altitude
Min. 91 m
Max. 157 m

Superficie
16,13 km2
Localisation


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Liens

Site web

ville-guise.fr


Guise, prononcé [ɡɥiz], est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Communes limitrophes




  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


    • 3.1 Moyen Âge et Époque moderne


    • 3.2 Époque contemporaine


      • 3.2.1 Industrialisation


      • 3.2.2 L'ancienne voie ferrée


      • 3.2.3 Première Guerre mondiale


      • 3.2.4 Depuis 1918






  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Tendances politiques et résultats


    • 4.2 Liste des maires




  • 5 Démographie


    • 5.1 Évolution démographique


    • 5.2 Pyramide des âges




  • 6 Culture, fêtes, sport et loisirs


    • 6.1 Les Ducales


    • 6.2 Sport


    • 6.3 Ville fleurie




  • 7 Lieux et monuments


    • 7.1 Monuments


    • 7.2 Lieux de mémoire de la Grande Guerre


      • 7.2.1 Monument à la mémoire de la Ve Armée française


      • 7.2.2 Monuments aux morts


      • 7.2.3 Nécropole nationale de La Désolation


      • 7.2.4 Cimetière militaire allemand de La Désolation






  • 8 Personnalités liées à la commune


  • 9 Pour approfondir


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Communes limitrophes |






















Communes limitrophes de Guise

Vadencourt

Lesquielles-Saint-Germain

Villers-lès-Guise

Proix
Guise
Flavigny-le-Grand-et-Beaurain

Macquigny

Audigny



Guise se situe dans le nord de l'Aisne, entre les anciens pays du Vermandois et de la Thiérache, à mi-distance entre les villes de Saint-Quentin et de Vervins.





La ville de Guise, que surplombe le donjon de son château fort, est arrosée par la rivière Oise et bénéficie du canal de la Sambre à l'Oise.



Toponymie |


Attestée sous les formes Cuciam en 884, puis Guisia en 1058.


Ce nom de lieu est issu d'un mot en ancien haut allemand, wisa (« pâturage » ou « pré »).


  • Le village et le premier château au XIe siècle se nomment en latin médiéval Gusia. Des érudits ont supposé qu'il s'agissait d'une terre appartenant à un maître gallo-romain nommé Cutius.


  • Étymologie populaire de Guise est « gué sur l'Oise » (le nom de l'Oise en ancien français étant « Ise »), la prononciation locale guïse [gɥiz] la justifie en partie.


  • Wieze en flamand.

Durant la Révolution, la commune porte les noms de Beaupré et Réunion-sur-Oise[1].



Histoire |



Moyen Âge et Époque moderne |




Par Christophe Tassin, 1634.




Sur un dessin de J. Peeters publié dans Topographia Galliæ, 1656, bibliothèque Carnegie (Reims).


La bourgade de Guise, capitale excentrée de la Thiérache, s'est développée à l'ombre d'un puissant château fort placé sur ses hauteurs. La terre de Guise est qualifiée de comté à partir du XIIIe siècle, elle est érigée en duché-pairie en 1528. Les seigneurs de Guise, comtes puis ducs de Guise, sont issus d'une branche cadette de la maison de Lorraine.


La forteresse de Guise contrôle l'Oise. Il existe, encore aujourd'hui, d'importants vestiges de cette bourgade fortifiée, élément du système de fortification du nord du royaume de France au temps de la Renaissance, même si la forteresse et la ville ancienne sont sorties très abîmées de la Première Guerre mondiale.



Époque contemporaine |


Guise, chef-lieu de pays sous l'Ancien Régime, devient chef-lieu de canton de l'arrondissement de Vervins du département de l'Aisne en 1790.



Industrialisation |


La ville de Guise est aux premières loges de l'expérience sociale de Jean-Baptiste André Godin au XIXe siècle. Il choisit Guise pour y implanter son phalanstère, lieu de vie communautaire imaginé par l'utopiste Charles Fourier : le Familistère de Guise.


L'essor des transports pondéreux sur l'Oise et la révolution industrielle du XIXe siècle permettent plus concrètement le développement de la ville desservie par le chemin de fer du Nord ainsi que l'implantation d'usines modernes. Parmi ces dernières, qui viennent compléter l'activité des carrières et de la tannerie, de la métallurgie et de la fonderie, la maison Godin produit des appareils de chauffage.



L'ancienne voie ferrée |


De 1875 à 1966, Guise a eu important trafic ferroviaire. À partir de la gare, inaugurée en 1892, aujourd'hui désaffectée et transformée en habitation, les voyageurs pouvaient partir pour de nombreuses destinations ; d’abord vers Saint-Quentin, par Lesquielles-Saint-Germain, Origny-Sainte-Benoîte, Ribemont grâce à la ligne Saint-Quentin – Guise qui sera exploitée de 1875 jusqu’en 1966, date à laquelle plus aucun train de voyageurs ne circule entre Guise et Saint-Quentin. En 1896, est créée la ligne Laon - Guise - Le Cateau. De 1900 à 1950, on peut rejoindre Guise au Catelet en passant par Seboncourt et Bohain. En 1910 jusqu'en 1976, on relie Guise à Hirson en passant par Beaurain. Pour éviter de contourner la butte du fort, un tunnel de plus de 500 m a été creusé. Il a eu la particularité d'abriter sous sa voûte deux lignes de chemins de fer d'écartements différents. Une voie de 1 m et une voie « normale » de 1,435 m, comme on peut le constater sur la carte postale prise par les Allemands au cours de la guerre 1914-1918. Ce tunnel très endommagé par les bombardements a été reconstruit après 1919 et existe encore de nos jours ; ses extrémités sont barrées par des grilles.


Article détaillé : L'ancienne gare et la ligne vers Bohain.



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Première Guerre mondiale |




Monument à la gloire de la Ve Armée française, lors de la bataille de Guise (1914).


La ville, qui a compté 8 000 habitants avant 1914, fut pendant la Première Guerre mondiale l'épicentre de deux batailles, en 1914 et en 1918 :



  • la bataille de Guise se déroula du 24 aout au 5 septembre 1914. Après la retraite stratégique franco-britannique, l'armée du général Lanrezac s'illustre en causant de lourdes pertes à la garde et au Xe corps d'armée prussiens, commandé par le général von Bülow ;

  • la bataille de Guise de 1918 constitue une partie de la bataille de la Sambre qui se déroula du 4 au 5 novembre 1918. L'armée du général Debeney inflige une défaite aux troupes rescapées du général von Hutier, qui doit abandonner la position de défense Hunding. C'est le début de la reconquête de la vallée de l'Oise par les armées alliées.



Depuis 1918 |


La population remonte à 7 100 habitants en 1923. Le canton de 21 communes s'est repeuplé après guerre et atteint 16 750 habitants. Puis la population stagne pour entamer un lent déclin. La ville compte moins de 6 000 habitants depuis 2000.



Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans l'Aisne.



Liste des maires |


Article connexe : Liste des maires de Guise.















































Liste des maires successifs depuis 1945
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1945
1959
Maurice Cornu
 
 
1959
1972
Jacques Juchli
 
 
1972
1977
Jean Husson
 
 
1977
janvier 2010
Daniel Cuvelier[2],[3]

PS
Conseiller général du canton de Guise
Démissionnaire
janvier 2010
en cours
(au 12 mai 2014)
Hugues Cochet[4],[5]

PS puis DVG

Réélu pour le mandat 2014-2020[6]
Président de la communauté de communes



Démographie |



Évolution démographique |


D’après le recensement Insee de 2007, Guise compte 5 489 habitants (soit une diminution de 7 % par rapport à 1999).
La commune occupe le 1 795e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 566e en 1999, et le 11e au niveau départemental sur 816 communes.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Guise depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 1891 avec 8 153 habitants.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[8].



En 2016, la commune comptait 4 868 habitants[Note 1], en diminution de 5,9 % par rapport à 2011 (Aisne : -0,34 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 085 3 039 3 097 2 729 3 072 3 241 3 543 3 528 4 060



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 684 4 529 5 289 5 659 6 250 7 131 7 677 8 153 8 082



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7 310 7 776 8 099 6 185 7 097 7 110 6 981 6 031 6 091



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
6 284 6 805 6 642 6 195 5 976 5 901 5 557 5 173 4 919



























2016 - - - - - - - -
4 868 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[9].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,2 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,2 %) est supérieur au taux national (51,6 %).


La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :



  • 46,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,3 %, 15 à 29 ans = 20,3 %, 30 à 44 ans = 17,3 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 19,7 %) ;

  • 53,2 % de femmes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 17,3 %, 45 à 59 ans = 19,3 %, plus de 60 ans = 28,6 %).














































Pyramide des âges à Guise en 2007 en pourcentage[10]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,4 

90  ans ou +

2,0 



7,3 

75 à 89 ans

12,7 



12,0 

60 à 74 ans

13,9 



21,4 

45 à 59 ans

19,3 



17,3 

30 à 44 ans

17,3 



20,3 

15 à 29 ans

17,6 



21,3 

0 à 14 ans

17,3 














































Pyramide des âges du département de l'Aisne en 2007 en pourcentage[11]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,3 

90  ans ou +

0,9 



6,0 

75 à 89 ans

9,6 



12,2 

60 à 74 ans

13,3 



21,8 

45 à 59 ans

20,6 



20,4 

30 à 44 ans

19,7 



18,7 

15 à 29 ans

17,2 



20,7 

0 à 14 ans

18,6 




Culture, fêtes, sport et loisirs |



Les Ducales |



  • Les Ducales. Cette fête médiévale annuelle[12],[13],[14],[15],[16] organisée depuis 2004[17] sur un week-end durant la deuxième moitié du mois de juin depuis l'édition 2018[18] (elle avait lieu auparavant début août), fut parfois désignée sous le nom de « Grandes heures médiévales de Guise ». Certaines troupes de reconstitution historique y assurent des prestations plus d'une fois, comme la Compagnie Excalibur Île-de-France[19], revenue à nouveau en 2010.


Sport |



  • Union sportive guisarde, club de football[20].

  • Tennis de Table Guisard.


  • Axe Vert de la Thiérache. Long de 39 km, il relie Guise à Hirson sur les emprises d'une ancienne voie ferrée. Il sera aménagé en 2013 par le conseil général de l'Aisne. Il est inclus dans la véloroute TransEuropéenne Paris - Moscou.


Ville fleurie |


Ville fleurie : trois fleurs attribuées en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[21].



Lieux et monuments |



Monuments |


  • Le Familistère, classé aux monuments historiques depuis 1991.

Article détaillé : Familistère de Guise.


  • Le château fort de Guise, dont le classement en tant que Monument historique de 1924 a été étendu en 2008.

  • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, classée depuis 1927.

  • L'église Saint-Médard.

  • Maison située au 18 rue de la Citadelle, classée depuis 1998.

  • L'hôtel Warnet, 113 place d'Armes, classé depuis 2002.

  • Statue de Camille Desmoulins.

  • La nécropole nationale de Flavigny-le-Petit.



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Lieux de mémoire de la Grande Guerre |



Monument à la mémoire de la Ve Armée française |


Ce monument a été érigé à la mémoire des soldats de la Ve Armée française tombés lors de la bataille de Guise de 1914. Il est l’œuvre de Jan et Joël Martel.



Au centre du monument, une frise stylisée représente le commandement français donnant des ordres aux troupes, à droite, les cavaliers, à gauche les fantassins; à l'arrière-plan se distinguent les usines de Guise. Au bas de la frise, on peut lire cette inscription :



« A LA GLOIRE DE LA CINQUIEME ARMEE FRANÇAISE ET DE SON CHEF
LE GENERAL LANDREZAC - BATAILLE DE GUISE 28-29 AOÛT 1914 »



Sur deux plaques latérales sont inscrits le nom des unités françaises ayant participé à la bataille. Le monument fut inauguré en 1929.



Monuments aux morts |


  • Le monument aux morts est érigé dans un petit parc à l'angle de la rue du Jeu-de-Paume et du boulevard Jean-Jaurès, il a été inauguré le 18 avril 1923. Ce monument est l'œuvre de l'architecte Charles Classet et du sculpteur André-Joseph Allar. Il est composé de deux ailes latérales surmontés chacun d'une sorte de pot à feu d'où jaillit la « flamme éternelle ». Ses deux ailes sont réunies par une partie centrale au-dessus de laquelle a été érigée une statue de femme, allégorie de la "ville de Guise", protégeant ses enfants[22].


  • Monument aux morts du Familistère dû aux frères Jan et Joël Martel, il a la forme d'un mur au centre duquel a été érigée la statue imposante d'un poilu.

  • Monument aux morts de Flavigny-le-Petit, commune rattachée à Guise depuis 1966.


Nécropole nationale de La Désolation |


Ce cimetière militaire français se trouve sur le territoire de la commune de Guise au lieu-dit la Désolation près du hameau de Flavigny-le-Petit.


Le cimetière contient 2 643 corps dont 1 491 en ossuaires. Des soldats de plusieurs nationalités y reposent : des Français pour la plupart ainsi que, 31 Belges, 47 Britanniques et 1 Canadien, 13 Russes et 1 Roumain. Des soldats français tombés pendant les deux guerres mondiales reposent dans des tombes individuelles et deux ossuaires de part et d’autre d’un mémorial avec les noms de ceux qui ont pu être identifiés. On trouve également un carré militaire belge, un carré militaire des britanniques et un carré militaire russe.


Les corps de 428 combattants de la Seconde Guerre mondiale y sont également inhumés.



Cimetière militaire allemand de La Désolation |


Article détaillé : Cimetière militaire allemand de Flavigny-le-Petit.

Les corps de 2 336 soldats allemands y sont inhumés dont 1 436 dans des tombes individuelles matérialisées par des croix en pierre (croix en pierre) dans cette nécropole et 911 inhumés dans l'ossuaire (16 ont pu être identifiés).



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Personnalités liées à la commune |




Statue de Jean-Baptiste André Godin dans le familistère.




  • Jean II de Luxembourg-Ligny (1392-1441), comte de Guise de 1425 à 1441.


  • Claude de Lorraine (1496-1550), premier duc de Guise.


  • François de Lorraine (1519-1563), deuxième duc de Guise.


  • Henri de Lorraine (1550-1588), troisième duc de Guise.


  • Jacques de Billy de Prunay (1535–1581), né à Guise.


  • Geoffroy de Billy (1536-1612), né à Guise.


  • Nicolas Abraham de La Framboisière (1560-1636), né à Guise.


  • Pierre Nicolas d'Agoult (1733-1801), général des armées de la République, né à Guise, décédé à Paris.


  • Jean Louis de Viefville des Essarts (1744-1820), mort à Guise.


  • Antoine Balland (1751-1821), général des armées de la République, né à Le Pont-de-Beauvoisin, mort à Guise.


  • Camille Desmoulins (1760-1794), avocat, journaliste et révolutionnaire français, né à Guise.


  • Paul-Alexis Dubois (1754-mort au combat le 4 septembre 1796 à Rovereto), général des armées de la République (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).


  • Jean-Baptiste André Godin industriel ayant fondé les entreprises Godin.


  • Camille Godelle (1832-1899), homme politique français né à Guise.


  • Jeanne Macherez (1852-1930), née à Guise, résistante de la Première Guerre mondiale.


  • Gabriel Busiau (1902-1942), né à Guise, officier des Forces navales françaises libres (FNFL).


  • Jacques Mahieux (1946-2016), musicien français.


  • Charles-Louis Lesur (1770-1849), homme de lettres et essayiste politique français.


  • François Boussus (1830-1899) industriel français.


  • Charles Ier de Guise (1571-1640), prince français.


  • Louis Joseph de Guise (1650-1671), duc de Joyeuse et prince de Joinville.


  • Louis de Lorraine (1527-1578), cardinal de Guise.


  • Pascal Massuel (1963- ), épéiste français.


  • Jean-Luc Sokal (1961- ), footballeur français.


  • Sylvie-Catherine De Vailly (1966- ), romancière française.


  • Achille Peigné-Delacourt (1797-1881), historien archéologue, décédé à Guise le 14 juin 1881.



Pour approfondir |



Bibliographie |




  • Guise, porte de la Thiérache : guide touristique et historique, éd. Office du tourisme, 1996, 76 pages.


  • Guise : du château ducal au palais social, coll. Itinéraires du patrimoine, no 321, 2006, 66 pages (ISBN 978-2-906340-65-7)



Articles connexes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Liste des communes de l'Aisne

  • Bataille de Guise

  • Château de Guise

  • Familistère de Guise



Liens externes |


  • Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata


Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.



Références |





  1. a et bDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  2. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008


  3. Démission de David Cuvelier pour raisons personnelles en décembre 2009 d'où l'élection anticipée du 31 janvier 2010.


  4. Hugues Cochet, maire par intérim de Guise depuis le 9 janvier 2010 jusqu'aux élections anticipées


  5. Hugues Cochet est élu maire de Guise à la suite des élections anticipées.


  6. « Hugues Cochet réélu pour un deuxième mandat », La Thiérache, no 2575,‎ 6 avril 2014, p. 27 (ISSN 0183-8415)


  7. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  8. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  9. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.



  10. « Évolution et structure de la population à Guise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 20 novembre 2010)




  11. « Résultats du recensement de la population de l'Aisne en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 20 novembre 2010)



  12. Programme 2010 des Ducales


  13. Photos des "Ducales 2008" consultables sur le site de la troupe Les Faydits de Champagne.


  14. Photos des "Ducales 2009" publiées par L'Aisne Nouvelle.


  15. L'Union, lundi 9 août 2010


  16. Photos des "Ducales 2011" publiées par L'Aisne Nouvelle.


  17. [PDF] Bulletin no 10 de septembre 2006, édité par la Chambre de Commerce et d'Industrie.


  18. Article traitant des "Ducales 2018" publié par L'Aisne Nouvelle.


  19. Photos d'une des prestations à Guise de la Compagnie Excalibur Île-de-France.


  20. Site officiel de l'USG


  21. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ 5 juillet 2008


  22. http://monumentsmorts.univ-lille3.fr/monument/19111/guise-place/







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