Compagnie générale de navigation sur le lac Léman
Pour les articles homonymes, voir CGN.
Compagnie générale de navigation sur le Lac Léman | |
Création | 16 janvier 1873 |
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Forme juridique | société anonyme |
Siège social | Lausanne Suisse |
Direction | Luc-Antoine Baehni |
Activité | transport de passagers |
Effectif | 207 (2009) |
Site web | cgn.ch |
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La Compagnie générale de navigation sur le Lac Léman - CGN est une société suisse de transport par bateaux et croisiere sur le lac Léman en Suisse et en France.
La société possède dix-neuf bateaux, d'une capacité comprise entre 150 et plus de 1 000 passagers. Il y a huit bateaux historiques à roues à aubes, et dix bateaux modernes. Ils sont utilisés pour du transport public et des croisières touristiques.
Sommaire
1 Histoire
2 Identité visuelle (logo)
3 Activités
4 Flotte
5 Anciens bateaux de la CGN
6 Accidents et incidents
6.1 Intempéries
6.2 Détournements
6.3 Collisions
6.4 Problèmes techniques et autres
6.5 Noyades
7 Bibliographie
8 Notes et références
9 Voir aussi
9.1 Articles connexes
9.2 Liens externes
Histoire |
C'est grâce à Edward Church, consul des États-Unis en France, que le premier bateau à vapeur de Suisse, le Guillaume Tell, apparaît sur le Léman en 1823[1],[2].
En 1873, la CGN naît de la fusion de trois sociétés de navigation propriétaires de huit bateaux.
- La Compagnie de l'Helvétie de Lausanne, avec Helvétie (1841) et Bonivard (1868)
- La Société du bateau à vapeur le Léman de Lausanne avec le Léman (1857)
L'Aigle, société anonyme de bateaux à vapeur de Genève, avec l’Aigle (1857)- et en indivision : Guillaume-Tell (1853), Chillon (1857), Rhône (1857) et Winkelried
La CGN reprend le chantier de construction navale situé au port de Morges, où dix bateaux à vapeurs ont été construits entre 1856 et 1886. La CGN déménage en 1888 à Ouchy (port de Lausanne) où se trouve depuis lors son chantier naval[3].
Progressivement, la navigation va cohabiter avec les chemins de fer (1870). Cette entente marque la prépondérance que va revêtir le tourisme dans toute la région lémanique. La flotte cherche sans cesse à s'agrandir en s'assurant le confort et la vitesse des transports. Le choix des destinations et les kilomètres parcourus augmentent.
Durant la « Belle Époque » le tourisme de luxe se développe intensément avec la construction de nombreux palaces, de nouvelles lignes de chemin de fer. C'est grâce à cette forte demande que la navigation connaît sa première période de gloire.
La Première Guerre mondiale affecte considérablement cet essor touristique, et la CGN en souffre beaucoup.
Une fois la guerre terminée, les fréquentations reprennent, mais le développement de l'automobile et la crise des années 1930 portent un nouveau coup dur à la compagnie. En 1940, la CGN est obligée de suspendre ses services durant 3 mois.
Heureusement, en 1943, les pouvoirs publics interviennent dans l'espoir de redonner à la CGN l'activité qu'elle avait connue auparavant, et en 1964, l'Exposition nationale donne une nouvelle impulsion, avec l'acquisition de nouvelles unités modernes.
En 2005 les vedettes Morges et Lavaux, réalisées par le chantier « Merré »[4], ont été transportées de Nort-sur-Erdre (30 km au nord de Nantes) jusqu'à Amphion les Bains pour être lancées peu de temps après. Elles ont été suivies en 2007 par la vedette rapide Coppet (appelée aussi NaviBus), puis en 2008 par le Valais. La presse a parlé de ce dernier transport car il a dû suivre un itinéraire modifié, plus long de 400 km, du fait des travaux sur une ligne de TGV[5].
La Poste suisse et la Fondation Pro Patria publient en 2011 une série de quatre timbres représentant des bateaux à vapeur des lacs suisses. Un timbre représente La Suisse (avec une valeur nominale de 1 franc et 0.50 de surtaxe)[6],[7].
Au début du XXIe siècle, la CGN possède la plus grande flotte au monde (en capacité de passagers) de bateaux « Belle Époque ». Ces huit bateaux sont classés monuments historiques par le canton de Vaud en juin 2011.
« Le classement s'étend à l'ensemble de la flotte Belle Époque (...), y compris les œuvres vives, le système de propulsion à vapeur d'origine, les roues à aubes, les superstructures, les aménagements intérieurs, les décors intérieurs et extérieurs, et l'armement de chaque navire. »[8],[9].
Identité visuelle (logo) |
Des années 1990 à 2013.
Depuis mars 2013[10].
Activités |
Le but de la CGN est l'exploitation commerciale des moyens de transport sur le lac Léman, l'entretien, la conservation et l'exploitation des bateaux. En plus de sa flotte, la CGN possède un chantier naval à Lausanne, à proximité du port.
La CGN offre :
- des croisières historiques et touristiques à bord de ses bateaux « Belle Époque » ;
- des transports publics entre les grandes villes côtières, via les trois lignes suivantes[11] :
- N1 : Lausanne-Ouchy - Évian-les-Bains ;
- N2 : Lausanne-Ouchy - Thonon-les-Bains ;
- N3 : Nyon - Yvoire.
- la location de certains bateaux pour des événements tels que mariages ou soirées à thème.
Les croisières touristiques permettent notamment de regarder les Alpes, situées sur la côte Sud du lac Léman.
Plus de deux millions de passagers empruntent chaque année les bateaux de la CGN (2016-2017)[12],[13].
Flotte |
La CGN possède dix-neuf bateaux, d'une capacité comprise entre 150 et plus de 1 000 passagers. Dont la plus grande flotte de bateaux à roue à aube et le plus grand bateau lacustre en Europe[14].
Une part de la flotte de la CGN sont des bateaux à vapeur de style Belle Époque, construits entre 1904 et 1927. Ces bateaux sont classés comme « bâtiments historiques d'importance nationale[15] », et la CGN a pour mission la restauration, l'entretien et l'exploitation de ces bateaux.
Le 20 mars 2014, la fédération européenne du patrimoine culturel Europa Nostra a honoré la Compagnie générale de navigation et l'Association des amis des bateaux à vapeur du Léman, pour leurs actions en faveur de la sauvegarde de la flotte historique « Belle Époque ». Sur 160 projets sélectionnés dans 30 pays, ils font partie des 27 lauréats de l'édition 2014[16],[17].
Une autre part de la flotte sont des bateaux-bus « navibus » : des vedettes rapides et récentes utilisées pour des traversées quotidiennes du lac au départ de Lausanne, Évian, Thonon, Nyon, Yvoire.
Les petits bateaux tels que Coppet et Genève ont été acquis en 2007 en vue d'assurer la rentabilité de l'entreprise; les coûts d'exploitation des gros bateaux étant généralement trop élevés en basse saison[18].
Nom | Année | Dimension | Passagers | Moteur | Utilisation |
---|---|---|---|---|---|
Montreux | 1904 | 67 m | 560 | vapeur, 650 kW | croisières, location |
Vevey | 1907 | 65 m | 750 | diesel-électrique, 515 kW | croisières, location |
Italie | 1908 | 65 m | 800 | diesel-électrique, 515 kW | croisières |
La Suisse | 1910 | 78 m | 850 | vapeur, 1 030 kW | croisières, location |
Savoie | 1914 | 67 m | 560 | vapeur, 660 kW | croisières, location |
Simplon | 1920 | 78 m | 980 | vapeur, 1 030 kW | croisières, location |
Helvétie | 1926 | 78 m | 1400 | provisoirement hors service | |
Rhône | 1927 | 67 m | 850 | vapeur, 625 kW | provisoirement hors service |
Col-vert | 1960 | 28 m | 130 | diesel, 295 kW | bateau-bus, location |
Henry-Dunant et Général-Guisan | 1963 | 50 m | 700 | diesel, 2x365 kW | croisières, location |
Ville-de-Genève | 1978 | 47 m | 560 | diesel, 2x400 kW | bateau-bus, location |
Léman | 1990 | 50 m | 780 | diesel, 2x520 kW | bateau-bus |
Lausanne | 1991 | 78 m | 1200 | diesel, 2x870 kW | croisières, location |
Morges et Lavaux | 2006 | 31 m | 200 | diesel, 2x720 kW | bateau-bus |
Coppet et Genève | 2007 | 25 m | 120 | diesel, 2x1045 kW | bateau-bus |
Valais | 2008 | 30 m | 200 | diesel, 2x720 kW | bateau-bus, location |
Anciens bateaux de la CGN |
Bateaux acquis par la CGN en 1873 ou construits pour la CGN par la suite[21].
Helvétie I (1841-1918)
Aigle II (1842-1860) (devient le Simplon I)
Rhône No.1 (1855-1883)
Italie I (1856-1875)
Aigle III (1857-1918)
Léman III (1857-1927) (devient le Léman IV)
Simplon I (1860-1874)
Chillon (1865-1900) (anciennement Rhône No.2 1857-1865)
Chablais I (1866-1873)
Bonivard (1868-1925, incendie)
Winkelried II (1871-1918)
Ville-de-Genève I (1872-1893) (anciennement La Flèche sur le lac de Neuchâtel 1857-1872, renommé Guillaume Tell III 1893-1912 après rénovation)
Mouche No.1 (1874-1885)
Mouche No.2 (1874-1885)
Cygne (1875-1910) (devient le Stadt-Biel sur le Lac de Bienne, jusqu'en 1931[22])
Mouche No.3 (1875-1885)
Mouette (1875-1907)
Mont Blanc II (1875-1893)
Jura (1879-1905)
Simplon II (1879-1915) (devient Guillaume-Tell IV)
Dauphin (1882-1917)
Ville de Vevey (1885-1897)
Abeille (1885-1901)
Ville d'Évian (1885-1901)
France (1886-1933?)
Major Davel (1889-1968, démoli en 1990[23])
La Suisse I (1893-1910)
Guillaume Tell III (1893-1912) (anciennement Ville-de-Genève I)
Genève (1896-1973) (racheté et conservé par l’Association pour le Bateau Genève, port des Eaux-Vives)
Lausanne I (1900-1978, démoli)
Général Dufour (1905-1977, démoli) (jumeau du Montreux)
Venoge (1905- ) (marchandises)
Évian (1910-1940)
Valais (1913-1963) (utilisé de 1966 à 2000 comme bateau-restaurant ancré devant le Jardin Anglais, démoli en 2003)
Guillaume Tell IV (1915-1917)
Léman IV (1942-1989) (construit sur la coque du Léman III)
Grèbe (1960-2005, vendu à la compagnie SMGN)
Bécassine (1961-1985, construite en 1931, vendue en 1985 à la compagnie SMGN)
Chablais II (1974-2010)[24]
Un bateau à vapeur devant le pont du Mont-Blanc, gravure de 1853
Le Genève en 1896
L’Aigle III avant 1904
Le Major Davel avant 1910
Le Chablais II en 2005
Accidents et incidents |
Des exercices ont lieu pour se préparer à des accidents, dans le cadre du dispositif international de sécurité et de sauvetage sur le lac Léman et du plan multilatéral de secours sur le lac Léman. L’exercice « Léman 16 » a eu lieu le 15 septembre 2016, il a simulé un accident survenu sur un bateau de la CGN et a engagé plus de 730 personnes[25].
Intempéries |
Des vents violents et une trop forte houle peuvent contraindre les bateaux à rester à quai. Par exemple en janvier 2017, aucun bateau CGN n’effectue la traversée vers Évian pendant deux jours. Ce qui provoque des plaintes de la part des pendulaires malgré la mise en place de transports de substitution[26].
En décembre 1967, l’Italie II s'échoue sur la plage à Cully, à cause du brouillard et des bourrasques de neige[27]. En 1969, le Vevey est drossé par un fort vent du sud contre la digue de Lutry (l’Italie le sort de ce mauvais pas).
Détournements |
La CGN se doit de prêter assistance sur le lac. Par exemple le 22 octobre 2017, le capitaine a détourné son bateau qui effectuait la course Évian-Ouchy, il est reparti au large sans laisser débarquer les passagers pour porter secours à un navigateur de catamaran au large d’Ouchy[28]. Un bateau peut aussi interrompre sa course si un passager nécessite des soins urgents, cela a été le cas du Genève le 10 septembre 1898 quand l'impératrice d'Autriche dite « Sissi » est assassinée.
Collisions |
Une embarcation de taille moyenne, le Cygne (1875-1910, 37 mètres) a eu de nombreux accidents. Il heurte la jetée du port de Thonon en 1876. Le 23 novembre 1883, il percute Le Rhône qui coule en quelques minutes, emportant onze passagers et membres d'équipage. En 1886, il entre en collision avec Le Léman devant Nyon. D’autres collisions ont lieu avec des barques du lac[22].
Le Genève entre en collision le 3 mai 1928 avec le Rhône près de Pully. Une partie d’un mât se brise et tue une passagère[29].
Le 1er septembre 2013, un voilier est entré en collision avec le Simplon, encore proche du débarcadère de Nyon et en route pour Yvoire, peu avant le départ d’une régate. Un jeune a été blessé et transféré à l'hôpital de Genève, les quatre autres passagers ont sauté à l’eau[30].
Problèmes techniques et autres |
En 1892, la chaudière du Mont-Blanc II explose alors qu’il décharge ses passagers au port d’Ouchy. Il y a 26 victimes[27].
En 1925, un incendie détruit le Bonivard, stationné pendant une nuit à Ouchy[27].
Le Simplon a un spectaculaire accident dans la rade de Genève le 18 août 2003 : son conduit de cheminée explose.
En 2007, le Simplon emboutit le quai à Genève, en face de l’Hôtel de la Paix. Un positionnement particulier des bielles, tout à fait exceptionnel, a provoqué un brusque arrêt du moteur. Puis, sous l'effet de la bise, le capitaine n’a pu éviter l’accident et la proue a été endommagée[31].
Noyades |
En avril 2004, un homme de 68 ans s’est noyé après avoir chuté du vapeur La Suisse. Il est tombé en redescendant de la timonerie où il a eu exceptionnellement accès pour faire des photographies. Le bateau s'est immobilisé rapidement (environ 200 mètres), a fait machine arrière, et l’équipage a mis à l’eau un canot, mais à ce moment on a perdu de vue l’homme qui nageait dans une eau à 10 degrés[32].
En novembre 2017, un enfant débarque du bateau-bus Léman à Évian-les-Bains, tombe du débarcadère et « coule à pic ». Une contrôleuse de la compagnie plonge dans le lac et parvient à le sauver. Au vu d’une température de l’eau de 12 degrés, l’incident aurait pu être fatal aux deux. La compagnie a rappelé que les employés ne sont pas des professionnels du secourisme et que l’on n'attend pas d’eux qu’ils se jettent à l'eau, que ce soit à quai ou depuis les bateaux. « Au cours des vingt dernières années, la CGN assure qu’aucun cas semblable n’a été signalé. Aucune noyade d’un passager n’a été rapportée dans le même temps »[13] (le cas de l’homme tombé d’un bateau en 2004 est différent, il n’était pas dans l’espace réservé aux passagers).
Bibliographie |
- (fr + en) Maurice Decoppet (photogr. Jacques Straesslé), CGN Compagnie Générale de Navigation sur le lac Léman : Une histoire, Lausanne, La Bibliothèque des Arts, 2008, 2e éd. (1re éd. 2007), 128 p. (ISBN 978-2-88453-141-2)
- Jacques Christinat, Bateaux du Léman : deux siècles de navigation, Cabédita, 2003
- Didier Zuchuat, « La flotte Belle-Époque classée », Monumental, vol. 2, 2016, p. 62-65 (ISBN 978-3-03828-087-3)
(de) Anton Raber et Peter Horlacher, Dampfschiffe Schweiz, Verlag Dampferzeitung, 1982
Notes et références |
« Historique de la CGN » (consulté le 4 octobre 2009).
Le Guillaume Tell assure dès 1823 une liaison régulière Genève-Morges, et des croisières jusqu'à Vevey le week-end. Il a une capacité de 200 personnes et une vitesse de pointe de 13 km/h (Tribune de Genève du 25 juin 2008).
Fondation Bolle, iconographie morgienne, avril 2009.
Designer : Flahaut design – Constructeur maritime : « Société des établissements Merré, constructions maritimes et fluviales (SEEM) »[1] à Nort-sur-Erdre, France.
L'odyssée de la vedette Valais sur Trouveo ; Un périple de 1400 kilomètres par la route pour une vedette destinée au Lac Léman sur Mer et marine 28 mars 2008 ; La vedette Valais sur les routes de France Mer et marine 31 mars 2008 ; Le Valais prend la route CGN 28 mars 2008.
« Des timbres sous le signe du génie national », Communication du 3 mai 2011, La Poste.
« La Suisse, Bateau à vapeur, Lac Léman, di Salvo Sandra », site de Pro Patria.
« La flotte belle époque du Léman : classement », décision du 9 juin 2011, Département des infrastructures du canton de Vaud.
« La flotte Belle Époque de la CGN est classée », Bureau d'information et de communication de l'État de Vaud, 17 juin 2011.
La CGN fait peau neuve
« Horaires hiver 2017 de la CGN », sur http://www.cgn.ch, 23 octobre 2017(consulté le 13 novembre 2017)
ATS, « Navigation: la CGN a enregistré un nombre de passagers record en 2016 », Arc Info, 2 juin 2017(lire en ligne).
Alain Détraz, « Une employée de la CGN plonge pour sauver la vie d’un petit enfant », La Tribune de Genève, 8 novembre 2017(lire en ligne).
Marion Grégoire et Jean-Paul Labourdette, France, Le Petit futé, 2008 (ISBN 9782746921191).
[2]
http://www.europanostra.org/awards/150/
La CGN et l'AVB honorés par un prix prestigieux, 20 mars 2014, 24 heures (Suisse)
http://www.cgn.ch/plain_site/compagnie/historique
http://www.cgn.ch/plain_site/flotte CGN SA - Flotte
http://www.cgn.ch/var/plain_site/storage/original/application/a51b3dda40e74da1e352c5e28b0e240c Votre croisière privée, notre flotte
Simplon Postcards
« CGN, le bateau "Le Cygne" », sur www.notrehistoire.ch, 27 juin 2014(consulté le 13 novembre 2017). Source: Jacques Christinat, Bateaux du Léman : deux siècles de navigation, éditions Cabédita, 1991.
http://www.notrehistoire.ch/group/bateaux-des-lacs/photo/58546/
Le moteur du Chablais rend l'âme le 29 mai 2010. « L’explosion du «Chablais» enflamme le débat sur la CGN », Tribune de Genève du 5 juin 2010.
Actualité du 16 septembre 2016 sur le site de la CGN.
ATS, « Lac léman: les traversées vers Evian par les bateaux de la CGN suspendues jusqu'à mercredi midi », Le Nouvelliste, 17 janvier 2017(lire en ligne).
Daniel Mazza, « Les malheurs de la navigation sur le Léman », sur scaph.ch, 30 décembre 2014(consulté le 13 novembre 2017).
« Un navire CGN se détourne pour porter secours à un catamaran », Le Matin, 24 octobre 2017(lire en ligne).
Le Scaph, « Les malheurs de la navigation sur le Léman ». Consulté le 14 décembre 2007
Yves Merz et Anetka Mühlemann, « Collision entre un voilier et un bateau de la CGN au large de Nyon », 24 heures, 2 septembre 2013(lire en ligne).
Tribune de Genève, 15 novembre 2007.
« Un drame endeuille la CGN », sur www.sisl.ch, 26 avril 2004(consulté le 13 novembre 2017).
Voir aussi |
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Articles connexes |
- Flotte de la Compagnie générale de navigation sur le lac Léman
- Bateaux à vapeur en Suisse
Association des amis des bateaux à vapeur du Léman (ABVL)- Mouettes genevoises
- Musée du Léman
- Musée des Traditions et des barques du Léman
Liens externes |
- Site officiel
« La flotte Belle époque du Léman », sur le site Patrimoine vaudois- Association Patrimoine du Léman (APL)
« L'origine de la navigation à vapeur sur le Léman », sur le site scaph.ch
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