Ordre des Frères mineurs
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Ordre des Frères mineurs (Franciscains) | |
Ordre religieux | |
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Type | Ordre religieux, ordre mendiant |
Spiritualité | Franciscaine |
Structure et histoire | |
Fondation | 1210 |
Fondateur | Saint François d'Assise |
Abréviation | o.f.m. |
Liste des ordres religieux | |
L'ordre des Frères mineurs (OFM) (en latin : ordo fratrum minorum), dont les membres sont couramment appelés franciscains, est un ordre religieux catholique né en Italie sous l'impulsion de saint François d'Assise en 1210. À l'imitation du Christ, les membres tentent de vivre une vie de grande pauvreté et simplicité évangélique. Insistant sur l'aspect de fraternité dans leur vie les franciscains ont choisi de s'appeler « frères », bien que, aujourd'hui, la majorité d'entre eux soient en fait prêtres.
Quatre penseurs ont marqué l'histoire des franciscains : saint Bonaventure de Bagnoregio, Roger Bacon, Duns Scot et Guillaume d'Ockham.
En juin 2015, le pape François approuve la béatification de 26 membres de l'Ordre tués par les Républicains espagnols lors de la Guerre civile espagnole.
Sommaire
1 Saint François d'Assise et la fondation de l'Ordre des frères mineurs
2 La querelle des spirituels
3 Description
4 Rivalités avec les Dominicains
5 Communautés
6 Gardiens des Lieux saints
7 De nos jours
8 Franciscans International
9 Papes franciscains
10 Personnalités
10.1 Franciscains français
11 Armoiries de l'Ordre des frères
12 Voir aussi
12.1 Articles connexes
12.2 Liens externes
12.3 Bibliographie
13 Notes et références
14 Sources
Saint François d'Assise et la fondation de l'Ordre des frères mineurs |
Saint François d'Assise est un jeune homme issu d'une riche famille marchande — son père vend des tapis jusqu'en France, d'où le prénom de Francesco — qui mène une jeunesse dissipée. Il veut devenir chevalier et se fait emprisonner un an, à la suite d'une guerre entre sa ville, Assise, et la ville voisine de Pérouse. À la suite de sa détention, il tombe gravement malade et se convertit.
Il crée en 1209 une confrérie primitive, fondée sur la pauvreté totale et la prédication. Ses premiers compagnons sont Bernard de Quintavalle et Pierre de Catane. Saint François envoie ses confrères deux par deux dans toutes les régions autour d'Assise. Les frères vivent du travail de leurs mains et de l'aumône. Très vite, la communauté rencontre un très grand succès.
En 1210, le pape Innocent III (dont le nom est choisi pour honorer les chrétiens tués sans raison) approuve verbalement la nouvelle communauté. Saint François choisit le nom de frères mineurs par référence aux « plus petits d'entre nous » dont parlent les Évangiles (Mt 25:40-45). En 1212, il est rejoint par sainte Claire, jeune fille d'une noble et riche famille, qui a été convertie par François. Ce sera la fondation des Pauvres dames, les clarisses, second ordre franciscain. En 1221, les franciscains s'agrandissent par la fondation du tiers-ordre, réservé aux séculiers. Saint François étend ainsi l'idéal biblique à tous et permet à chacun de se reconnaître dans le Christ sans renoncer au monde séculier.
En 1217, une première organisation est donnée à l'ordre : l'Italie est découpée en provinces, chacune ayant à sa tête un « ministre provincial ». François s'oppose à toute forme d'organisation plus poussée. Parallèlement, des groupes de missionnaires sont envoyés en Palestine. Saint François lui-même part, laissant l'ordre entre les mains de deux vicaires généraux, parmi lesquels Pierre de Catane. Ceux-ci décident Honorius III à publier une bulle imposant un noviciat d'un an, une profession de vœux formelle et un contrôle de la prédication.
À son retour en 1220, saint François s'oppose à ces changements. Contraint de donner une constitution formelle à l'ordre, il rédige la Regula Prima. Elle est basée sur le respect total des enseignements de Jésus-Christ. Jugée trop longue et trop stricte, elle est remplacée en 1223 par une seconde règle, elle aussi de la main de saint François, approuvée par bulle par Honorius III, d'où son nom de Regula bullata. Cette règle beaucoup moins sévère est rédigée à la suite de tensions à l'intérieur de l'Ordre : une partie des frères considère que la pauvreté évangélique est trop dure à supporter et souhaite posséder des couvents ou encore des livres. Finalement saint François cède sous la pression de frère Hugolin et frère Élie. Il écrit en 1225 le Cantique de Frère Soleil. Il aurait reçu les stigmates de la Passion du Christ peu de temps avant sa mort.
En 1220, saint François avait quitté la tête de l'ordre, et l'avait confié à Pierre de Catane, devenu son vicaire. À la mort de ce dernier en 1221, le vicariat passe à Élie de Cortone. Saint François d'Assise meurt en 1226, laissant un Testament où il professe son attachement à la pauvreté évangélique. En 1227, Élie de Cortone convoque un chapitre général, qui élit Giovanni Parenti ministre général.
La querelle des spirituels |
Dès la mort du fondateur, les conflits éclatent. En 1230, le pape Grégoire IX dispense les franciscains de suivre le testament du fondateur. L'ordre est normalisé par saint Bonaventure, ministre général de 1257 à 1274 : on insiste moins sur la pauvreté et on s'intéresse aux activités intellectuelles et pastorales.
Une tendance s'oppose à cette évolution et tient à conserver la pauvreté absolue vantée par saint François d'Assise. Ce sont les Spirituels, aussi appelés zelanti en Italie ; les plus extrémistes d'entre eux formeront le groupe des fraticelles qui seront condamnés comme hérétiques et livrés à l'Inquisition. Ils sont très marqués également par la pensée eschatologique et apocalyptique de Joachim de Flore. Au fur et à mesure que le gouffre se creuse entre eux et les conventuels (nom donné aux partisans de l'évolution de l'ordre, cherchant un compromis avec l'Église institutionnelle), ils se font plus critiques de l'Église et du pape[1].
Les foyers spirituels sont dans le Languedoc (Pierre-Jean Olieu, ou Pierre de Jean Olivi), en Toscane (Ubertin de Casale) et dans les Marches (Ange Clareno, Pierre de Macerata). Ils sont vite accusés d'hérésie. En 1323, le pape Jean XXII règle la question de la pauvreté en déclarant par sa bulle Cum inter nonnullos que la pauvreté de Jésus et des apôtres n'a pas été absolue. Bon nombre de spirituels sont emprisonnés et les fraticelles sont livrés à l'Inquisition ; et les meneurs meurent sur le bûcher ou en prison au XIVe siècle. Les spirituels renaissent cependant dans les frères mineurs observants (fusion de diverses branches, les claréniens, colettan, amadéens, etc.), famille créée en 1517 par la bulle Ite et vos du pape Léon X[2].
Description |
Les franciscains portaient un froc gris de laine, avec une ceinture de corde et un capuchon court et arrondi. Ils avaient le droit de se livrer dans leurs églises à la confession et à la prédication. Ces religieux, protégés par les papes, se répandirent par toute l'Europe, et comptèrent bientôt des milliers de couvents, enrichis par la piété des fidèles.
Rivalités avec les Dominicains |
Les franciscains étaient en rivalité avec les dominicains, surtout depuis leur introduction dans les chaires de l'université de Paris.
Dans le domaine de l'enseignement de la philosophie et de la théologie, les deux ordres eurent pour principaux guides : chez les franciscains Duns Scot, chez les dominicains saint Thomas d'Aquin, qui pendant longtemps divisèrent l'école en scotistes et thomistes. Ces deux ordres mendiants, fondés au XIIIe siècle, restèrent en opposition pour obtenir la mainmise sur l'Inquisition, notamment en Provence[3] et à Florence en Toscane.
Communautés |
Cet ordre a donné naissance à une foule de communautés particulières, soit d'hommes, soit de femmes.
Les plus connues sont :
- pour les hommes :
- les pères de l'observance, moines déchaussés, fondés en Italie en 1363, par Paul de Foligno ;
- les récollets ou recueillis (re-collecti) ;
- les cordeliers, nom que prirent les franciscains établis en France, attribué par Jean de Beauffort lors de la septième croisade ;
- les capucins, qui se distinguaient par une longue barbe et un capuchon pointu ;
- les célestins.
- pour les femmes :
- les urbanistes, établies en 1260 à Longchamp, près de Paris, par la bienheureuse Isabelle de France, et confirmées par le pape Urbain IV ;
- les colettines, réforme accomplie par sainte Colette de Corbie, au XIVe siècle ;
- les conceptionnistes, appelés aussi de moniales conceptionnistes franciscaines, fondées pour sainte Béatrice da Silva au XVe siècle ;
- les capucines ;
- les clarisses ou déchaussées.
En 1221, saint François avait fondé en outre un tiers-ordre pour les laïcs qui voulaient être associés au mode de vie évangélique des frères mineurs (quelques membres déviants de cet ordre sont les béguins), et des religieux : le tiers-ordre régulier, comme les picpus, ainsi appelés du monastère de Picpus, près de Paris, où ils s'établirent.
La totalité des religieux des deux sexes de Saint-François était au XVIIe siècle de 115 000 moines et de 28 000 nonnes, répartis dans 8 000 couvents.
Ils disparurent de France, avec les autres ordres religieux, à la suite du décret du 13 février 1790 qui interdit les vœux monastiques et supprima les ordres religieux réguliers[4], mais ils subsistèrent au XIXe siècle en Europe, surtout en Italie, au Proche-Orient et en Amérique du Sud. Les capucins et les franciscains reparurent en France à partir de 1850.
Gardiens des Lieux saints |
En vertu de deux bulles du pape Clément VI en 1342, Gratias agimus et Nuper carissimae[5], les franciscains de Terre sainte revendiquent la « garde des Lieux saints ». Ce privilège s'explique par le rôle pacificateur joué par saint François d'Assise lors de la cinquième croisade en 1219[6].
Ainsi, depuis le XIVe siècle, les franciscains sont les gardiens de nombreux sanctuaires en Terre sainte, dont le Saint-Sépulcre à Jérusalem.
De nos jours |
Aujourd'hui, la famille franciscaine se décompose ainsi :
- Premier ordre
- Frères franciscains observants ou frères mineurs (robe brun foncé, capuchon de forme ronde, ceinture de corde et sandales).
- Frères franciscains capucins ou frères mineurs capucins (ils sont porteurs d'un capuchon, d'une bure brun foncé, de sandales et jadis d'une barbe).
- Frères franciscains conventuels ou frères mineurs conventuels (robe noire, cordelette blanche et grand capuchon double), encore appelés cordeliers.
- Frères franciscains de l'Immaculée ou frères mineurs de l'Immaculée (robe bleu foncé, capuchon, ceinture de corde, sandales et sont porteurs de la médaille miraculeuse).
- Second ordre
- Sœurs clarisses.
- Sœurs clarisses capucines.
- Sœurs conceptionnistes franciscaines.
- Sœurs clarisses de l'Immaculée (robe bleu foncé, manteau, ceinture de corde, sandales et sont porteurs de la médaille miraculeuse).
- Sœurs franciscaines de l'Immaculée (robe bleu foncé, manteau, ceinture de corde, sandales et sont porteurs de la médaille miraculeuse).
- Tiers-ordre
Tiers-ordre régulier (sœurs franciscaines ou prêtres) depuis 1221 (environ 850 membres).
Ordre franciscain séculier : fraternités séculières (laïcs, célibataires ou mariés, prêtres diocésains).
Franciscans International |
Franciscans International est une organisation non gouvernementale (ONG) créée en 1984 et dotée du statut consultatif (catégorie générale) auprès de l'ONU. Elle est le porte-parole de la Famille franciscaine dans le monde entier. Elle est au service des sœurs et des frères et étend son engagement à toute la communauté humaine en intégrant les valeurs spirituelles, éthiques et franciscaines aux forums et programmes des Nations unies.
Papes franciscains |
Nicolas IV (1288-1292), maître général de l'Ordre
Sixte IV (1471-1484), maître général de l'Ordre
Sixte-Quint (1585-1590), vicaire général de l'Ordre
Clément XIV (1769-1773)
Pie XI (1922-1939), était membre du tiers ordre
Alexandre V (1409), est aujourd'hui considéré comme un antipape
Nicolas V, antipape de 1328 à 1330 en conflit avec Jean XXII
Personnalités |
Saint François d'Assise, le fondateur- Saint Claire d'Assise
Saint Antoine de Padoue.
Saint Bonaventure de Bagnorea, docteur de l'Église
- Alexandre de Hales
- Saint Benoît le More
- Saint Bernardin de Sienne
- Saint Godefroid Coart
- Sainte Colette de Corbie
- Roger Bacon
- John Peckham
- Alexandre de Hales
- Giovanni da Ripa
- Jean de Galles
- Duns Scot
- Guillaume d'Ockham
- Francesc Eiximenis
- Saint Jacques de la Marche
- Jean de Capistran
- Junípero Serra
- Bienheureux Bernardin de Feltre
- Marc d'Aviano
- Francisco Jiménez de Cisneros
Bienheureux Crispin de Viterbe (Pierre Fioretti)- Anne de Prusse
Alessandro Serenelli (et sainte Maria Goretti)- Maximilien Kolbe
Pierre d'Alcantara, mystique
Pierre Baptiste, missionnaire au Japon
- Pierre Régalati
Pierre Wirth, fondateur de la congrégation des frères franciscains de la Sainte-Croix
- Salimbene de Adam
- Padre Pio
- Raniero Cantalamessa
Franciscains français |
Corentin Cloarec (1894-1944)
Eudes Rigaud (v. 1210-1275), archevêque de Rouen (1248-1275)- Pierre Auriol
Jean Porthaise (v. 1520-1602)
Bienheureux Jean Discalceat, « Santig Du » en Bretagne- Saint Louis d'Anjou
Gilbert Génébrard (1535-1597)- Grégoire Girard
- Ambroise de Lombez
- Saint Benoît Joseph Labre
- Jean Tisserand
- Ange de Joyeuse
- Thomas Illyricus
- Ferdinand d'Orléans (1844-1910)
François de Meyronnes (Meyronis)- Henri Grouès (Abbé Pierre)
- Père Benoît
- Padre Anton Docher (1852-1928)
Jean-Pierre Grallet (né en 1941), archevêque de Strasbourg
Armoiries de l'Ordre des frères |
Les premières armoiries de l'Ordre des frères apparaissent au XIVe siècle. Elles se composent des cinq plaies du Christ[7] souvent représentées par des lames de feu. À la fin du XVIe siècle, un nouvel emblème franciscain apparaît, appelé « conformités », dont l'écu montre deux bras passés en sautoir de carnation et stigmatisés de gueules, hissant d’une nuée d’azur clair et brochant sur une croix haute de tanné (croix de calvaire). Le bras nu est celui du Christ ; le bras couvert d'une manche de bure, celui de saint François[8]. L'écusson central peut combiner différents insignes de l'ordre (cinq plaies, bras en sautoir, croix de la Custodie franciscaine de Terre sainte, séraphin à six ailes)[9]. Le blason peut être timbré par le cœur du Christ traversé des trois clous de la Passion et auréolé de la couronne d'épine.
Voir aussi |
Articles connexes |
- Histoire des ordres franciscains
- Liste des ministres généraux des franciscains
- Liste des saints franciscains
- Frères mineurs capucins
- Frères franciscains de l'Immaculée
- Tiers-Ordre franciscain
Custodie franciscaine de Terre Sainte.- Église Sant'Antonio da Padova all'Esquilino
- Martyrs de Gorcum
- Affaire de Damas
- Massacre de Široki Brijeg
- Miroslav Filipović
- Petar Brzica
- Ordres religieux par ordre alphabétique
- Liste des congrégations catholiques
- Histoire des congrégations chrétiennes
- Frères missionnaires de Saint François d'Assise
Liens externes |
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- La famille franciscaine
Oliviana, revue consacrée à l'histoire des ordres spirituels, dans l'ordre franciscain et ses alentours
Franciscans International, ONG représentant la Famille franciscaine auprès des Nations unies- Bibliothèque franciscaine des capucins - Paris
Frères mineurs dans le Dictionnaire de théologie catholique.
Bibliographie |
Franciscains. La famille multiple de saint François, Cerf, coll. « Semeurs », Paris, 1981
Franciscains d'Oc, les Spirituels : ca. 1280–1324, Privat, Cahiers de Fanjeaux, no 10 (1995), Toulouse
(en) R. Brooke, Early Franciscan Government. Elias to Bonaventura, Cambridge University Press, Cambridge, 1959- T. Desbonnets, De l'intuition à l'institution, Le Cerf et les Éditions franciscaines, Paris, 1983
(en) J.R.H. Moorman, A History of the Franciscan Order from its Origins to the Year 1517, Clarendon Press, Oxford, 1968
Umberto Eco, Le Nom de la rose, 1980 (roman)- W. Van Dijk, Franciscains, in Encyclopedia universalis, t. IX, Paris, 1990, p. 931-932
- L.-E. Ghesquières, Tiers Ordre séculier, in Catholicisme hier – aujourd’hui – demain de G. Jacquemet, t. XIV, Paris, Letouzey et Ané, 1996, p. 1247-1249
- L. Iriarte, L'Histoire du Franciscanisme, Paris, Éd. franciscaines, Cerf, 2004, 670 p.
- G.G. Merlo, Au nom de saint François. Histoire des Frères mineurs et du franciscanisme jusqu'au début du XVIe s, Paris, Éd. franciscaines, Cerf, 2006, 414 p.
L'Homéliaire de Jean Vitrier. Spiritualité franciscaine en Flandre au XVIe siècle. Texte, étude thématique et sémantique, coll. Travaux d'humanisme et Renaissance, CXVI, Genève, Librairie Droz, 1971
Giacomo Todeschini, Richesse franciscaine. De la pauvreté volontaire à la société de marché, éd. Verdier, 2008
Bernard Forthomme, Histoire de la théologie franciscaine. De saint François d'Assise à nos jours, Éditions franciscaines, 2014[10].- Bernard Forthomme, La pensée franciscaine, un seuil de la modernité, Paris, Belles Lettres, 2014[11].
Notes et références |
Francis Higman, La Réforme : pourquoi ? Essai sur les origines d'un événement fondateur, Labor et Fides, 2001, p. 16-17
Frédéric Meyer, Pauvreté et assistance spirituelle : les franciscains récollets de la province de Lyon aux XVIIe et XVIIIe siècles, Université de Saint-Etienne, 1997, p. 18
Article de Holly Grieco, recension en ligne.
Hors ceux chargés de l'éducation publique et des maisons de charité
La Custodie de Terre Sainte, sur le site du Commissariat de Terre Sainte
« La puissance des Franciscains », L'Histoire 7/2012, no 378, p. 44-44,
lire en ligne (consulté le 26 janvier 2014)
Deux trous aux mains, deux aux pieds et le coup de lance du soldat romain sur le côté.
Louis Réau, Iconographie de l'art chrétien, Presses universitaires de France, 1959, p. 1451.
Séraphin sous la forme duquel le Christ apparut à François quand il fut stigmatisé.
« Histoire de la théologie franciscaine, de saint François d'Assise à nos jours - Editions Franciscaines », sur www.editions-franciscaines.com (consulté le 28 août 2015)
« La Pensée franciscaine. Un seuil de la modernité », sur www.lesbelleslettres.com (consulté le 28 août 2015)
Sources |
Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Ordre des Frères mineurs » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878(lire sur Wikisource)
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