Chambre des conseillers (Japon)
Pour les articles homonymes, voir Chambre des conseillers.
参議院
Sangi’in
Type | Chambre haute |
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Président | Chūichi Date (PLD) |
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Élection | 1er août 2016 |
Vice-président | Akira Gunji (PDP) |
Élection | 1er août 2016 |
Membres | 242 |
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Groupes politiques | Majorité (152):
Oppositions (90):
|
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Système électoral | Système mixte unique non transférable et proportionnel (renouvelable par moitié tous les 3 ans) |
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Dernière élection | 10 juillet 2016 |
Aile nord du Bâtiment de la Diète
Nagata-chō, Chiyoda, Tokyo.
Site web | http://www.sangiin.go.jp/ |
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La Chambre des conseillers (参議院, Sangi’in ) est la chambre haute de la Diète du Japon.
Elle détient le pouvoir législatif concurremment avec la Chambre des représentants, bien que, en cas de désaccord, cette dernière ait le dernier mot si elle confirme son premier choix à la majorité des deux tiers de ses membres pour tout projet ou proposition de loi ou à la majorité simple pour l'adoption du budget ou la ratification d'un traité.
Elle a été créée par la constitution japonaise de 1947, remplaçant alors la Chambre des pairs, chambre haute de la Diète de l'Empire du Japon sous la constitution Meiji de 1889.
Elle est composée de 242 membres, appelés « Conseillers » (参議員, Sangi'in ) ou parfois « Sénateurs », élus pour six ans, renouvelables par moitié tous les trois ans, au suffrage universel direct selon deux modes de scrutin. 146 conseillers (environ trois cinquièmes de l'assemblée) sont élus au vote unique non transférable dans le cadre des 47 préfectures du Japon, les 96 restants étant élus au scrutin proportionnel de listes nationales.
Sommaire
1 Composition
1.1 Nombre de sièges
1.2 Mode d'élection
1.3 Répartition des sièges
1.4 Composition actuelle
2 Organisation
2.1 Exécutif
2.2 Commissions
2.2.1 Commissions permanentes
2.2.2 Commissions spéciales
2.2.3 Comités de recherche
2.2.4 Comité d'enquête sur la constitution
2.2.5 Comité d'enquête pour le contrôle du renseignement
2.2.6 Comité d'enquête sur l'éthique politique
3 Installations
3.1 Salle des séances
3.2 Salles des commissions et bureau présidentiel
3.3 Bureaux des Conseillers
3.4 Résidence officielle du président de la Chambre des conseillers
4 Références
5 Voir aussi
5.1 Articles connexes
5.2 Liens externes
Composition |
Nombre de sièges |
De sa création en 1947 jusqu'à 1983, la Chambre des conseillers était composée de 250 membres. Le nombre de ses sièges a ensuite évolué pour atteindre 252 de 1983 à 2001 avant d'être réduit à 247 en 2001 puis à 242 en 2004.
Mode d'élection |
De 1947 à 1980 (les élections tenues cette année-là incluses), le système électoral était unique, les conseillers étant élus au vote unique non transférable dans 48 circonscriptions dont 150 au niveau des 47 préfectures et 100 dans une circonscription nationale. Chaque électeur votait ainsi pour deux candidats, l'un préfectoral, l'autre national. La réforme électorale de 1980 a introduit un système mixte : environ 3/5 sont élus au vote unique non transférable dans les 47 préfectures (ils sont 146 sur 242 depuis 2004) et les quelque 2/5 restant le sont à la proportionnelle nationale de liste (ils sont 96 sur 242 depuis 2004). Pour ce dernier scrutin, le système se faisait à listes bloquées jusqu'en 2001, et depuis lors se déroule au vote préférentiel.
Répartition des sièges |
La répartition par préfectures des conseillers élus au vote unique non transférable est la suivante :
Préfecture | Nb de conseillers |
---|---|
Aichi | 6 |
Akita | 2 |
Aomori | 2 |
Chiba | 6 |
Ehime | 2 |
Fukui | 2 |
Fukuoka | 4 |
Fukushima | 4 |
Gifu | 4 |
Gunma | 2 |
Hiroshima | 4 |
Hokkaidō | 4 |
Hyōgo | 4 |
Ibaraki | 4 |
Ishikawa | 2 |
Iwate | 2 |
Kagawa | 2 |
Kagoshima | 2 |
Kanagawa | 6 |
Kōchi | 2 |
Kumamoto | 2 |
Préfecture de Kyoto | 4 |
Mie | 2 |
Miyagi | 4 |
Miyazaki | 2 |
Nagano | 4 |
Nagasaki | 2 |
Nara | 2 |
Niigata | 4 |
Ōita | 2 |
Okayama | 2 |
Okinawa | 2 |
Préfecture d'Osaka | 6 |
Saga | 2 |
Saitama | 6 |
Shiga | 2 |
Shimane | 2 |
Shizuoka | 4 |
Tochigi | 2 |
Tokushima | 2 |
Préfecture de Tokyo | 10 |
Tottori | 2 |
Toyama | 2 |
Wakayama | 2 |
Yamagata | 2 |
Yamaguchi | 2 |
Yamanashi | 2 |
Composition actuelle |
Dans la législature commencée aux élections de 2016, et au 9 février 2017, la Chambre des conseillers est composée des groupes politiques suivants :
Affiliation | Groupe politique | Membres | Femmes | Pourcentage[2] | Président |
---|---|---|---|---|---|
Droite (majorité) | Parti libéral-démocrate - Kokoro | 127[3] | 20 | 52,48 % | Seiko Hashimoto |
Parti libéral-démocrate | 122[4] | 19 | 50,41 % | Seiko Hashimoto | |
Parti pour le cœur japonais | 2[5] | 1 | 0,83 % | Kyōko Nakayama[6] | |
Indépendants | 3[7] | 0 | 1,24 % | Masamune Wada[8] Michitarō Watanabe[9] Yoshiyuki Inōe[10] | |
Centre gauche (opposition) | Parti démocrate progressiste - Shin-Ryokufūkai | 51[11] | 12 | 21,07 % | Toshio Ogawa |
Parti démocrate progressiste | 49[12] | 11 | 20,25 % | Toshio Ogawa | |
Shin-Ryokufūkai (Indépendants) | 2 | 1 | 0,83 % | Yasue Funayama[13] Ryūhei Kawada[14] | |
Centre droit (majorité) | Nouveau Kōmeitō | 25 | 5 | 10,33 % | Yūichirō Uozumi |
Extrême gauche (opposition) | Parti communiste japonais | 14 | 5 | 5,79 % | Yoshiki Yamashita |
Troisième voie (opposition) | Association pour la restauration du Japon | 12[15] | 2 | 4,96 % | Toranosuke Katayama[16] |
Centre gauche (opposition) | Comité de l'espoir (Libéral - Social-démocrate) | 6[17] | 3 | 2,48 % | Yūko Mori |
Parti libéral | 4 | 2 | 1,65 % | Yūko Mori | |
Parti social-démocrate | 2 | 1 | 0,83 % | Seiji Mataichi | |
Troisième voie (opposition) | Club indépendant | 4[18] | 2 | 1,65 % | Michiyo Yakushihi |
Gauche (opposition) | Vent d'Okinawa | 2[19] | 1 | 0,83 % | Keiko Itokazu |
Parti socialiste d'Okinawa | 1 | 1 | 0,41 % | Keiko Itokazu | |
Indépendant | 1 | 0 | 0,41 % | Yōichi Iha[20] | |
Troisième voie (opposition) | Assemblée pour dynamiser le Japon (non-inscrit) | 1[21] | 0 | 0,41 % | Kazuyuki Yamaguchi |
Indépendants non-inscrits | 0[22] | 0 | 0 % | - | |
Sièges vacants | 0 | 0 | 0 % | - | |
Total | 242 | 50 | 100 % | - |
Organisation |
Exécutif |
Les membres de la Chambre des conseillers élisent en leur sein, pour un mandat de 3 ans, un président et un vice-président, à bulletin secret et éventuellement par deux tours de scrutin. Bien que ces deux officiels de la chambre soient issus d'une formation politique constituée en groupe au sein de l'assemblée, ils siègent, pendant la durée de l'exercice de leur mandat, comme indépendants.
Le président de la Chambre des conseillers (参議院 議長, Sangi'in gichō ) dirige les séances de la Chambre des conseillers ainsi que celles des assemblées communes des deux chambres de la Diète en l'absence du président de la Chambre des représentants. Il participe à l'établissement de l'ordre du jour et est consulté par le Premier ministre lorsque celui-ci désire convoquer une session extraordinaire du Parlement.
Le vice-président de la Chambre des conseillers (参議院 副議長, Sangi'in fukugichō ) supplée le président et dirige les séances plénières de l'assemblée en absence de ce dernier.
Le président de la Chambre des conseillers est depuis le 1er août 2016Chūichi Date, conseiller élu pour Hokkaidō et membre du Parti libéral-démocrate (qui est redevenu le premier parti au sein de cette assemblée à la suite des élections de 2013 et dispose de la majorité absolue avec ses alliés). Il était auparavant le secrétaire général du PLD à la Chambre des conseillers.
Son vice-président est Akira Gunji, membre du Parti démocrate progressiste et conseiller pour la préfecture d'Ibaraki, depuis le 1er août 2016. Il était auparavant le président du groupe de son parti à la chambre.
Commissions |
La Chambre des conseillers, comme la chambre des représentants, comporte un certain nombre de commissions qui organisent le travail parlementaire. Elles sont de trois types : permanentes, spéciales et de recherche.
Commissions permanentes |
Leur existence est, comme leur nom l'indique, permanente : il s'agit de l'ensemble des commissions sectorielles ordinaires qui discutent des projets et propositions de loi avant de les présenter devant l'assemblée. Le champ de compétence de chacune d'entre elles correspond plus ou moins à un secteur ministériel du Cabinet. Elles sont au nombre de 17 (entre parenthèses sont mentionnés les présidents de ces commissions et leur appartenance politique) :
- Commission du Cabinet (Shōji Namba, PDP).
- Commission des Affaires générales (Shin'ichi Yokoyama, Kōmeitō).
- Commission des Affaires judiciaires (Kōzō Akino, Kōmeitō).
- Commission des Affaires étrangères et de la Défense (Takashi Uto, PLD).
- Commission des Affaires financières et fiscales (Masahito Fujikawa, PLD).
- Commission de l'Éducation, de la Culture et des Sciences (Masaaki Akaike, PLD).
- Commission de la Santé, des Affaires sociales et du Travail (Takashi Hanyūda, PLD).
- Commission de l'Agriculture, des Forêts et de la Pêche (Takeyuki Watanabe, PLD).
- Commission de l'Économie et de l'Industrie (Masao Kobayashi, PDP).
- Commission du Territoire et des Transports (Teruhiko Mashiko, PDP).
- Commission de l'Environnement (Masako Mori, PLD).
- Commission des Politiques nationales fondamentales (Minoru Yanagida, PDP).
- Commission du Budget (Ichita Yamamoto, PLD).
- Commission de l'Audit (Hiroshi Okada, PLD).
- Commission du Contrôle de l'Administration (Nobuaki Satō, PLD).
- Commission de l'Administration de la Chambre (Junzō Yamamoto, PLD).
- Commission de la Discipline (Kensei Mizote, PLD).
Commissions spéciales |
Créées de manières extraordinaires, et n'ayant pas vocation à être permanentes, ces commissions s'occupent du suivi de dossiers particuliers. Il y en a sept au 13 février 2017 (entre parenthèses sont mentionnés les présidents de ces commissions et leur appartenance politique) :
- Commission spéciale sur les Réponses aux catastrophes (Kaneshige Wakamatsu, Kōmeitō).
- Commission spéciale sur les Questions relatives à Okinawa et aux Territoires du Nord (Motoyuki Fujii, PLD).
- Commission spéciale sur le Système électoral et la Mise en place d'une éthique politique (Yoshifu Arita, PDP).
- Commission spéciale sur le Problème des Enlèvements de citoyens japonais par la Corée du Nord (Eriko Yamatani, PLD).
- Commission spéciale sur le Soutien à l'évolution de l'administration (Tetsurō Nomura, PLD).
- Commission spéciale sur les Affaires des consommateurs (Midori Ishii, PLD).
- Commission spéciale sur la Reconstruction après le grand séisme du Tōhoku (Mitsuru Sakurai, PDP).
Comités de recherche |
Comités créés eux-aussi de manière temporaire pour réfléchir aux réformes et aux solutions à apporter à certains problèmes de société. Il y en a trois au 13 février 2017 (entre parenthèses sont mentionnés les présidents de ces commissions et leur appartenance politique) :
- Comité de recherche sur la Diplomatie et l'Économie mondiale (Yoshitada Kōnoike, PLD).
- Comité de recherche sur l'Économie et la Vie du peuple japonais (Ryūhei Kawada, apparenté PDP).
- Comité de recherche sur les Ressources naturelles et l'Énergie (Genjirō Kaneko, PLD).
Comité d'enquête sur la constitution |
Un Comité d'enquête est régulièrement créé pour réfléchir à une éventuelle réforme de la Constitution du Japon. Elle est présidée par Takuji Yanagimoto (PLD).
Comité d'enquête pour le contrôle du renseignement |
La Chambre des conseillers est également dotée d'un comité d'enquête pour le contrôle du renseignement, dont le président est Hirofumi Nakasone (PLD).
Comité d'enquête sur l'éthique politique |
La Chambre des conseillers est enfin dotée d'un comité d'enquête sur l'éthique politique, dont le président est Hiromi Yoshida (PLD).
Installations |
Salle des séances |
Les conseillers siègent dans l'ancienne salle des séances de la chambre des pairs, au premier étage de l'aile nord (ou droite) du Bâtiment de la Diète au 1-7-1 Nagata-chō, Chiyoda-ku, Tōkyō-to.
Surplombé d'un plafond de verre ornant le toit du palais, cette salle consiste en un hémicycle de 458 sièges, à quoi s'ajoutent, au sommet de la tribune qui leur fait face, le siège du président de la chambre avec à ses côtés celui du secrétaire général, ainsi que, de part et d'autre, 58 autres sièges réservés aux membres du Cabinet et au personnel administratif de l'assemblée. Les 460 sièges alloués aux élus sont donc largement supérieurs au nombre effectif de conseillers (qui occupent ainsi un peu plus de la 1/2 des places disponibles) mais nettement inférieurs aux 722 parlementaires de la Diète qui se réunissent au moins deux fois par an (lors des cérémonies d'ouverture et de clôture de la session ordinaire du Parlement, respectivement en janvier et octobre, à quoi s'ajoutent éventuellement celles des sessions extraordinaires et les discours réalisés devant eux par des chefs d'État étrangers) dans cette salle. À ces occasions, 262 parlementaires restent donc debout sur les côtés et dans les allées qui séparent les travées.
Enfin, elle est la seule salle parlementaire à disposer, en dessous d'un dais placé à l'arrière de la tribune parlementaire et généralement dissimulé par un rideau, d'un trône duquel l'empereur du Japon assiste aux cérémonies d'ouverture et de clôture des sessions parlementaires[23].
Salles des commissions et bureau présidentiel |
Il existe 6 salles de réunion des commissions de la Chambre des conseillers au 2e et dernier étage de l'aile nord du Bâtiment de la Diète. Les autres salles réservées aux commissions sont situées dans un bâtiment annexe, voisin du Bâtiment dans la prolongation de l'aile nord.
Le bureau du président, adossé à une salle de réception réservée à ce dernier lorsqu'il rencontre des personnalités et notamment les chefs d'État étrangers, ainsi que le bureau du vice-président sont quant à eux situés directement derrière la salle des séances, au 1er étage.
Bureaux des Conseillers |
Chaque élu de la Chambre dispose d'un bureau situé dans un bâtiment spécialement réservé à cet effet, situé à côté des deux bâtiments de bureau des membres de la Chambre des représentants, derrière le Bâtiment de la Diète, en face de son aile nord. Son adresse exacte est le 2-1-1 Nagata-chō, Chiyoda-ku, Tōkyō-to. Il est relié au Bâtiment de la Diète par des passages souterrains passant en dessous de la route séparant la rangée des bâtiments de bureaux des parlementaires et le Bâtiment.
Résidence officielle du président de la Chambre des conseillers |
Le président de la Chambre des conseillers dispose d'une résidence officielle appartenant à l'État, voisine de celle du président de la Chambre des représentants au nord-ouest du Bâtiment de la Diète et au bord de la route 246. Son adresse officielle est le 2-18-2 Nagata-chō, Chiyoda-ku, Tōkyō-to.
Bâtiment des bureaux des Conseillers
Résidence officielle du président de la Chambre des conseillers
Références |
(ja) Composition des groupes politiques, sur le site de la Chambre des conseillers japonaise
arrondi aux centièmes
Officiellement 126, le président de la chambre siégeant traditionnellement comme non inscrit.
Officiellement 121, le président de la chambre siégeant traditionnellement comme non inscrit.
Dissidents en 2014 de l'Association pour la restauration du Japon (ARJ), ce parti portait le nom de Parti pour les générations futures jusqu'en décembre 2015.
Élue en 2007 comme membre du PLD, rejoint en 2010 le Parti de l'aube du Japon (PAJ), a participé à la création du Parti de l'aube (PDA) en 2012 qui s'est fondu peu de temps après dans l'ARJ, elle est l'une des fondatrices en 2014 du Parti des générations futures et en devient la nouvelle dirigeante en octobre 2015.
3 anciens élus du Parti de tous qui restent désormais sans étiquette partisane.
Élu en 2013 sous l'étiquette du Parti de tous, avant de rejoindre en novembre 2014 le Parti pour les générations futures devenu en décembre 2015 le Parti pour le cœur japonais, qu'il quitte en novembre 2016 pour rejoindre le groupe du PLD sans adhérer à ce parti.
Élu en 2013 sous l'étiquette du Parti de tous, avant de rejoindre en novembre 2014 le « Club indépendant » et finalement le groupe PLD, mais pas le parti, en mars 2016.
Élu en 2013 sous l'étiquette du Parti de tous, avant de rejoindre en novembre 2014 l'Assemblée pour dynamiser le Japon et finalement le groupe PLD, mais pas le parti, en décembre 2015.
Officiellement 50, le vice-président de la chambre siégeant traditionnellement comme non inscrit.
Officiellement 48, le vice-président de la chambre siégeant traditionnellement comme non inscrit.
Élue en 2007 avec le Parti démocrate du Japon avant de participer à la création de Vent vert en juillet 2012, elle n'est pas réélue en 2013 mais retrouve son siège en tant qu'indépendante en 2016, elle décide de s'inscrire au groupe du PDP.
Élu en 2007 comme indépendant avec le soutien du groupe écologiste Arc-en-Ciel et Verts, puis fondateur en 2008 du parti Les Verts, avant de rejoindre en 2009 le Parti de tous sous les couleurs duquel il se fait réélire en 2013, de participer à la création en décembre 2013 du Parti de l'unité et en septembre 2014 du Parti de la restauration. Lorsque ce dernier mouvement se dissout en mars 2016, il rejoint le groupe du PDP sans adhérer au parti.
Formé en octobre 2015 sous le nom d'« Initiatives pour Osaka » par des dissidents du Parti de la restauration du Japon pour la plupart issus d'une précédente Association pour la restauration du Japon (ARJ), avant de changer son nom en août 2016.
Élu en 2010 avec l'étiquette du Parti de l'aube, a participé à la création de la première Association pour la restauration du Japon en 2012 qui s'est fondu en 2014 dans le Parti de la restauration avant d'être recréée, d'abord avec un autre nom, en 2015.
Issu en 2016 de la réunion en un groupe commun des élus du Parti libéral, nouveau nom de l'ancien Parti de la vie du peuple (PVP) d'Ichirō Ozawa et de Tarō Yamamoto, et du Parti social-démocrate (PSD).
4 anciens élus du Parti de tous qui se sont regroupés après la dissolution de leur parti le 28 novembre 2014, sans fonder de parti politique et restant donc sans étiquette. Ils sont rejoints en juillet 2016 par l'ancien élu de l'ARJ puis du PGF Antonio Inoki, par l'ancienne démocrate puis fondatrice de Vent vert avant de rejoindre le Parti de tous Kuniko Koda, et par l'ancien député démocrate et ancien gouverneur de la préfecture de Kanagawa s'étant fait élire en 2013 conseiller pour le Parti de tous avant de rejoindre le PGF Shigefumi Matsuzawa. Trois membres fondateurs du groupe l'ont depuis quitté : Ken'ichi Mizuno pour le groupe du PDJ puis pour le PDP en décembre 2015 ; Kenji Nakanishi pour le PLD en février 2016 ; Michitarō Watanabe pour le groupe PLD tout en restant sans étiquette personnellement en août 2016.
2 élus voulant le déménagement de la base américaine de Futenma en dehors de la préfecture d'Okinawa.
Ancien maire de Ginowan, la ville où se trouve actuellement la base américaine de Futenma.
4 anciens élus du Parti de tous qui se sont regroupés après la dissolution de leur parti le 28 novembre 2014, ils sont rejoints en janvier 2015 par l'ancien élu de l'ARJ puis du PGF Antonio Inoki, ils sont réduits à 2 conseillers à partir de 2016, avant qu'Antonio Inoki rejoigne le groupe du « Club indépendant ».
Officiellement 3, en comptant le président, vice-président ainsi que l'élu de l'Assemblée pour dynamiser le Japon, qui siègent comme non-inscrits.
[PDF](en) Présentation en image des salles allouées à la Chambre des conseillers
Voir aussi |
Articles connexes |
- Diète du Japon
- Japon
- Politique du Japon
Liens externes |
(ja) Site officiel en japonais.
(en) Site officiel en anglais.
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