Bezons

























































































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Bezons
Le nouvel hôtel de ville
inauguré en 2015

Blason de Bezons
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Île-de-France

Département

Val-d'Oise

Arrondissement

Argenteuil

Canton

Argenteuil-3

Intercommunalité

Communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine

Maire
Mandat
Dominique Lesparre (PCF)
2014-2020

Code postal
95870

Code commune
95063
Démographie

Gentilé
Bezonnais

Population
municipale
28 976 hab. (2016 en augmentation de 2,28 % par rapport à 2011)
Densité 6 965 hab./km2
Géographie

Coordonnées

48° 56′ 00″ nord, 2° 13′ 00″ est

Altitude
41 m
Min. 22 m
Max. 52 m

Superficie
4,16 km2
Localisation


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Bezons





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Bezons





Liens

Site web

ville-bezons.fr


Bezons est une commune du département du Val-d'Oise, en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Bezonnais. Cette commune est située sur la rive droite de la Seine.


Bezons a la particularité d'être limitrophe de deux départements : les Hauts-de-Seine et les Yvelines.
C'est la 312e ville la plus peuplée de France[1].


Selon le schéma régional de coopération intercommunale, Bezons doit intégrer une communauté d'agglomération du département des Yvelines, tout en restant dans le département du Val d'Oise, au 1er janvier 2016[2]. Elle intègre finalement la communauté d'agglomération Saint-Germain Boucles de Seine.





Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Situation


    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Géologie et relief


    • 1.4 Hydrographie


    • 1.5 Climat


    • 1.6 Voies de communication et transports


      • 1.6.1 Voies routières


      • 1.6.2 Pistes cyclables


      • 1.6.3 Transports en commun


        • 1.6.3.1 Le tramway (depuis 2012)








  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Morphologie urbaine


    • 2.2 Logement




  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


    • 4.1 Du Haut Moyen Âge à la Renaissance


    • 4.2 XVIIe siècle


    • 4.3 XVIIIe siècle


    • 4.4 Sous le Premier Empire


    • 4.5 XIXe siècle : la naissance d'une ville industrielle


    • 4.6 La première moitié du XXe siècle


    • 4.7 Aujourd'hui : un territoire en mutation




  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Rattachements administratifs et électoraux


    • 5.2 Intercommunalité


    • 5.3 Tendances politiques et résultats


    • 5.4 Liste des maires


    • 5.5 Politique de développement durable


    • 5.6 Jumelages


    • 5.7 Ville fleurie




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


    • 6.2 Enseignement


      • 6.2.1 Lycées


      • 6.2.2 Collèges


      • 6.2.3 Élémentaires et Maternelles




    • 6.3 Équipements culturels


    • 6.4 Sports


    • 6.5 Santé


    • 6.6 Manifestations culturelles et festivités


    • 6.7 Cultes




  • 7 Économie


    • 7.1 Revenus de la population et fiscalité


    • 7.2 Emploi


    • 7.3 Entreprises et commerces




  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


    • 8.2 Les espaces verts[50]


    • 8.3 Bezons et la littérature


    • 8.4 Bezons au cinéma et à la télévision


    • 8.5 Personnalités liées à la commune


    • 8.6 Héraldique, devise et logotype




  • 9 Pour approfondir


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |




Bezons en Île-de-France.



Situation |


Bezons se situe sur la rive droite de la Seine, à dix kilomètres au Nord-Ouest des portes de Paris. La commune est la plus méridionale des communes du département du Val-d'Oise.


Située aux limites de trois départements, Val-d'Oise, Hauts-de-Seine et Yvelines, Bezons se trouve à proximité des pôles de La Défense (à 3,5 km) et de Cergy-Pontoise.


Comme toute la région Île-de-France, Bezons fait partie du Bassin parisien.



Communes limitrophes |


Le territoire communal est limitrophe d'une seule commune du Val-d'Oise, Argenteuil et de deux autres départements :



  • à l'ouest, les Yvelines et les communes de Sartrouville, Houilles et Carrières-sur-Seine,

  • au sud en rive gauche de la Seine, les Hauts-de-Seine avec les communes de Colombes et de Nanterre, accessibles par le pont de Bezons.






















Communes limitrophes de Bezons[3]

               Sartrouville (78)


Argenteuil

Houilles (78)
Bezons

Carrières-sur-Seine (78)

Nanterre (92)

Colombes (92)



Géologie et relief |




Hydrographie |




Bezons, panorama de la Seine.


Le territoire communal est longé sur toute sa longueur méridionale par la Seine, qui constitue également sa limite communale avec Colombes et Nanterre. La ville n'est traversée par aucun autre cours d'eau notable[4]. Le bras de Marly, de la Seine, prend naissance sur le territoire de Bezons[5].


Bezons est alimentée en eau par la station de traitement de Méry-sur-Oise, gérée par la société Veolia Environnement. L'eau potable est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l'usine de distribution[6]. L'eau distribuée est d'origine fluviale, provenant de la filtration des eaux de l'Oise[7],[8].



Climat |


Bezons comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. La localisation de la commune au sein de l'agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d'un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d'Île-de-France. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour par temps calme et anticyclonique, et la situation a tendance à s'accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +°C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 40, dont 8 au-delà de 30 °C. Dans le sud du Val-d'Oise, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d'ensoleillement est de 1 719 heures[9].





































































Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Températures maximales moyennes (°C)
6
7
13
15
19
21
24
24
21
15
9
7
14,8
Températures minimales moyennes (°C)
1
1
3
6
9
12
14
14
11
8
4
2
7,1
Températures moyennes (°C)
4
4
7
10
14
17
19
19
16
12
7
5
11,2

Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[10]


Voies de communication et transports |



Voies routières |


Bezons est traversée par un tronçon de la RD 392 depuis le pont de Bezons jusqu'au carrefour du Val-Notre-Dame.
Un réseau de voies communales forme un maillage de la ville.


Bezons bénéficie d’une desserte routière importante et de la proximité des autoroutes A15, A86 et A14.



Pistes cyclables |




Transports en commun |



Le tramway (depuis 2012) |



Un tramway à son terminus de Bezons.


Les travaux du prolongement de la ligne de tramway T2, de La Défense vers le pont de Bezons, ont démarré en 2008. Le démontage de l'autopont a été effectué en novembre 2008[11].


Mis en service le 19 novembre 2012, le T2 met la ville à douze minutes de la Gare de la Défense, et de ses correspondances avec le métro 1, la RER A, la ligne SNCF vers Gare de Versailles-Rive-Droite, Gare de Saint-Nom-la-Bretèche, Versailles-Chantiers et La Verrière (Saint-Quentin-en-Yvelines). Le tramway a pour terminus la station Porte de Versailles au sud de Paris, qu'il atteint après avoir traversé la majeure partie du département des Hauts-de-Seine.


À La Garenne-Colombes (station Charlebourg), le tramway est en correspondance avec la ligne L du Transilien pour aller à Saint-Lazare (métros 3, 9, 12, 13, 14 et RER E) dans le 8e arrondissement de Paris ou à Cergy-le Haut.



Urbanisme |



Morphologie urbaine |


Bezons est composée de quartiers aux caractères bien distincts :




  • Le Centre, vieux Bezons


  • Le Quartier de l'Agriculture, à l'est anciens champs urbanisés


  • Les bords de Seine au sud de la ville


  • Le quartier Chênes-Val-Notre-Dame à l'ouest sur le plateau


  • La Zone Industrielle Ouest vers Carrières-sur-Seine


  • La Zone Industrielle Est vers Argenteuil.



Logement |


Les logements sociaux sont très présents au sein de la commune de Bezons. L'Office Public Intercommunal d'Argenteuil-Bezons gère environ 2 000 logements sur les 42 % qui appartiennent à des organismes sociaux.



Toponymie |


Bisunciae, Bezons XVe siècle, Bezunz[12].


Sous les Mérovingiens, on battait monnaie à Bezons, et peut-être son nom en dérive-t-il[13]. [pas clair]



Histoire |




Le maréchal de Bezons (1646-1733).



Du Haut Moyen Âge à la Renaissance |


En 1470, Bezons compte douze maisons[14] habitées par des paysans, comme en témoigne la consécration en 1507 de l'église dédiée à saint Fiacre, saint protecteur des jardiniers.


En 1580, Marie Chanterel, dame de Bezons, épouse Claude Bazin, un médecin champenois. Le couple, est à l'origine de la famille Bazin de Bezons anoblie par la régente Marie de Médicis en 1611.



XVIIe siècle |


Sous Louis XIV, Bezons était la propriété de la famille Bazin, les personnages les plus célèbres de cette famille furent l'académicien Claude Bazin de Bezons (1643) et son fils Jacques Bazin de Bezons, maréchal de France en 1709 qui prit part aux dernières campagnes de Louis XIV. Son frère, Armand Bazin de Bezons, archevêque de Rouen, fit partie du conseil de régence, et autorisa l'ordination de l'abbé Dubois.


La ville avait une foire très réputée au XVIIe siècle, qui a d'ailleurs inspiré deux pièces de théâtre au cours de la seule année 1695 : La foire de Bezons, par Dancourt[15], qui fut jouée devant Louis XIV, et Retour de la foire de Bezons, d'Évariste Gherardi, créé par les comédiens italiens du roi à l'Hôtel de Bourgogne.
Même si elle est moins réputée à présent, la foire de Bezons a toujours lieu, tous les ans en septembre.



XVIIIe siècle |


En 1740, une inondation détruit la quasi-totalité du village. Puis, en 1791, ont lieu les premières élections municipales.


Durant la Révolution française, Bezons, village de 468 habitants, ne fut pas très touchée.



Sous le Premier Empire |


Napoléon inaugura le premier pont de Bezons en 1811.


Outre ce « joli pont de pierre » que Bezons possédait, il y avait un pont de bois qui fut brûlé le 28 juin 1815 par les troupes françaises pour empêcher l'ennemi d'approcher de la capitale.



XIXe siècle : la naissance d'une ville industrielle |




L'ancien dépôt de tramways du Grand Cerf à Bezons, au début du XXe siècle.


Bezons attire les artistes : Guy de Maupassant y séjourne souvent dans un hôtel des bords de Seine et mentionne fréquemment le village dans ses écrits ; Daubigny[Lequel ?] y peint.


L’urbanisation de Bezons commence avec son industrialisation sur les bords de Seine : d'abord à l'Est à la limite d'Argenteuil avec Rattier, une première usine de fabrication de caoutchouc en 1863 devenue en 1877 la Société Industrielle des Téléphones. Un chantier naval de 200 à 300 ouvriers, une usine de moteurs, les ascenseurs Otis-Pifre, les Câbles de Lyon. À l'ouest de la ville, La Bakélite, La Cellophane, Le Joint français, Rhône-Poulenc, la Viscose en 1914.


Entre 1871 et 1891, la population s’accroît de 60 %. Bezons connaît alors la construction d’une école et d’une mairie, l’installation du gaz ainsi que d’un bureau de postes et de télégraphes. Bezons devient une ville.



La première moitié du XXe siècle |




Vue du monument aux morts de la guerre 1914-1918 dans l'ancien cimetière rue de La Paix.




Bezons, sortie de l'usine des Câbles télégraphiques.


En 1919, Bezons élit une municipalité socialiste, composée aux trois quarts d’ouvriers, qui refuse l’édification d’un monument aux morts. Il est finalement édifié selon des initiatives privées au cimetière. Au congrès de Tours, Bezons rejoint l’Internationale communiste et la ville devient municipalité communiste. Elle l'est restée depuis. En 1930, la ville accueillit ainsi la première Fête de l'Humanité au square Sacco et Vanzetti. Aux élections de 1935, elle publie une brochure bilan de son activité, préfacée par Marcel Cachin sous le titre de Salut, Bezons la Rouge.


Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville, ardemment anti-fasciste, supporte mal l’occupation allemande. Très vite, au lendemain de la défaite, elle connaît la répression, mais aussi la lutte contre l’occupant : ce sont distributions de tracts, prises de parole au cinéma, sabotages, etc.


Le député de la circonscription Gabriel Péri est arrêté et fusillé au Mont Valérien. Dix résistants bezonnais sont exécutés de 1940 à 1944. Parmi eux, Louis Champion qui avait combattu dans les Brigades internationales en Espagne.





Gabriel Péri, député fusillé en 1941.


En 1944, beaucoup de jeunes, dans les rangs des FFI, combattent l’armée d'occupation dans les localités voisines, quelques-uns s’enrôlent pour la durée de la guerre dans l’armée.


L’épuration menée dans l’administration par l’occupant nazi amène également son lot de personnalités rendues tristement célèbres par leurs exactions : le nouveau médecin du dispensaire, le docteur Destouches, plus connu sous son nom de plume de Louis-Ferdinand Céline, « assure le régime de Vichy de sa fidélité au nom de la lutte antijuive », des habitants seront même déportés parce que juif à Bezons arrêtés par la police française. (des jeunes filles à l'école Louise Michel notamment).


La libération, le 25 août 1944, est vécue dans un immense enthousiasme[16].



Aujourd'hui : un territoire en mutation |


La mise en circulation du tramway T2 le 19 novembre 2012 a créé un effet de stimulation de l'immobilier à proximité du terminus actuel, en particulier l'immobilier de bureaux. Un centre d'affaires « Les Rives de Seine » a été construit à l'est à proximité du pont de Bezons, en bordure de la Seine.


La mise en œuvre d'une zone d'aménagement concertée à partir de 2018 permettra de doter la commune d'un réel centre-ville, avec la création de 130 000 m2 répartis en 60 % de logements, 30 % de commerces et 10 % d’équipements publics[17],[18].



Politique et administration |




Vue du nouvel hôtel de ville de Bezons.



Rattachements administratifs et électoraux |


Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement d'Argenteuil, après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968.


La commune faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Argenteuil, année où celui-ci est scindé et Bezons rattaché au canton d'Argenteuil-Sud.constituait historiquement le canton de Bezons. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est devient en 1967 le chef-lieu du canton de Bezons. En 1976, elle intègre le canton d'Argenteuil-Bezons, puis redevient en 1985 le chef-lieu du canton de Bezons[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton d'Argenteuil-3.


La commune fait partie de la juridiction d’instance de Sannois, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[21],[22].



Intercommunalité |


La commune avait créé en 2006 avec Argenteuil la communauté d'agglomération Argenteuil-Bezons. À la suite notamment d'un désaccord entre les communes lors de l'élection du président de l'intercommunalité à la suite des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, qui ont vu le basculement politique d'Argenteuil, son nouveau maire, Georges Mothron a annoncé en 2014 sa volonté de quitter la communauté d'agglomération[23],[24]. De ce fait, Argenteuil a adhéré à la métropole du Grand Paris et à l'établissement public territorial Boucle Nord de Seine[25], entrainant la dissolution de la communauté d'agglomération Argenteuil-Bezons le 1er janvier 2016.


La commune, ne pouvant légalement demeurer isolée, a été rattachée à la communauté d'agglomération Saint-Germain Boucles de Seine le 1er janvier 2016[26], conformément au schéma régional de coopération intercommunale approuvé par le préfet de la région d'Île-de-France le 4 mars 2015[27].



Tendances politiques et résultats |


Bezons est une municipalité communiste depuis 1920, époque de création du PCF[28].


Depuis l'élection municipale du 18 mars 2001, le maire de Bezons est Dominique Lesparre (PCF). Il a également remporté celles de 2008[29] et de 2014. L'équipe actuelle est composée également de Républicains, socialistes, verts et écologistes.


Article détaillé : Élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise.


Liste des maires |




Louis Péronnet et son épouse, 1934, colonie de la Luzière.










































































































































































































Liste des maires successifs[30],[31]
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1791
1807
Jean Baptiste Jacques Robineau
 
Premier maire de Bezons
1807
1808
Henry Chevallier
 
 
1808
1811
Gabriel Thomas Lemoine de Nanteuil
 
 
1811
1821
Jean Marie Vital Ramey
 

Comte de Sugny
1821
1824
Henry Chevallier
 
 
1824
1831

M. Fouquet
 
 
1831
1834

M. Bodin
 
 
1834
1843

M. Borde
 
 
1843
1849
Achille Nicolas Lemaire
 
 
1849
1850
Honoré Marie Dappe
 
 
1850
1865
Pierre François Borde
 
 
1865
1870
Thomas Nicolas Catherine
 
 
1870
1878
Auguste Antoine Forest
 
 
1878
1882
Henri Foulard
 
 
1882
1889
Édouard Napoléon Sainte
 
 
1889
1901
Auguste Antoine Forest
 
 
1901
1915
Ambroise Octave Delille
 
 
1915
1919
Georges Lavinay
 
 
1919
1921
Henri Luziau[Note 1]

PCF
Première municipalité ouvrière
1922
1926
Eugène Branchard

PCF
 
1926
1940
Louis Peronnet

PCF
 
1940
1944
 
 

Délégation spéciale nommée par le gouvernement de Vichy
août 1944
1945
Henri Barrau

PCF
Reprise de la mairie avec le Comité de Libération
1945
1961
Louis Péronnet

PCF
 
1961
1979
Albert Bettencourt

PCF

Conseiller général de Bezons (1964 → 1976)
1979
mars 2001
Jacques Leser

PCF

Conseiller général de Bezons (1982 → 2001)
mars 2001
en cours
(au 19 janvier 2016)
Dominique Lesparre

PCF

Conseiller général de Bezons (2008 → 2015)
Vice-président de la CA SGBS (2016[26] → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[32],[33]



Politique de développement durable |


La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2007[34].



Jumelages |


La ville de Bezons est jumelée avec[35] :




  • Drapeau de la Hongrie Szekszárd (Hongrie) depuis 1967 ;


  •  Downpatrick (Irlande du Nord) depuis 1984 ;


  • Drapeau de la Palestine Bani Zeid (Palestine)[36],[37].


Depuis février 2002, le conseil municipal a décidé de renforcer les liens d'amitié et de solidarité avec la ville de Drapeau du Nicaragua Chaguitillo (Nicaragua).



Ville fleurie |


En 2018, la commune a reçu sa première fleur au label « Villes et villages fleuris ».[réf. nécessaire]



Population et société |



Démographie |


Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 2].



En 2016, la commune comptait 28 976 habitants[Note 3], en augmentation de 2,28 % par rapport à 2011 (Val-d'Oise : +3,52 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
468 459 482 554 584 608 643 667 629



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
626 834 1 237 1 350 1 580 1 863 2 001 2 406 2 766



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 521 3 616 4 980 7 735 10 715 14 310 13 964 12 684 16 993



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
22 061 24 475 25 193 24 019 25 680 26 263 27 652 28 330 28 976

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[39].)



Histogramme de l'évolution démographique




En 2008, la population de Bezons est estimée à 28 023 habitants, ce qui en fait la 312e commune de France la plus peuplée.
Elle est ainsi l'une des villes les plus habitées du Val-d'Oise[40].



Enseignement |


L'enseignement à Bezons n'est que public.



Lycées |


Il existe actuellement[Quand ?] deux lycées à Bezons.



  • Le lycée Eugène-Ronceray : il propose les trois séries générales du baccalauréat (L, ES, S), ainsi que deux baccalauréats professionnels (EDPI[C'est-à-dire ?] et MEI[C'est-à-dire ?]).

  • Le lycée professionnel du Grand-Cerf : il offre les formations professionnelles suivantes : des CAP ECMS[C'est-à-dire ?] et EVSB[C'est-à-dire ?] et des baccalauréats professionnels de gestion-administration, de vente, de commerce, et de ARCU[C'est-à-dire ?].



Collèges |




Bezons, groupe scolaire Gabriel-Péri (1958), bâtiment des primaires, filles à droite et garçons à gauche.


Deux collèges existent actuellement[Quand ?] à Bezons gérés par le département :



  • Le collège Henri-Wallon.

  • Le collège Gabriel- Péri (inauguré le 14 septembre 1958 comme école primaire de filles et de garçons).



Élémentaires et Maternelles |


La ville est dotée en 2018 de 8 écoles maternelles, de 8 écoles élémentaires et d'une école primaire[41].


Les écoles maternelles : Gabriel-Péri, Jacques-Prévert, Paul-Langevin, Karl-Marx, Louise-Michel, Paul-Vaillant-Couturier, Marcel-Cachin, Victor-Hugo.


Les écoles élémentaires : Paul-Langevin, Karl-Marx, Louise-Michel 1, Louise-Michel 2, Marie-Claude et Paul Vaillant-Couturier, Marcel-Cachin, Victor-Hugo 1, Victor-Hugo 2


L'école primaire : Angela-Davis



Équipements culturels |


Le théâtre Paul-Éluard (TPE) rénové, a rouvert en 1995. Équipement culturel phare de la ville, c’est également la première scène, en Île-de-France, à avoir obtenu le conventionnement danse[C'est-à-dire ?], en 1995[réf. nécessaire]. En plus d'être un théâtre, le TPE possède également une salle de cinéma « Les écrans Éluard ».


L'École de musique et de danse propose divers cours[réf. nécessaire] : de la danse contemporaine et classique, éveil pluridisciplinaire dès 3 ans, apprentissage musical et des cours de chorale.


La médiathèque Guy-de-Maupassant[42] a été rénovée en 2013. Elle possède une collection variée de livres, documentaires, DVD, CD, partitions, un espace informatique ouvert à tous, ainsi qu'une ludothèque et une artothèque.



Sports |


  • Bezons dispose en 2018 de deux complexes sportifs[43] : la Maison des Sports inaugurée en 2017, avec tribunes et un terrain de foot synthétique, des salles de boxe, taekwondo, karaté, judo, 5 terrains de tennis, et le complexe sportif Jean-Moulin avec une piscine couverte, un gymnase, des courts de tennis couverts, et un terrain de football en stabilisé.


Santé |


Bezons dispose en 2018 d'un centre municipal de santé[44].


Les deux cliniques de Bezons sont[Quand ?] :



  • Polyclinique du Plateau : toutes spécialités, chirurgie de la main et dialyse ;

  • Clinique Newco : maison de convalescence et suites opératoires.



Manifestations culturelles et festivités |


Tous les deux ans, Bezons propose une exposition gratuite d'art contemporain « REV'Arts ». Ceci dans le but de « démocratiser la culture à Bezons »[réf. nécessaire].



Cultes |




Vue de l'église Saint-Martin.


L'église catholique Saint-Martin, construite en 1937-1938, située rue Édouard-Vaillant, 16 chemin de la Pelouse[45], en face de l'arrêt d'autobus Grâce de Dieu, est l'église paroissiale de Bezons, dépendant du doyenné d'Argenteuil. Elle remplace une église du XVIe siècle qui était sur les bords de Seine et qui a été fermée dans les années 1930, puis démolie en 1965 pour insalubrité. L'église actuelle Saint-Martin a eu son intérieur rénové en 2011 par des bénévoles, et est desservie par les Fils de la charité.


Il existe aussi un petit oratoire, dit chapelle du Val-Notre-Dame, avec une petite tour octogonale[46], rue de La Berthie, rue Alphonse-Cornaille, inscrit aux monuments historiques en 1984.


La communauté musulmane ne dispose plus d'aucun lieu de culte depuis la fermeture[Quand ?] de l'unique mosquée située auparavant rue Édouard Vaillant[réf. nécessaire].



Économie |



Revenus de la population et fiscalité |



En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 712 , ce qui plaçait Bezons au 16 392e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[47].



Emploi |



Le taux de chômage, en 2014, pour la commune s'élève à 16 %, un chiffre nettement supérieur à la moyenne nationale (10,4 %)[48].



Entreprises et commerces |


La commune est au cœur d'un bassin d'activités performant comptant de nombreuses entreprises industrielles et de services de qualité[réf. nécessaire] : Le Joint Français, Rhône-Poulenc Bidim, Groupe Alès, SFR, Eratome, Darty, Hispano-Suiza, Activision, Atos, Atos WorldGrid, EMC[49].



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |




Buste de la République (1905), détruit sous l'Occupation.


Le 30 juillet 1905, le député de Seine-et-Oise, Maurice Berteaux (1852-1911), inaugure le buste de la République. Cette statue est enlevée par l'armée allemande sous l'Occupation aux fins de récupération de métal.


Dans l'entrée de la mairie, un panneau commémoratif des morts à la guerre est l'un des seuls de France à posséder l'inscription « Guerre à la guerre et haine à la haine ».



Les espaces verts[50] |




Panorama de Bezons côté maisons avec, au fond, les tours du Val-d'Argenteuil et la butte de Cormeilles.



  • Le parc Bettencourt, rue Francis-de-Pressensé et rue des Barentins (dans le cadre de la ZAC cœur de ville le parc sera réaménagé)

  • Le parc Sacco-et-Vanzetti, rue de la Berthie et rue Prudence

  • Le square de la République, avenue Gabriel-Péri

  • Le square Cécile-Duparc, angle des rues Cécile-Duparc et Rouget-de-l'Isle  

  • Le square de la Grenouillère, place des Impressionnistes

  • Le chemin de Halage (berges de la Seine), rue de la Pâture et rue des Carrossiers  

  • Le parc Nelson Mandela, rue Jean-Carasso

  • Le square Camille-Desmoulin, rue Camillle-Desmoulin

  • Le square Julian-Grimau, rue Claude-Bernard

  • Le mail et square Marcel-Langlois, rue Émile-Zola et rue Jean Carasso

  • Le square du Colombier, rue Jean-Jaurès (près du tram)



Bezons et la littérature |


La ville connaît un certain renom littéraire : Guy de Maupassant, qui a régulièrement séjourné dans un hôtel en bords de Seine aujourd'hui disparu, a situé à Bezons l'action de sa nouvelle Une partie de campagne.

La médiathèque de Bezons, qui porte d'ailleurs son nom, dispose de 60 000 livres et de 5 000 disques à louer[51].


Le séjour de Louis-Ferdinand Céline à Bezons, de 1940 à 1944, a mis l'écrivain en contact avec le bibliothécaire de la ville, Albert Sérouille. Ce dernier obtient de l'écrivain une préface pour son livre, Bezons à travers les âges (1944). Cette préface commence par la phrase célèbre : « Pauvre banlieue parisienne, paillasson devant la ville où chacun s'essuie les pieds, crache un bon coup, passe, qui songe à elle ? Personne ».


La présence de Bezons dans la littérature est mise en évidence dans le livre de Daniel Renard, Ils ont chanté Bezons (2012)[52].



Bezons au cinéma et à la télévision |


Article détaillé : Liste de films tournés à Bezons.


Personnalités liées à la commune |




Maison de Gabrielle d'Estrées.




  • Les Bazin, seigneurs de Bezons.


  • Henri IV (1553-1610) : la légende raconte que le Roi venait y passer ses fins de semaines avec ses nombreuses maîtresses. Une résidence porte d'ailleurs le nom du Vert Galant. Il existait une demeure appelée la « maison de Gabrielle d'Estrées » parce que la maîtresse d'Henri IV y aurait trouvé refuge.


  • Jean-Marie-Vital Ramey de Sugny (1753-1821), général des armées de la République, est décédé au château de Bezons.


  • Simon Bernard (1779-1839) : y a vécu.


  • Claude Bernard (1813-1878) : y a vécu. Une rue porte son nom.


  • Charles-François Daubigny (1817-1878) : y a peint. Une rue porte son nom.


  • Guy de Maupassant (1850-1893) : séjourna régulièrement dans une auberge située en bords de Seine. Il cite souvent Bezons dans ses récits. La médiathèque de Bezons porte d'ailleurs son nom.


  • Louis-Ferdinand Céline (1894-1961) : y a été engagé comme médecin.


  • Antoine Bonifaci (1931) : footballeur international français y est né.


  • Henri Vacquin (1939) : y a passé son enfance et son adolescence.

  • Michel Touret (1941) : journaliste ancien présentateur de la météo sur France 3.




Guy de Maupassant.




  • Gilles Châtelet (1944-1999) : philosophe y est né.


  • Ann'so (1970) : auteur-compositrice-interprète et actrice née à Bezons.


  • Karole Rocher (1974) : actrice.


  • Nadia Dauty : chanteuse.



Héraldique, devise et logotype |







Armes de Bezons


Les armes de Bezons se blasonnent ainsi :


De gueules à la roue d'engrenage d'or enfermant une fontaine fascée ondée d'argent et d'azur de six pièces, ladite roue tenue par deux dextrochères et un senestrochère nus d'argent posés en pairle mouvant de la pointe et des angles supérieurs de l'écu ; au chef cousu d'azur chargé de trois couronnes ducales d'or





La commune a pour devise « La ville pour tous ».


Elle est inscrite sur le logo de Bezons réalisé en 2004.



Pour approfondir |



Bibliographie |


[réf. incomplète]



Albert Serouille, Bezons à travers les âges, 1944.jpg



  • Albert Serouille (bibliothécaire de la ville de Bezons), Bezons à travers les âges, préface de Louis-Ferdinand Céline, éd. Denoël, Paris, 1944[53].

  • Gérard Arthus, Jean-Pierre Barlier, Émile Breton, Pierre Petremann, Daniel Renard, Bezons, du village à la ville, éd. du Valhermeil, 1994[54].

  • Daniel Renard, Bezons et la guerre 1914-1918, éd. du Valhermeil, 1999.

  • Daniel Renard, Bezons, mémoire en images, éd. Alan Sutton, 2001.

  • Daniel Renard, Ils ont chanté Bezons. Bezons et ses écrivains, éd. Le Temps des Cerises, 2012.

  • Daniel Alliot et Daniel Renard, Céline à Bezons, 1940-1944, éd. du Rocher, 2008.



Articles connexes |


  • Liste des communes du Val-d'Oise


Liens externes |


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  • Site de la mairie


Notes et références |



Notes |





  1. L'orthographe est bien "Luziau" et non "Luzau" ni "Luzeau".


  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
    des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
    que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
    communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
    pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
    par l’Insee pour l'ensemble des communes.



  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.




Références |





  1. http://www.capretraite.fr/annuaire-maison-de-retraite/maison-de-retraite-les-parenteles-de-bezons_ville-3574-m.html


  2. Le Parisien : Argenteuil-Bezons, le casse-tête de la dissolution d'une agglomération


  3. Bezons sur Géoportail, consulté le 30 mars 2018.


  4. SANDRE - Fleuve : la Seine


  5. SANDRE - Bras de Marly


  6. Site de la DDASS95


  7. Voir l'Atlas de l'eau en Val-d'Oise


  8. SEDIF - Méry-sur-Oise


  9. Météo France - Climatologie


  10. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 20 kilomètres à l'est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.


  11. Le Parisien du 8 novembre 2008


  12. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.


  13. Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti


  14. ville-bezons.fr


  15. « La Foire de Besons », sur théâtre-classique.fr


  16. Source : Site officiel de la ville


  17. Laurence Boccara, « Bezons reconfigure son centre-ville », Le Monde,‎ 27 juin 2015(lire en ligne).


  18. « Altarea Cogedim et Imestia créent un nouveau centre-ville à Bezons », Le journal du Grand Paris,‎ 20 mai 2015(lire en ligne).


  19. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.


  20. a et bDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  21. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise


  22. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise


  23. Daniel Chollet, « Vers quelle agglo Argenteuil va-t-elle se tourner ? : Écarté du poste de président, bien qu'élu maire de la plus importante commune de cette agglomération, Georges Mothron se dit prêt à quitter et donc à dissoudre la Caab », La gazette du Val-d'Oise,‎ 18 avril 2014(lire en ligne).


  24. Alain Auffray, « Le retour par l’agglo des virés par les urnes », Libération,‎ 11 avril 2014(lire en ligne).


  25. Anne-Sophie Damecour, « Sept villes s’unissent sans passion dans la Boucle nord de Seine », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,‎ 12 janvier 2016(lire en ligne).


  26. a et b« Bezons : Lesparre devient vice-président de la nouvelle agglo », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 19 janvier 2016(lire en ligne).


  27. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur http://www.marneetgondoire.fr (consulté le 14 janvier 2016).


  28. Cahier spécial du journal Le Monde, édition du 11 mars 2008


  29. « Elections municipales - Ile-de-France Val-d'Oise », Le Monde,‎ 10 mars 2008(lire en ligne)« Le Parti communiste conserve ses positions dans le Val d'Oise. Bezons, communiste depuis les années 1920, reste aux mains de Dominique Lesparre réélu au premier tour »


  30. http://www.ville-bezons.fr/content/heading3738222/content1757293.html


  31. "Les maires de Bezons", Michel Renard.


  32. lgodart, « Dominique Lesparre réélu », La gazette du Val-d'Oise,‎ 24 mars 2014(lire en ligne).


  33. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, 29 avril 2014(consulté le 13 septembre 2015).


  34. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Bezons, consultée le 27 octobre 2017


  35. Comité de jumelage et relations internationales


  36. Leon, Eli. Paris suburb honors Palestinian assassin of Israeli minister. Israel Hayom. 2013-03-11.


  37. French town honours Israeli minister 'killer'. Al Jazeera English. 2013-03-11.


  38. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee


  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  40. Voir Liste des communes du Val-d'Oise.


  41. « Scolarité des 3-11 ans », sur www.ville-bezons.fr (consulté le 21 juin 2018)


  42. La médiathèque Guy-de-Maupassant


  43. « Équipements sportifs », sur www.ville-bezons.fr (consulté le 21 juin 2018)


  44. « CMS Maurice et Liliane Bourstyn », sur www.ville-bezons.fr (consulté le 21 juin 2018)


  45. Patrimoine religieux


  46. Oratoire du Val-Notre-Dame


  47. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le 14 septembre 2017)


  48. « Comparateur de territoires−Commune de Bezons (95063) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le 14 septembre 2017)


  49. http://france.emc.com/contact-us/contact-us.esp


  50. « Les parcs, les promenades et les jardins », sur www.ville-bezons.fr (consulté le 21 juin 2018)


  51. http://www.ville-bezons.fr/heading/heading3598342.html


  52. Éd. Le Temps des cerises, 2012.


  53. Extrait de la préface de Céline : "Pauvre banlieue parisienne, paillasson devant la ville où chacun s'essuie les pieds..."


  54. "Daniel Renard, Bezons, du village à la ville", Libération, 9 janvier 1995.





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