Sambucus nigra







Sambucus nigra



Description de cette image, également commentée ci-après


Sambucus nigra en pleine floraison





































Classification APG III (2009)
Règne
Plantae
Sous-règne
Tracheobionta
Division
Magnoliophyta
Classe
Magnoliopsida
Sous-classe
Asteridae
Ordre
Dipsacales
Famille
Adoxacées
Genre
Sambucus

Nom binominal



Sambucus nigra
L., 1753


Le Grand Sureau ou Sureau noir (Sambucus nigra L., 1753) est une espèce d'arbustes caducifoliés à croissance rapide. Il est présent en Europe, en Asie de l'Ouest et en Afrique du Nord, excepté les régions montagneuses[évasif].




Sommaire






  • 1 Dénominations


  • 2 Description


    • 2.1 Risque de confusion


    • 2.2 Sous-espèces


    • 2.3 Cultivars




  • 3 Distribution


  • 4 Historique


  • 5 Usages médicinaux


  • 6 Autres usages


    • 6.1 Cuisine


    • 6.2 Jardinage


    • 6.3 Traditions populaires




  • 7 Toxicité


  • 8 Parasites


  • 9 Calendrier


  • 10 Notes et références


  • 11 Voir aussi


    • 11.1 Articles connexes


    • 11.2 Liens externes







Dénominations |


Le nom vernaculaire du sureau provient de l'ancien français seu, puis seür par influence de « sur », acide, sur le latin sabucus ou sambucus, désignant en latin le sureau noir, Sambucus nigra. Ce nom latin provient probablement du grec σαμβύκη, sambukê qui désignait chez les Grecs une flûte ou une harpe, les tiges creuses du sureau permettant de faire de la musique[1].


L'espèce est aussi appelée « arbre de Judas » car c’est à la branche d’un sureau noir que se serait pendu Judas Iscariote[réf. nécessaire] (d'autres sources parlent d'« arbre de Judée » qui est une espèce différente).



Description |


Cet arbuste, à branches souvent courbées, d'une taille ordinairement de 4 à 5 mètres, peut monter jusqu'à 8 mètres [2]. Il est de croissance rapide, surtout dans les sols fertiles et frais. Il rejette de souche. Il est rustique. C'est une essence de lumière ou de demi-ombre. On le trouve sur un sol basique à neutre[réf. nécessaire].


Son bois est assez lourd et dense (0,59-0,69), très homogène. Son écorce est vert-gris et fissurée.


Ses feuilles caduques, opposées et imparipennées sont composées de 5 à 7 folioles, à l'extrémité pointue et bord denté, un peu plus velues sur les nervures[3]. Les feuilles, parmi les premières à sortir au printemps, sont recherchées par de nombreux insectes, notamment les papillons nocturnes (Sphinx du troène, Eupithécie à trois points, Phalène du Sureau) dont les chenilles se nourrissent parfois exclusivement. Sa foliaison printanière est à l'origine de dictons du 6 mars : « À la Sainte-Colette, on voit à vue d'œil au sureau pousser la feuille » ou « À la Sainte Colette, le sureau s’effeuillette »[4]. Les feuilles ont une odeur déplaisante lorsqu'on les froisse.


Les fleurs hermaphrodites apparaissent en début d'été. Elles sont parfumées et comportent 5 étamines et 5 pétales de couleur blanc crème. Elles sont disposées en corymbes plans, de 100 à 240 mm de diamètre et apparaissent après les feuilles[2].


Les fruits sont de petites baies noires violacées à chair molle de 6-8 mm disposés en grappes, comportant trois graines.


Le sureau noir se multiplie facilement par semis (si les graines subissent une stratification) et par bouturage (à l'automne en utilisant une tige de 20 cm de l'année ayant commencé à se transformer en bois et comprenant une partie de la branche de l'année précédente).





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Risque de confusion |






Contrairement au sureau noir, le Sureau hièble (Sambucus ebulus) porte des fruits qui peuvent être toxiques.




Le sureau noir peut être confondu avec le Sureau hièble (Sambucus ebulus) dont les baies peuvent être toxiques. Ce sont en effet deux plantes des campagnes européennes qui se ressemblent fortement.
Le sureau hièble se différencie du sureau noir par le fait que :



  • Le sureau hièble est une vivace herbacée qui disparaît en hiver, le sureau noir est un arbuste ligneux.

  • la floraison de l'hièble est plus tardive, de juillet à août, alors que le sureau noir fleurit en mai-juin.

  • le sureau hièble tourne ses fruits vers le haut alors que le sureau noir les tourne vers le sol.

  • le sureau hièble ne dépasse pas 1,80 m de hauteur.

  • L'odeur de l'hièble est plus forte, généralement perçue comme écœurante, et ses fruits sont immangeables même en confiture, ce qui diminue beaucoup sa dangerosité[5].



Sous-espèces |


Article connexe : Sambucus.

Il existe plusieurs autres espèces proches, originaires d'Asie et d'Amérique du Nord, similaires et parfois traitées comme sous-espèces de Sambucus nigra. Le sureau bleu ou sureau mexicain, Sambucus mexicana, est maintenant généralement reconnu comme une ou deux sous-espèces de Sambucus nigra subsp. canadensis[6] et Sambucus nigra subsp. caerulea[7].


Sous-espèces et variétés selon Tropicos (16 mars 2017)[8] (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :



  • sous-espèce Sambucus nigra subsp. canadensis (L.) Bolli

  • sous-espèce Sambucus nigra subsp. cerulea (Raf.) Bolli

  • sous-espèce Sambucus nigra subsp. maderensis (Lowe) Bolli

  • sous-espèce Sambucus nigra subsp. nigra

  • sous-espèce Sambucus nigra subsp. palmensis (Link) Bolli

  • sous-espèce Sambucus nigra subsp. peruviana (Kunth) Bolli

  • variété Sambucus nigra var. canadensis (L.) B.L. Turner

  • variété Sambucus nigra var. cerulea (Raf.) B.L. Turner

  • variété Sambucus nigra var. laciniata L.

  • variété Sambucus nigra var. nigra



Cultivars |


Certains cultivars ont des feuilles varigates ou colorées et autres qualités distinctives, et sont cultivés comme plantes d'ornement.


Les cultivars suivants ont gagné le prix de la Royal Horticultural Society :




  • S. nigra 'Aurea'[9]


  • S. nigra 'Laciniata'[10]


  • S. nigra f. porphyrophylla 'Gerda' (syn. 'Black Beauty')[11]



Distribution |





Sureau poussant en épiphyte sur un sycomore


Le sureau noir est un arbuste très répandu. On le rencontre dans les bois clairs, les haies, les terrains vagues, les dunes littorales ou encore aux abords des habitations. Il est souvent planté[2],[12]. C'est un familier de l'homme depuis des millénaires. Il prospère notamment dans les friches, les décombres ou les remblais.


S. nigra est très courant en Irlande dans les haies et sous-bois[13],[14].



Historique |






Sambucus nigra, planche botanique de 1897


Le nom latin Sambucus fait allusion aux flûtes (cambuse) que les pâtres grecs taillaient dans le bois tendre du sureau dont les rameaux sont creux.[réf. nécessaire] Un médecin grec du IIe siècle de notre ère, Galien, recommandait le sureau contre les catarrhes et les excès de mucus. Au siècle précédent, Pline l'Ancien lui attribuait déjà ces propriétés.


Le sureau noir a été une plante médicinale populaire dès l'Antiquité. Il est intégré à la pharmacopée de la médecine ayurvédique (Inde) et faisait aussi partie de l'arsenal thérapeutique des Amérindiens d'Amérique du Nord qui attribuaient les mêmes propriétés au sureau blanc (Sambucus canadensis) dont la composition est semblable à celle de son cousin européen.


Dans la tradition celtique, le sureau (« ruis ») est l’arbre associé à la mort[15]. Les druides confectionnaient avec son bois les flûtes leur servant à converser avec les âmes des disparus ou protéger des sortilèges.[réf. nécessaire]




Usages médicinaux |




Pot pharmaceutique en porcelaine de Chantilly imitant le style Kakiémon destiné à contenir du rob de sureau, vers 1725-1751 (Musée national de Céramique, Sèvres).






Sambuci flos : Les fleurs séchées du grand sureau sont utilisées dans la préparation de tisanes


Les feuilles fraîches sont très riches en acide cyanhydrique (concernant sambucus ebulus, dont les baies sont toxiques), elles peuvent être utilisées en cataplasmes.


Les fleurs contiennent des anthocyanes, des flavonoïdes, du mucilage, des tanins et une petite quantité d'huile essentielle très aromatique. Les fruits contiennent les mêmes flavonoïdes, des vitamines A, B et C[16].


En 1986, la Commission E, un organisme gouvernemental allemand, approuvait l'usage médicinal des fleurs de sureau pour le traitement du rhume. En 1999, l'organisation mondiale de la santé a reconnu les usages traditionnels des fleurs de sureau comme diaphorétique (qui provoque la sudation) et expectorant[17].


Publiés en 1995, les résultats d'un essai clinique à double insu avec placebo mené dans un kibboutz israélien au cours d'une épidémie de grippe ont démontré qu'un extrait de baies de sureau était nettement supérieur au placebo pour le soulagement des symptômes de la grippe. Au bout de deux jours, 93,3 % des sujets traités au sureau voyaient déjà un soulagement significatif de leurs symptômes, tandis qu'il a fallu attendre six jours pour que 91,7 % des personnes du groupe placebo montrent une amélioration similaire[17].


Les résultats d'une étude de pharmacovigilance datant de 2002 et ayant porté sur 762 femmes enceintes qui avaient pris durant leur grossesse une préparation renfermant, entre autres plantes, des fleurs de sureau n'ont pas révélé d'effet tératogène ou embryotoxique[17].


Les fleurs du Sambucus nigra sont utilisées en tisane comme diaphorétique en cas de refroidissement ou de grippe. Les études de Caroline M, Camille N., Justine T. et Charline N. vont dans ce sens et ajoutent aux fleurs des propriétés antioxydantes aux fleurs, grâce à la présence de monomères d'anthocyane [18].




Autres usages |



Cuisine |





Tartine de confiture de sureau



La limonade de fleurs de sureau est une boisson très appréciée. Le sirop aussi[19].
Les fleurs se cuisent en beignets.


Les boutons conservés dans le vinaigre peuvent accommoder des salades.


Les baies crues sont légèrement toxiques (vomitives, laxatives). Cuites, elles parfument les gâteaux aux pommes et sont consommées en jus, en gelée et en confiture.


On en fait aussi du vin[20].


Les fruits sont utilisés comme colorant naturel, notamment pour les boissons et aliments.



Jardinage |






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Au jardin, les feuilles de sureau accélèrent la décomposition du compost. Le purin de feuilles de sureau noir est également utile en jardinage biologique pour combattre mildiou et pucerons. Ce purin aurait également le pouvoir de repousser les rongeurs (souris, mulots et campagnols). Pour ce faire, il suffit de laisser macérer 1 kg de feuilles pendant quelques jours, dans 10 L d’eau, et de le pulvériser dans son jardin.


Il serait conseillé de planter le sureau en sous-étage du moyen bois. Il donne un excellent compost favorisant les lombrics. On peut aussi le conseiller dans les vergers où il attire les oiseaux qui favorisent l'élimination des insectes.



Traditions populaires |


Dans les montagnes des Pyrénées-Orientales et de Catalogne, différentes croyances sont liées au sureau noir. Utilisé dans les bouquets de la fête de la Saint-Jean, il pouvait aussi être cloué sur les portes des maisons pour se prémunir contre le mauvais sort. Le brûler pouvait par contre tarir le lait des vaches ou même le lait maternel. S'endormir sous un sureau noir vous exposait à des rêves érotiques. Enfin, on pouvait faire un collier de neuf bourgeons que l'on mettait autour du cou des bébés afin de faciliter leur dentition, à la condition que ceux-ci aient été cueillis le jour de la Fête-Dieu, au moment où sonnaient les cloches annonçant le départ de la procession, à raison d'un bourgeon cueilli par tintement de cloche[21].



Toxicité |


Ses fleurs et ses baies cuites sont comestibles, mais toutes les autres parties de la plante contiennent de l'oxalate de calcium et sont donc toxiques. Le fruit non mature contient également un alcaloïde toxique. Les baies crues consommées en forte quantité peuvent provoquer nausées et vomissements chez l'Homme[22]. On doit interdire aux enfants de manger les baies. La cuisson détruit la toxine.


Le sureau noir contient de la sambunigrine et de la vicianine, deux glycosides cyanogénétiques. L'acide cyanhydrique est libéré par des enzymes végétales dans l'organisme des animaux, après l'ingestion[23].



Parasites |


Le champignon appelé « Oreille de Judas » est souvent trouvé sur le sureau noir.


Le puceron noir du sureau, Aphis sambuci, spécifique du sureau, n'ira pas sur d'autres arbres. Il effectue tout son cycle sur le sureau, hivernant sur les racines, sous forme d’œuf d’hiver. Au printemps, les adultes forment des manchons noirs sur les jeunes pousses. Ils sont souvent accompagnés de fourmis qui viennent profiter de leur miellat, leur assurant une protection en retour. Les adultes accumulent la sambunigrine contenue dans les stades jeunes des tiges, des feuilles et des fleurs, et qui les protègent naturellement de certains prédateurs comme la coccinelle à sept points – mais pas de tous : ainsi la coccinelle à deux points, Coccinella bipunctata, est indifférente à cette toxine[24].


Le bétail et les lapins délaissent l'arbre mais le blaireau européen semble l'apprécier. Le sureau noir est également un régal pour plus de 60 espèces d'oiseaux.



Calendrier |


Dans le calendrier républicain français, le 17e jour du mois de Prairial, est officiellement dénommé jour du Sureau[25].



Notes et références |




  1. François Couplan, Les plantes et leurs noms : Histoires insolite, Éditions Quae, 2012(lire en ligne), p. 119


  2. a b et cNouvelle flore de la Belgique, du G.-D. de Luxembourg, du Nord de la France et des régions voisines, Édition du Patrimoine du Jardin botanique national de Belgique, Deuxième édition, 1978


  3. Jacques Brosse, LAROUSSE DES ARBRES, paris, larousse, 2010, 590 p. (ISBN 978-2-03-582595-7), p. 443


  4. Gabrielle Cosson, Almanach des dictons météorologiques, Éditions Larousse, Paris, 2003.


  5. Bertrand, Annie-Jeanne, 1955- ..., Saveurs de sureau, Éd. de Terran, 2004(ISBN 2913288413 et 9782913288416, OCLC 470390731, lire en ligne)


  6. « Sambucus mexicana », Calflora (consulté le 16 juillet 2012).


  7. « Sambucus nigra ssp. caerulea », Calflora (consulté le 16 juillet 2012).


  8. Tropicos, consulté le 16 mars 2017


  9. « RHS Plant Selector Sambucus nigra 'Aurea' AGM / RHS Gardening », Apps.rhs.org.uk (consulté le 16 juillet 2012)


  10. « RHS Plant Selector Sambucus nigra f. laciniata AGM / RHS Gardening », Apps.rhs.org.uk (consulté le 16 juillet 2012)


  11. « RHS Plant Selector Sambucus nigra f. porphyrophylla 'Gerda' PBR AGM / RHS Gardening », Apps.rhs.org.uk (consulté le 16 juillet 2012)


  12. Arbres, Poches Nature, Bob Press, 2004.


  13. Hackney, P. 1992. Stewarts and Corry's Flora of the North-east of Ireland. Institute of Irish Studies The Queen's University of Belfast. (ISBN 0 85389 446 9)(HB).


  14. Webb, D.A., Parnell, J. et Doogue, D. 1996. Dundalgan Press Ltd, Dundalk. (ISBN 0-85221-131-7).


  15. Marc Questin, La tradition magique des Celtes : une voie occidentale de l'éveil, Fernand Lanore, 1994, p. 208 (ISBN 9782851571144)


  16. Plantes médicinales, Gründ, non daté.


  17. a b et cPasseportSanté.net


  18. Ana-Maria Oancea, Cristina Onofrei, Mihaela Turturică et Gabriela Bahrim, « The kinetics of thermal degradation of polyphenolic compounds from elderberry ( Sambucus nigra L.) extract », Food Science and Technology International = Ciencia Y Tecnologia De Los Alimentos Internacional,‎ 1er janvier 2018, p. 1082013218756139 (ISSN 1532-1738, PMID 29409346, DOI 10.1177/1082013218756139, lire en ligne)


  19. https://dianascook.blogspot.fr/2014/04/sirop-de-fleurs-de-sureau.html


  20. Plantes comestibles, Nature Poche, Gründ, 1991.


  21. Joan Tocabens, Herbes magiques et petites formules : Sorcellerie en Roussillon et autres Pays Catalans, Perpignan, Ultima Necat, 2012, 141 p. (ISBN 978-2-36771-002-0)


  22. Cooper and Johnson 1984


  23. Tewe and Iyayi 1989


  24. Insectes du sureau


  25. Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française, p. 27.



Voir aussi |



Articles connexes |


  • Sureau

À ne pas confondre avec :




  • Sureau hièble ou Yèble (Sambucus ebulus L.)


  • Sureau à grappes (Sambucus racemosa L.)



Liens externes |


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Bases taxinomiques :



  • (fr) Référence Tela Botanica (France métro) : Sambucus nigra

  • (en) Référence Fonds documentaire ARKive : Sambucus nigra (consulté le 16 mars 2017)

  • (fr) Référence Belles fleurs de France : Sambucus nigra (consulté le 16 mars 2017)

  • (en) Référence BioLib : Sambucus nigra L. (consulté le 16 mars 2017)

  • (en) Référence Catalogue of Life : Sambucus nigra L. (consulté le 16 mars 2017)

  • (en) Référence Flora of Pakistan : Sambucus nigra (consulté le 16 mars 2017)

  • (en) Référence GRIN : espèce Sambucus nigra L. (consulté le 16 mars 2017)

  • (fr+en) Référence ITIS : Sambucus nigra L. (+ version anglaise ) (consulté le 16 mars 2017)

  • (en) Référence NCBI : Sambucus nigra (consulté le 16 mars 2017)

  • (en) Référence The Plant List : Sambucus nigra L.  (Source: KewGarden WCSP) (consulté le 16 mars 2017)

  • (en) Référence Tropicos : Sambucus nigra L. (+ liste sous-taxons) (consulté le 16 mars 2017)


Autres liens externes :



  • Posologie en cas de rhume et inflammation des voies respiratoires

  • Différentes variétés de sureau





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