Évian-les-Bains





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Évian-les-Bains
Vue d'Évian-les-Bains.

Blason de Évian-les-Bains
Blason


Évian-les-Bains
Logo

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Auvergne-Rhône-Alpes

Département

Haute-Savoie

Arrondissement

Thonon-les-Bains

Canton

Évian-les-Bains

Intercommunalité

Communauté de communes Pays d'Évian Vallée d'Abondance

Maire
Mandat
Josiane Lei
2018-

Code postal
74500

Code commune
74119
Démographie

Gentilé
Évianais

Population
municipale
8 968 hab. (2015 en augmentation de 10,14 % par rapport à 2010)
Densité 2 086 hab./km2
Géographie

Coordonnées

46° 23′ 00″ nord, 6° 35′ 00″ est

Altitude
Min. 372 m
Max. 772 m

Superficie
4,3 km2
Localisation


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Évian-les-Bains





Liens

Site web

ville-evian.fr


Évian-les-Bains, simplement appelée Évian, est une commune française de Haute-Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes, chef-lieu du canton d'Évian-les-Bains et ville centre de la communauté de communes Pays d'Évian Vallée d'Abondance, située sur les bords du lac Léman. Évian est surtout connue comme ville thermale et son eau minérale Évian, exploitée par la Société anonyme des eaux minérales d’Évian, filiale du groupe Danone.





Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Géologie et relief


    • 1.3 Hydrographie


    • 1.4 Climat


    • 1.5 Voies de communication et transports


      • 1.5.1 Transport par voie routière


      • 1.5.2 Voies navigables


      • 1.5.3 Pistes cyclables


      • 1.5.4 Transport ferroviaire


      • 1.5.5 Transports aériens






  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Morphologie urbaine


    • 2.2 Logement


    • 2.3 Projets d'aménagements




  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


    • 4.1 Antiquité


    • 4.2 Moyen Âge


    • 4.3 Temps modernes


    • 4.4 Révolution française et Empire


    • 4.5 Époque contemporaine


      • 4.5.1 Entre-deux-guerres


      • 4.5.2 Seconde Guerre mondiale


      • 4.5.3 Évian après la Seconde Guerre mondiale






  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Tendances politiques et résultats


    • 5.2 Administration municipale


    • 5.3 Liste des maires


    • 5.4 Instances judiciaires et administratives


    • 5.5 Politique environnementale


    • 5.6 Jumelages




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


      • 6.1.1 Évolution démographique


      • 6.1.2 Pyramide des âges




    • 6.2 Enseignement


    • 6.3 Manifestations culturelles et festivités


    • 6.4 Santé


    • 6.5 Sports et loisirs


    • 6.6 Médias


      • 6.6.1 Radios et télévisions


      • 6.6.2 Presse et magazines






  • 7 Économie


    • 7.1 Revenus de la population et fiscalité


    • 7.2 Emploi


    • 7.3 Entreprises de l'agglomération


    • 7.4 Commerce


    • 7.5 Tourisme




  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


    • 8.2 Patrimoine naturel


      • 8.2.1 Espaces verts


      • 8.2.2 Promenades




    • 8.3 Livres et films


    • 8.4 Personnalités liées à la commune


    • 8.5 Héraldique




  • 9 Voir aussi


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Localisation |


La ville d’Évian-les-Bains se situe sur les bords du lac Léman, au nord-nord-est de Genève. Les communes limitrophes d’Évian-les-Bains sont Neuvecelle, Larringes et Publier.



Géologie et relief |


La superficie de la commune est de 429 hectares ; son altitude varie de 372 à 772 mètres[1].



Hydrographie |




Climat |


Le climat y est de type montagnard} en raison de la présence du massif alpin.[réf. nécessaire]




















































Ville Ensoleillement Pluie Neige Orage Brouillard
Paris 1 797 h/an 642 mm/an 15 j/an 19 j/an 13 j/an
Nice 2 694 h/an 767 mm/an 1 j/an 31 j/an 1 j/an
Strasbourg 1 637 h/an 610 mm/an 30 j/an 29 j/an 65 j/an
Évian-les-Bains ... h/an ... mm/an ... j/an ... j/an ... j/an
Moyenne nationale 1 973 h/an 770 mm/an 14 j/an 22 j/an 40 j/an


Voici un aperçu dans le tableau ci-dessous pour l’année 2007.





















































Mois
J
F
M
A
M
J
J
A
S
O
N
D
Année

Températures (sous abri, normales) °C
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...

Précipitations (hauteur moyenne en mm)

...

...

...

...

...

...

...

...

...

...

...

...

...
Source : Météo France et Météociel[2]



Voies de communication et transports |




Le port d'Évian-les-Bains.



Transport par voie routière |


La route départementale 1005 est un ancien tronçon de la route nationale 5, déclassé le 1er janvier 2007.


Les bus urbains thononais (BUT) desservent Évian, Thonon et sept autres communes à l'aide d'une dizaine de lignes régulières.


Le réseau départemental LIHSA dessert régulièrement Evian-Thonon ou Evian-Genève.


Les navettes Evian-Thollon-les-Mémises et Evian-Bernex fonctionnent toute l'année. L'hiver : tous les jours pendant les vacances scolaires et les mercredis, samedis et dimanches hors vacances scolaires. L'été : tous les jours en juillet-août et les samedis et dimanches en juin-septembre.


Station de taxis au port de commerce.



Voies navigables |


Le port d’Évian, sur le lac Léman, accueille notamment :



  • les navires de la Compagnie générale de navigation sur le lac Léman (CGN, compagnie suisse ayant l'exclusivité de l'exploitation), qui font la liaison avec Thonon-les-Bains ou Lausanne ;


  • La Savoie[3], une des cinq barques de Meillerie naviguant aujourd’hui, longue de 35 m et à deux mâts.



Pistes cyclables |




Transport ferroviaire |


La gare SNCF est une gare ferroviaire française de la Ligne Longeray-Léaz au Bouveret entre la gare ouverte de Thonon-les-bains et la gare fermée des Bains d'Évian. C'est une gare terminus desservie quotidiennement par des TER Rhône-Alpes en provenance de Bellegarde, de Lyon-Part-Dieu, de Lyon-Perrache, ou de Valence-Ville (les vendredis soir avec retour en direction de Grenoble le dimanche soir pour les étudiants de l'académie de Grenoble) et par des TGV le vendredi, le samedi et le dimanche qui effectuent les liaisons : Paris-Gare-de-Lyon - Bourg-en-Bresse - Bellegarde - Annemasse - Thonon-les-bains - Évian-les-bains. Par le passé, la gare accueillait les intercités de nuit qui effectuaient les liaisons : Évian-les-bains; - Dijon-Ville - Paris-austerlitz et Évian-les-bains - Nice-Ville.


La ligne du Tonkin, qui circulait entre les communes suisses de Saint-Maurice et Genève via la France, n’est plus en service depuis 1998 sur le tronçon français entre Évian-les-Bains et le village-frontière de Saint-Gingolph. Un projet de réouverture est en cours.


Évian a une ligne de funiculaire surnommée le petit métro éviannais, il est le seul funiculaire en France à avoir six stations.



Transports aériens |




  • Aéroport international de Genève-Cointrin en Suisse.

  • Héliport de l’hôtel Evian Resort.



Urbanisme |



Morphologie urbaine |


La commune d'Évian-les-Bains comprend plusieurs villages et petits hameaux, entouré de communes de l'agglomération de Thonon.



Logement |


Le nombre total de logements dans la commune est de 4 814[4]. Parmi ces logements, 67,5 % sont des résidences principales, 22,5 % sont des résidences secondaires et 10 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour une part de 22,1 % des maisons individuelles, 74,7 % sont des appartements et enfin seulement 3,2 % sont des logements d'un autre type. Le nombre d'habitants propriétaires de leur logement est de 38 %[4]. Ce qui est inférieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. Le nombre de locataires est de 56,4 % sur l'ensemble des logements qui est supérieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[4]. On peut noter également que 5,5 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage est de 4,9 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 6 % sont des studios, 20,5 % sont des logements de deux pièces, 29,4 % en ont trois, 25,6 % des logements disposent de quatre pièces, et 18,4 % des logements ont cinq pièces ou plus[4].



Projets d'aménagements |




Toponymie |


Le nom d'Évian-les-Bains est composé du toponyme Évian  et du déterminant complémentaire -les-Bains, qui fait référence à une ville station thermale. Le nom de la commune devient officiellement Évian-les-Bains par décret du 28 janvier 1865[5].


La première mention de la paroisse remonte à 1150 sous la forme latinisée Aquianum[6]. Vingt ans plus tard, un document donne Eviano[6]. Vers 1344, on trouve la forme Aquiano dans Cura de Aquiano[6]. Ensuite, la forme Evian reste en usage jusqu'en 1865[6].


Selon les toponymistes, Évian remonte à une forme bas latine *Aquianu, c'est-à-dire aqua « eau » + suffixe -ianu(m)[7] ou franco-provençal Evi-an (< *Eve-an), cas régime de eve « eau »[6] et désignant un « lieu où il y a de l'eau »[8]. Aqua a régulièrement donné le mot eau en français par l'intermédiaire des formes eve, ewe en ancien français[9] et eve en franco-provençal. En toponymie, il se superpose à son homonyme celtique (gaulois) ava, eva ou eve[6], en fait *aba (cf. vieil irlandais ab, aub, génitif abae « rivière »; il s'agit sans doute du radical indo-européen *ab-, *ap- de genre animé désignant « les eaux »). Tandis qu’évier est issu d'*AQUARIU (*aquarium pour aquarius)[10].


En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Évyan (graphie de Conflans) ou Èvian / L’Èvian (ORB)[11].



Histoire |



Antiquité |


Située sur le trajet de pèlerinages en direction de l'abbaye territoriale de Saint-Maurice d'Agaune, Évian aurait été tout d'abord une halte, notamment grâce à son port. Elle fut une des cités de l'ancien duché de Savoie et de la province du Chablais. Elle fut notamment une des résidences des ducs de Savoie.


Un historien, M. de Valois, mentionne des sources selon lesquelles la cité d'Épaone, rendue célèbre en 517, aurait été la même qu'Évian. Il indique dans son ouvrage que lorsque Sigismond accède au trône après s’être converti au catholicisme, les évêques se réunissent en concile d'Épaone, sur les bords du lac Léman, en Chablais, là où se trouve aujourd’hui Évian[12].



Moyen Âge |


En 1265, le comte Pierre II de Savoie concède à la cité une charte de franchises : concedimus hominibus de Aquiano, qui modo, sunt in dicta villa et pro tempore erunt, libertates et franchesias infrascriptas[13]. L'acte de 1265 mentionne un marché qui était déjà établi dans la ville et crée à l'occasion une foire[13]. En 1279, son successeur et frère Philippe Ier complète la charte en accordant le « droit d'élire quatre prud'hommes »[13]. En 1285, leur neveu, le comte Amédée V, donne des bois auxquels ils associent des droits d'exploitation, puis trois ans plus tard des droits relatifs au commerce de la pêche[13].


De 1536 à 1569, la ville, chef-lieu du bailliage d'Evian, est sous domination valaisanne. Elle est rendue à la Savoie par le traité de Thonon.


La ville va se développer entre le XIe et le XIVe siècle avant de rentrer en sommeil et de connaître un nouvel âge d'or aux XIXe et XXe siècles, grâce au développement du thermalisme.



Temps modernes |




Révolution française et Empire |


Les quelques sources qui font surface à Évian sont encore très peu connues à l'époque de la Révolution française. Analysée en 1807 et en 1808, l'eau d'Évian démontre des qualités pour le traitement des voies urinaires. L'accès à Évian est facilité par la création de son port, puis le passage de la route nationale 5 qui relie Paris à Milan (1809).



Époque contemporaine |


Un Genevois, M. Fauconnet, fonde la Société des eaux minérales d'Évian en 1823. Il acquiert les deux sources dont la plus connue, la source dénommée Cachat, du nom de la famille qui les cède, le 16 mars 1827. La société de M. Fauconnet, après avoir fait faillite, est reprise en 1859 et l'on construit l'Hôtel des Bains. Viennent s'ajouter plusieurs autres établissements, l'hôtel des Quatre Saisons, l'hôtel de France, l'hôtel des Alpes, etc. Le cadre offert par la proximité du lac permet diverses attractions (promenades en canots, balades, etc.).


La Société anonyme des Eaux minérales de Cachat, créée le 9 décembre 1859 par des investisseurs parisiens, assure la vente de l'eau d'Évian. Dès l'année suivante la société Cachat inaugure l'Hôtel des Bains, le premier établissement de luxe d'Évian, renommé le Grand Hôtel des Bains.


Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 1], dont 280 dans le village[16],[17]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et 23 avril 1860 où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[18].


Le 28 janvier 1865, la petite ville des bords du lac Léman (2 200 habitants) affiche sa nouvelle vocation en devenant Évian-les-Bains. Plusieurs sources suivent la principale, la source Cachat, et offrent leurs services : Guillot, Bonnevie, Corporau. Les expériences et l'utilisation de l'eau permettent de confirmer ses propriétés et de préciser les modes d'administration. En même temps que la Troisième République s'installe, les voies de communication, route et voie ferrée, permettent le développement du tourisme et l'accès à la station thermale.


Agrandi entre 1897 et 1898 d'un étage, d'une aile et de trois coupoles, par l'architecte Ernest Brunnarius, le Grand Hôtel des Bains est renommé le Splendide Hôtel, et propose désormais 200 chambres accessibles par ascenseur. Un tramway le dessert depuis la gare ferroviaire pendant 10 ans jusqu'à l'ouverture du funiculaire. Le Splendide est l'un des 20 hôtels construits pour permettre d'accroître la capacité d'accueil de la ville.




L'hôtel Royal vu du lac.


L'architecte Hébrard dessine pour la société des Eaux minérales un des plus remarquables hôtels de l'époque, l'hôtel Royal ouvert en (1907). De nombreuses villas sont également construites et bordent le lac. Un théâtre et le casino (dessiné également par Hébrard) occupent les curistes et les écrivains de l'époque (Anna de Noailles, Frédéric Mistral, Marcel Proust). La ville gagne du terrain en aménageant un quai sur le lac. L'établissement thermal, enfin, est construit à proximité de la résidence des frères Lumière (1902), laquelle fut transformée en Hôtel de ville.




Entre-deux-guerres |


Une population touristique internationale fréquente Évian entre les deux guerres. De nombreuses têtes couronnées, des écrivains et personnes mondaines sont aperçues dans la ville (l’Aga Khan III, le maharadjah de Kapurthala, le président français Albert Lebrun…). Le Tour de France cycliste y fait également halte à plusieurs reprises, le premier départ en province de la Grande Boucle est donné à Évian (1926).


En juillet 1938, se tient une conférence initiée par le président américain Franklin Roosevelt pour traiter de la question de l'afflux de réfugiés, principalement juifs, fuyant le régime nazi en Allemagne et en Autriche récemment annexée. La conférence d'Évian réunit une trentaine de délégations internationales à l'hôtel Royal.



Seconde Guerre mondiale |


Le Splendide Hôtel est transformé en hôpital militaire par les Allemands.



Évian après la Seconde Guerre mondiale |


Après la guerre, l'activité hôtelière redevient florissante jusqu'en 1950, mais la Seconde Guerre mondiale a démodé le thermalisme et détourné de nombreux touristes vers d'autres destinations. Les hôtels sont transformés en résidences, la fréquentation baisse et la renommée s'estompe.


Le 18 mars 1962, les accords d'Évian, après des négociations dans ce lieu, ont été signés entre les représentants du Front de libération nationale algérien[19] et ceux du gouvernement français[20], préparant l'indépendance de l'Algérie. Cet événement permet à la station d'exister à nouveau, sous l'impulsion de Camille Blanc, maire de l'époque ; il est assassiné dans la nuit du 30 au 31 mars 1961, attentat attribué à l'OAS[21] qui faisait pression pour que les négociations entre les deux parties ne se déroulent pas à Évian.


Fin 1975, le Splendide Hôtel ferme définitivement ses portes après dix années de déficits. Squatté, le bâtiment dépérit et la Société des Eaux finit par le faire démolir en 1983. A sa place est aménagé un parc.


Évian-les-Bains a accueilli le sommet du G8, du 1er au 3 juin 2003.


Le 8 février 2007, le ministre du Tourisme, Léon Bertrand, inaugure la partie congrès du palais Lumière.



Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 en Haute-Savoie.



Administration municipale |




Liste des maires |











































































































































































































Liste des maires successifs[22]
Période
Identité
Étiquette
Qualité

Les données manquantes sont à compléter.
1793
 
Philippe de Blonay
 
Baron[22]
1811
 
Joseph Bugniet
 
 [22]
1814
 
Louis François de Blonay
 
Baron[22]
1860
1869
Gaspard Folliet
 
 
1869
1879
Louis Joseph Ennemond de Blonay
 
Baron
1879
1881
Edouard Andrier
 
notaire
1882
1884
Eugène Briguet
 
 
1884
1889
Albert Duplan
 
 
1889
1892
Grivel François
 
 
1892
1900
Charles Albert Besson
 
 
1900
1908
Michel Richard
 
 
1908
1910
Jean Giletto
 
 
1910
1912
Grivel François
 
 
1912
1916
Charles Clerc
 
notaire
1916
1919
Jacques Goy
 
faisant fonction
1919
1925
Jacques Goy
 
 
1925
1929
Gustave Goy
 
 
1929
1939
Paul Léger
SFIO
 
1939
1941
Jean Léger
 
 
1941
1944
Pierre Baud
 
 
1944
1945
Jean Léger
 
 
1945
mars 1961
(décès)

Camille Blanc

SFIO
Hôtelier
mars 1961
mars 1971
Jean Combet

SFIO puis PS
puis DVG
Ancien secrétaire général de mairie
Conseiller général du canton d'Évian-les-Bains (1964 → 1982)
mars 1971
mars 1977
Jacques Foch
 
 
mars 1977
juin 1995
Henri Buet

DVG
Retraité de la police
juin 1995
octobre 2018

Marc Francina

UMP-LR
Conseiller financier et bancaire retraité
Député de la 5e circonscription de la Haute-Savoie (2003 → 2017)
Conseiller général du canton d'Évian-les-Bains (1982 → 2003)
Président de la CC du Pays d'Évian (2005 → 2008)
10 novembre 2018[23]
 
Josiane Lei

LR
Infirmière
Conseillère départementale du canton d'Évian-les-Bains (depuis 2015)
Présidente de la Communauté de communes du pays d'Évian (depuis 2014)



Instances judiciaires et administratives |




Politique environnementale |




Jumelages |


Au 12 août 2014, les différents jumelages ou coopérations décentralisés de la ville sont[24] :




  • Drapeau de l'Allemagne Neckargemünd (Allemagne) depuis 1971 ;


  • Drapeau de l'Espagne Benicasim (Espagne) depuis 1991 ;


  • Drapeau du Japon Izumo (Japon) depuis 2002.


La commune a par ailleurs signé en 2000 un contrat de partenariat dans le domaine de la santé avec la commune russe d'Irkoutsk.



Population et société |



Démographie |



Évolution démographique |


Ses habitants sont les Évianaises et les Évianais[5].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].



En 2015, la commune comptait 8 968 habitants[Note 2], en augmentation de 10,14 % par rapport à 2010 (Haute-Savoie : +7,57 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
1 650 1 523 1 549 1 832 2 084 2 210 2 210 2 240 2 450



























1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
2 476 2 553 2 913 3 149 2 777 2 831 3 105 3 112 3 271



























1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
3 125 3 235 3 682 3 502 3 591 4 353 5 150 5 863 6 026



























1982 1990 1999 2005 2010 2015 - - -
6 018 6 895 7 273 7 787 8 142 8 968 - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


Évolution de la pyramide des âges de la ville d’Évian-les-Bains, comparaison entre l’année 1999 et 1982[29] :








































Pyramide des âges en 1999 en nbre d’individus.
Hommes Classe d’âge Femmes


214 

75 à plus

467 



378 

60 à 74

532 



916 

40 à 59

941 



997 

20 à 39

1 043 



912 

0 à 19

878 





































Pyramide des âges en 1982 en nbre d’individus.
Hommes Classe d’âge Femmes


138 

75 à plus

298 



328 

60 à 74

457 



634 

40 à 59

673 



970 

20 à 39

942 



818 

0 à 19

782 



Le nombre total de ménages à Évian-les-Bains est de 3 248. Ces ménages ne sont pas tous égaux en nombre d’individus. Certains de ces ménages comportent une personne, d’autres deux, trois, quatre, cinq voire plus de six personnes. Voici ci-dessous, les données en pourcentage de la répartition de ces ménages par rapport au nombre total de ménages.



































Les Ménages
Ménages de :
1 personne
2 pers.
3 pers.
4 pers.
5 pers.
6 pers. ou +

Évian-les-Bains
37,7 %
30,1 %
14,9 %
12,6 %
3,5 %
1,3 %

Moyenne Nationale
31 %
31,1 %
16,2 %
13,8 %
5,5 %
2,4 %
Sources des données : INSEE[30]



Enseignement |



  • École de la Détanche.

  • École des Hauts-d’Évian.

  • École du Centre.

  • École du Mur-Blanc.

  • Établissement privé Saint-Bruno.

  • Collège public Les-Rives-du-Léman.

  • Collège privé Saint-Bruno.


  • Lycée Anna-de-Noailles (en)

  • Le Jardin Expérimental et Culture de Sciences.



Manifestations culturelles et festivités |




  • Jazz à La Grange , festival de jazz se tenant à La Grange au Lac en décembre ;


  • Festival des Musiques et Instruments rares ayant lieu tous les deux ans ;

  • Fête de la Musique le 21 juin;


  • Rencontres musicales d'Évian, festival international de musique classique, se tenant à La Grange au Lac en juillet ;

  • L'Académie musicale d'Évian et son Festival (juillet) ;

  • Feux d’artifice, le 14 juillet (fête nationale) et le 15 août (libération d’Évian) ;

  • Estivales Théâtrales (août) ;

  • Rallye Famille (août);

  • Evian Tattoo Show, tatoueurs venus du monde entier (octobre);

  • Expositions temporaires au palais Lumière, toute l’année ;

  • Le Fabuleux Village ou La légende des flottins (manifestation hivernale de mise en scène de contes par des sculptures en bois).

  • Ensemble Hypermoderne

  • Marathon du piano, marathon des pianistes & des pâtissiers, de grands chefs pâtissiers réalisent une recette illustrée par des moments musicaux au piano[31].



Santé |




Sports et loisirs |



  • Sur le parcours de golf Evian Resort Golf Club le tournoi de golf féminin Evian Masters qui débute en 1994, a laissé place au 5ème Major de golf féminin en 2013 The Evian Championship. Ce tournoi fait partie du Grand Chelem du LPGA Tour.

  • Le club d’aviron fut connu par Samuel Barathay (champion du monde senior en 1993 en deux de couple associé à Yves Lamarque).

  • Club subaquatique d'Évian, créé en 1966[32]

  • Évian Thonon Gaillard Football Club

  • Durant l'Euro 2016, la ville a accueilli Équipe d'Allemagne de football

  • Coupe des Alpes: 200 voitures de rallye des années 50 à 80 partent d'Evian pour rejoindre la Méditerranée.

  • Bureau des guides d'Evian Alp'Evianature regroupant 11 professionnels avec le brevet d'état d'accompagnateur en montagne: randonnée à thème, balade en raquettes, soirées fondue, VTT, randonnée adaptée handisport, marche nordique, découverte de la faune et de la flore, kayak, patrimoine, Géopark, astronomie, yoga, plantes culinaires, parcours d'orientation, contes et légendes,...

  • Promenade, baignade, pique-nique dans le parc Dollfus; promenade, roller, vélo, trottinette, aires de jeux pour enfants, sur les quais.

  • Randonnées équestres au Manège Equi'libre Evian: école d'équitation, balades, chevaux en pension, poney-club, jeux équestres et stages.

  • Piscine, plages, thermes, ski nautique, aviron, canoë-kayak, voile, paddle, pédalo, mini-golf, skateparc, MJC, casino, cinéma, médiathèque, marchés, croisières, locations de bateaux au port de commerce, port de plaisance d'Evian.



Médias |



Radios et télévisions |


La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio, La Radio Plus et depuis 2015 la web radio Thonon Alpes Radio. Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement, l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes peuvent parfois relater les faits de vie de la commune. La commune possède aussi une chaîne en ligne Evian TV[33].



Presse et magazines |


La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Chablais, le Courrier savoyard.



Économie |



Revenus de la population et fiscalité |


En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 29 556 €[34].



Emploi |


Le taux de chômage, en 1999, pour la commune s'élève à 12,3 %[35], avec un nombre total de 423 chômeurs. Le taux d'activité entre 20 et 59 ans s'établit à 86 % ce qui est supérieur à la moyenne nationale qui est de 82,2 %. On comptait 47,4 % d'actifs contre 18,2 % de retraités dont le nombre est égal à la moyenne nationale (18,2 %). Il y avait 22,5 % de jeunes scolarisés et 11,9 % de personnes sans activité[35].



Répartition des emplois par domaine d'activité































 

Agriculteurs

Artisans, commerçants, chefs d'entreprise

Cadres, professions intellectuelles

Professions intermédiaires

Employés

Ouvriers

Évian-les-Bains
0,5 %
7,2 %
10,3 %
18,5 %
37 %
26,5 %

Moyenne nationale
2,4 %
6,4 %
12,1 %
22,1 %
29,9 %
27,1 %
Sources des données : INSEE[36]



Entreprises de l'agglomération |



  • L'usine d'embouteillage, située en réalité dans le village voisin d'Amphion-les-Bains, est la plus grande du monde avec 5 millions d'unités par jour. Elle peut être visitée, ce qui constitue pour la ville un tourisme industriel.

  • Le thermalisme : Évian, dont l'usine d'embouteillage a fait la renommée auprès du grand public, montre la double apparence d'une ville de cure traditionnelle (on y traite les problèmes d'urologie) et d'une station dynamique : elle joue la carte familiale avec un forfait « maman-bébé-équilibre » pour toutes les nouvelles mères de famille.

  • Évian (eau minérale)

  • Le casino d'Évian est classé 15e casino français en 2010[37].



Commerce |




Tourisme |


La commune est l'une des 48 du département à recevoir le label officiel de « commune touristique » mais aussi celui de « station classée de tourisme »[38].


En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 10 506 lits touristiques répartis dans 1 548 structures[Note 3]. Les hébergements se répartissent comme suit : 132 meublés ; 2 résidences de tourisme ; 14 hôtels ; 2 centres ou villages de vacances/auberges de jeunesse et trois chambres d'hôtes[39].



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |



  • Le palais Lumière, anciens thermes de la ville d'Évian  Inscrit MH (1986). Restauré, il a été rouvert en 2006, ayant retrouvé son dôme de métal et de verre. Il accueille aujourd'hui un centre culturel et de congrès.

  • L'ancienne buvette de la source Cachat  Inscrit MH (1986), symbole de l'Art nouveau, elle abrite le hall d'information des eaux minérales Évian.

  • La villa Lumière  Inscrit MH (1981), ancienne propriété de la famille Lumière (cf. Auguste et Louis Lumière), devenue la mairie de la ville.

  • Le château d'Évian[40] : disparu.

  • Le Casino d'Evian réalisé sur le site du château de Blonay.


  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption  Inscrit MH (1974), datant du XVe siècle et son clocher du XIIe siècle. Possède un tableau de Notre-Dame de Grâce du XVIe siècle. Le chemin de croix, au sommet de l'allée principale, a été dessiné par le peintre contemporain local Pierre Christin. Inscrite aux Monuments historiques depuis 1974[41].


  • Villa La Sapinière  Inscrit MH (1987)


  • La Grange au Lac, salle de concerts, réalisée en 1993 par l'architecte Patrick Bouchain sous l'impulsion de Antoine Riboud, alors président de BSN (futur Danone) pour le violoncelliste Mstislav Rostropovitch[42].

  • Le Théâtre municipal d'Évian-les-Bains, théâtre du Casino, néo-classique réalisé par un élève de Charles-Garnier.

  • Le funiculaire Evian-Neuvecelle, pièce rare du patrimoine ferroviaire européen, figurant parmi les 3 seuls survivants des funiculaires classés des XIXe et XXe siècles.




Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.




Patrimoine naturel |


En 1992 a été créée l’Association de protection de l’impluvium des eaux minérales d’Évian (APIEME), financée au tiers par les communes d’Évian-les-Bains, Publier, Neuvecelle et Maxilly, et aux deux tiers par la Société anonyme des eaux minérale d'Évian ; elle a pour objectif de protéger l’impluvium d’Évian (35 km2 de superficie), c’est-à-dire la partie du plateau de Gavot où tombent les eaux avant de se filtrer. Elle encourage notamment une agriculture biologique ou ne risquant pas de mettre en péril la qualité des eaux de ruissellement et d’alimentation du champ captant.


En octobre 2009, l’ensemble des 70 zones humides (de 1 à 24 hectares) du plateau de Gavot a été inscrit à la liste des zones humides d’importance internationale établie par la convention de Ramsar.



Espaces verts |



  • Évian est placée au premier rang des villes fleuries détenant quatre fleurs au classement national[43].

  • Le jardin d'eau de pré curieux, classé Jardin remarquable de France, et protégé en tant que site Ramsar, c'est-à-dire protégé par la convention de Ramsar.

  • Les parcs et jardins (15 ha) des hôtels Royal et Ermitage sont les premiers espaces verts privés écolabélisés sous le label Eve® d'ECOCERT en novembre 2010.



Promenades |



  • La promenade aménagée, et le port de plaisance.

  • La buvette de la source Cachat.



Livres et films |



  • C'est à Évian que, lors de son voyage de noces, Victor Frankenstein, dans le roman de Mary Shelley, ne peut empêcher le monstre qu'il a créé d'étrangler sa jeune épouse Elizabeth.

  • L’Hôtel Royal et ses abords sont le lieu de tournage d'une grande partie du film humoristique Drôles de zèbres, réalisé par Guy Lux et sorti en 1977.



Personnalités liées à la commune |




Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Naissance à Évian-les-Bains.




  • Professeur Léon Binet, auteur d’Évian lieu de santé (éditions Plon, 1966).


  • Camille Blanc, maire d'Evian, ancien résistant, membre de la SFIO, pacifiste, victime d'un attentat commandité par l'OAS pour son engagement favorable à la paix et l'indépendance de l'Algérie (les accords d'Evian).


  • Bernard Cahier (né en 1927 à Marseille, mort le 10 juillet 2008 à Évian) était un journaliste et photographe français. Figure du paddock de la Formule 1 des années 1950, 1960 et 1970, ses clichés illustrent la plupart des ouvrages de référence sur l'histoire de la discipline.


  • Pierre Louis Dupas, né à Évian le 13 février 1761, général de division, comte de l'Empire, décédé le 6 mars 1823 à Ferney.


  • Johann Durand, gardien de but de l'E.T.G F.C.


  • Anna de Noailles, femme de lettres, poétesse.


  • André Simon, pilote de voiture de course français.


  • Jean Galland, acteur, y est décédé le 18 juillet 1967.


  • Antoine Riboud, ancien PDG du groupe BSN-Danone.


  • Peggy Bouchet, née à Evian, première femme à traverser l'Atlantique à la rame, auteure de Ma victoire sur l'Atlantique (éditions le Cherche midi, 2000) et Oser toujours, Céder Parfois, Renoncer Jamais (éditions Chêne, 2015).



Héraldique |







Armes d'Évian-les-Bains


Les armes d'Évian-les-Bains se blasonnent ainsi : D'azur à une truite d'argent engoulant par le milieu du corps un vangeron du même, au chef cousu de Savoie (de gueules à la croix d'argent)[44] ou D’azur à la truite d’argent posée en fasce engoulant par le milieu un petit poisson du même ; au chef cousu de gueules à la croix d’argent[45].


On sait très peu de chose sur ce blason. L'ancien blason de la ville représentait, sous la couronne ducale, une croix de Savoie accompagnant un poisson portant en travers dans sa gueule un petit poisson perpendiculaire. Les armes sont déjà présentes dans l'Armorial de Vanhelmont (vers 1772)[45]. La présence du poisson doit être lié au lac « et l’importance de la pêche dans la vie économique aux époques médiévales et modernes »[45].


La devise de la ville était Deo et duci fidelis perpetuo (en français : « À Dieu et au duc fidélité perpétuelle »). Néanmoins, une devise populaire de la ville est inspirée des poissons présents sur le blason : « sur terre comme dans les eaux, les petits sont mangés par les gros ; mais à Évian, les petits se mettent en travers »[45]. L'emblème de la ville d'Évian a néanmoins été changé en 2001 et réactualisé en 2018[46] et représente désormais une femme nue, inspirée d'un tableau, dans la veine des nus bleus dHenri Matisse, que le peintre Daniel Dodet a offert à la ville après une exposition au palais des Festivités.

Certains ont voulu voir un rémora dans le gros poisson et une représentation métaphorique en raison d'une ancienne devise UTINAM REMORA ! (Puissé-je être le rémora !). Or le rémora, poisson anciennement mal connu avait surtout la réputation d'obstacle (selon le sens également du latin remora) (cf la maxime de La Rochefoucauld concernant la paresse : « C'est la rémore qui force d'arrêter les plus grands vaisseaux ») et donc sur le blason, s'il y a rémora, ce n'est certainement pas ce gros qui ne freine rien, mais plutôt le petit qui lui fait obstacle, en accord avec la phrase citée ci-dessus.







Voir aussi |



Bibliographie |



  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Roanne, Éditions Horvath, 1980, 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0), p. 351-355, « Le canton d'Evian-les-Bains », 357-373 « Évian-les-Bains ».


Articles connexes |



  • Liste des communes de la Haute-Savoie

  • Liste des stations thermales françaises



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Site de la mairie

  • Site de l'office du tourisme


  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d’autorité international virtuel • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation

  • Ressources relatives à la géographie : archINFORM • GeoNames • Insee (communes)Voir et modifier les données sur Wikidata



Notes et références |



Notes |




  1. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[14],[15].


  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.


  3. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[39].



Références |





  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].


  2. Base de données météo et observations temps réelle par Méteociel et Météo France


  3. Ne pas confondre avec la Savoie de la CGN.


  4. a b c et dDonnées INSEE compulsées par le JDN - Évian-les-Bains


  5. a et b« Evian-les-Bains », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le 11 octobre 2015), Ressources - Les communes.


  6. a b c d e et fHenry Suter, « Evian-les-Bains », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en octobre 2014).


  7. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979(ISBN 2-85023-076-6), p. 278a


  8. ibidem


  9. Site du CNRTL : étymologie de eau [1]


  10. Site du CNRTL : étymologie de évier [2]


  11. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie - Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, 2012, 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 17
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.



  12. Epaone serait l'ancienne cité d'Evian


  13. a b c et dRuth Mariotte Löber, Ville et seigneurie : Les chartes de franchises des comtes de Savoie, fin XIIe siècle-1343, Librairie Droz - Académie florimontane, 1973, 266 p. (ISBN 978-2-60004-503-2, lire en ligne), p. 128-131, « Évian-les-Bains ».


  14. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, 1932, p. 98


  15. Paul Guichonnet, Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Le Messager-Horvath, 1982, 354 p. (ISBN 2-858-82536-X), p. 163.


  16. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, 1860, 152 p. (lire en ligne).


  17. Paul Guichonnet, Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Le Messager-Horvath, 1982, 354 p. (ISBN 2-858-82536-X), p. 167.


  18. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, 2007, 399 p. (lire en ligne), p. 18.


  19. Les accords du 18 mars 1962 sur le site de la présidence algérienne, consulté le 18 mars 2011


  20. Les accords au JORF du 20 mars 1962, sur le site Légifrance


  21. http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/03/30/il-y-a-50-ans-le-maire-d-evian-etait-victime-de-l-oas?image=6D087E75-060E-442C-8F9A-6FC1CC75E0F1


  22. a b c et d« Liste des maires depuis 1860 », sur le site citedevian.fr.


  23. La Rédaction, « Josiane Lei élue maire d'Evian après le décès de Marc Francina », Le Dauphiné libéré,‎ 10 novembre 2018(lire en ligne).



  24. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté en août 2014).



  25. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  26. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.


  29. Recensement de l’Insee en 1999 - Population totale par sexe et âge


  30. Données démographiques cités par le l’JDN


  31. « Initiative : Festival de piano et de pâtisserie ! », La Toque Magazine,‎ 2017(lire en ligne)


  32. Club subaquatique d'Évian


  33. Site d'Evian TV.


  34. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le 24 mars 2017)


  35. a et bDonnées INSEE cités par le JDN - Emploi


  36. Données démographiques d'après l'INSEE citées par le JDN


  37. http://www.lescasinos.org/actualites.php?id=2744


  38. « Communes touristiques et stations classées de tourisme », Accueil du portail > Tourisme > Territoires, sur site de la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services - site entreprises.gouv.fr (consulté le 27 septembre 2015). [PDF] « Liste des communes ou regroupement bénéficiant de la dénomination de commune touristique ou de groupement de communes touristiques » (2012) et « Liste des communes classées station de tourisme » (2009 à 2015).


  39. a et b« La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, 19 décembre 2014(consulté en janvier 2015) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».


  40. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance. Collection L'amateur Averti, 2005, 410 p. (ISBN 978-2-8426-5326-2), p. 74-77.


  41. « Église », notice no PA00118394, base Mérimée, ministère français de la Culture


  42. « Rostropovitch à Évian », L'Express,‎ 13 mai 1995 (Article en ligne, consultez en ligne le 11 septembre 2012).


  43. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le 20 juillet 2014).


  44. Armorial d'Évian-les-Bains sur armorialdefrance.fr.


  45. a b c et dExposition « D'or, de gueules et d'argent, les armoiries communales en Haute-Savoie », présentation sur le portail des Archives départementales de la Haute-Savoie - archives.hautesavoie.fr, diapo n°7, 2016.


  46. source Cité d'Evian





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