École maternelle en France




En France, l’école maternelle est destinée aux enfants des classes de toute petite section (à partir de deux ans ou plus, selon les secteurs) jusqu'à la grande section. Gratuite et facultative, elle scolarise en 2014, 11,8 % des enfants de deux ans et la quasi-totalité des enfants de trois à cinq ans.
On peut retrouver actuellement en France 15 079 écoles maternelles publiques, ainsi que 137 maternelles privées. Le cycle maternel constitue un élément important du système éducatif français et se donne pour but d'assurer l'éveil et la socialisation des jeunes enfants. Le gouvernement a annoncé le fin de mars 2018 que l'âge de l'instruction obligatoire sera baissé de 6 à 3 ans depuis la rentrée 2019[1].




L'école des filles et la « salle d'asile » à Haironville.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Les initiatives du XVIIIe siècle


    • 1.2 De la salle d'asile du XIXe siècle à l'école maternelle.


    • 1.3 Les écoles maternelles




  • 2 Organisation


  • 3 Programmes


    • 3.1 Cycle 1 ou cycle des apprentissages premiers




  • 4 Controverse


  • 5 Appellations


  • 6 Pour approfondir


    • 6.1 Bibliographie


    • 6.2 Articles connexes


    • 6.3 Liens externes




  • 7 Notes et références


    • 7.1 Notes


    • 7.2 Références







Histoire |



Les initiatives du XVIIIe siècle |




Une « salle d'asile » à Trondes.


Les premiers lieux d'accueil de très jeunes enfants ouvrent dès la fin du XVIIIe siècle avec des initiatives comme celle du pasteur Jean-Frédéric Oberlin qui crée dès 1771 une « école de tricots » dans les Vosges. Les autres créations sont plus proches des actuelles garderies. Ce type d'école se développe surtout au début du XIXe siècle avec la révolution industrielle. Leur vocation première est essentiellement sociale : il s'agit d'offrir un lieu de protection aux enfants des ouvrières, afin de les soustraire aux dangers de la rue. C'est pourquoi la maternelle est d'abord nommée « salle d'asile » ou « salle d'hospitalité » comme celle fondée par Adélaïde Piscatory de Vaufreland, marquise de Pastoret.



De la salle d'asile du XIXe siècle à l'école maternelle. |


Dans les années 1810-1820, le modèle des infant schools du Royaume-Uni inspire des pionnières comme Émilie Oberkampf. Cette dernière réunit à partir de 1826 d'autres femmes désireuses de propager ces établissements et ouvrent la première salle d'asile parisienne en 1828. En 1831, un « cours normal pour la formation des éducatrices » est créé. Dans les années suivantes, les salles d'asile évoluent dans un sens plus pédagogique. En 1836, elles sont soumises au ministère de l'Instruction publique et se voient dotées d'un statut l'année suivante. La loi Falloux (1850) leur consacre trois courts articles, qui marquent la volonté de laisser une grande liberté aux salles d'asile privées, d'organiser le contrôle de l'État sur elles et de les intégrer dans le système scolaire en n'hésitant pas à employer le terme de programmes. L'année 1881 marque de nombreux changements concernant l'enseignement. En effet, en 1881 les salles d'asiles sont remplacées par les premières écoles maternelles et le personnel est remplacé par des institutrices formées spécifiquement pour l'enseignement en école élémentaire. La loi du 16 juin 1881, proposée par Jules Ferry et défendue par le ministère de l'instruction publique, rend l'école publique et laïque[2]. Le décret du 2 août 1881 donne pour mission principale à l'école maternelle d'offrir la possibilité aux enfants d'obtenir les soins nécessaire à leur développement physique, moral et intellectuel[3]. Le 28 mars 1882 une loi est créée afin de rendre l'enseignement obligatoire pour les enfants de 6 à 13 ans[4].



Les écoles maternelles |


Pendant la Troisième République, l'école maternelle est sous l'autorité de Pauline Kergomard qui en est la première inspectrice générale. Celle-ci s'oppose à la tendance qui veut faire de ces écoles des lieux d'instruction à part entière, voulant plutôt favoriser le « développement naturel » de l'enfant.


Les maternelles ont dès l'origine été conçues comme devant accueillir les enfants des deux sexes et constituaient ainsi les seules écoles à pratiquer la mixité, longtemps refusée pour les autres niveaux d'enseignement. Quant aux adultes chargés de s'occuper des enfants de ces écoles, il s'agissait exclusivement de femmes.


En 2013, 82 % des enseignants de l'école primaire (élémentaire + maternelle) sont des femmes[5],[6].


En 2006-2007, 23,4 % des enfants de deux ans étaient scolarisés en France (182 021 élèves), selon le ministère, contre 35,3 % en 2000-2001, selon le magazine L'Express, le 17 septembre 2008[7].


Selon le ministère, l'école maternelle scolarise en 2012, 11 % des enfants de 2 ans et la quasi-totalité des enfants de 3 à 5 ans[8].


En 2013 il augmente de 11,9 %, pour ensuite régresser à 11,8 % en 2014[9]. En 2015 il en est de 11,5 %[10].



Organisation |


L'école maternelle est destinée aux jeunes enfants de trois (parfois deux) à cinq ans. Elle comprend traditionnellement trois classes : la petite section (PS), la moyenne section (MS) et la grande section (GS), et compte aussi parfois une toute petite section (TPS) pour les enfants de moins de 3 ans. Sa fréquentation est optionnelle, l'instructionl des enfants n'étant obligatoire qu'à partir de 6 ans. En ce sens, un enfant qui fête son sixième anniversaire en école maternelle voit son instruction devenir immédiatement obligatoire. Elle est ouverte à tous les enfants résidant en France, et donc indépendamment de leur nationalité[Note 1].


Les classes de très petite (TPS), petite (PS), moyenne (MS) et grande (GS) sections forment le « cycle des apprentissages premiers ». Depuis la Loi d'orientation de 1989, la classe de grande section appartient à la fois au « cycle des apprentissages premiers » se déroulant à l'école maternelle et au « cycle des apprentissages fondamentaux » qui regroupe aussi le cours préparatoire (CP) et le cours élémentaire 1re année (CE1) de l'école élémentaire[11].


Juridiquement, les écoles maternelles ne sont pas des établissements publics autonomes. Elles n'ont pas de budget de fonctionnement comme les établissements publics locaux d'enseignement (EPLE), collèges et lycées. Le personnel enseignant, ainsi que les aides-éducateurs et assistants d'éducation, dépendent de l'Éducation nationale. Les agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (ATSEM) dépendent de la mairie. La commune a la responsabilité des bâtiments et finance les dépenses matérielles.


Les enseignants appartiennent aux mêmes corps - celui des instituteurs (catégorie B) aujourd'hui en extinction et celui des professeurs des écoles (catégorie A) - que ceux exerçant dans les écoles élémentaires. Les écoles maternelles sont regroupées avec les écoles élémentaires au sein de circonscriptions dirigées par un Inspecteur de l'Éducation nationale (IEN). Celui-ci procède, entre autres tâches, à l'évaluation des enseignants des écoles de sa circonscription. La législation impose la présence d'un agent territorial spécialisé des écoles maternelles (ATSEM) pour chaque classe de maternelle (les municipalités restant libres d'apprécier le taux de classes par ATSEM). Cependant, un ATSEM pour deux classes étant la norme la plus souvent utilisée, parfois, on trouve un de ces agents de catégorie C dans chaque classe pour assister l'enseignant. Ces titulaires du CAP petite enfance sont des agents territoriaux, salariés de la commune d'implantation de l'école, qui sont chargés d'assister les enseignants dans les activités pédagogiques (sans jamais les remplacer), d'aider les enfants dans leurs activités de la vie quotidienne (repas, hygiène, etc.) et d'aider à la préparation (ou à la remise en état) matérielle des activités.


Il n'y a pas une ATSEM par classe en maternelle, la présence d'une ATSEM est seulement obligatoire en petite section (PS) et TPS.


Si le directeur n'est pas le supérieur hiérarchique du personnel enseignant, il est souvent président de la coopérative de l'école à laquelle cotisent les parents - de façon volontaire et sans obligation suivant le principe de gratuité de l'école, - et la mairie et qui, avec un budget limité, permet de financer des projets.


Depuis la réforme sur les rythmes scolaire de 2013 imposée par la loi (Décret no 2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l'organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires)[1], des temps d'activités périscolaires (TAP) ont été mis en place en école maternelle et élémentaire et sont organisées par la commune. Mais cela n'est pas en appliqué dans la totalité des écoles. Souvent, pour les élèves de maternelle, les écoles remplacent ces temps d'activités par le temps de sieste mais certaines adaptent les deux. Le temps conseillé pour ces activités est d'environ une demi-heure en début d'après-midi et varie selon la fatigue des enfants. Les activités proposées ne sont pas en lien avec l'apprentissage mais sont plus tournées vers les loisirs (danse, chant, jeux, promenades, etc.) cela permet d'alléger le rythme de la semaine des élèves[12].


En septembre 2016, de nouveaux programmes scolaires seront mis en application et les cycles d'apprentissages seront remaniés. En effet le cycle 1, appelé "cycle des apprentissages premiers" regroupera les classes de toute petite, petite, moyenne et grande section. Le cycle 2 dénommé " cycle des apprentissages fondamentaux" regroupera les classes de cours préparatoire, cours élémentaire de première et deuxième année. Le cycle 3 appelé "cycle de consolidation" regroupera le cours moyen de première et de deuxième année ainsi que la 6e. Le dernier cycle est le cycle d'approfondissement et regroupera les dernières classes de collège[13].



Programmes |


Note : Les programmes étant susceptibles de changer, les informations de cette section sont données à titre indicatif et ne sont que les grandes lignes des programmes, qui sont le plus souvent conservées lors des modifications des programmes.
[14]


Depuis le décret du 6 septembre 1990, à la suite de la loi d'orientation de 1989, l'enseignement primaire est organisé en trois cycles pluri-annuels, des objectifs devant être atteints non plus à la fin d'une année scolaire, comme auparavant, mais en fin de cycle.


L'école maternelle est concernée par deux cycles : le cycle 1 ou cycle des apprentissages premiers pour son ensemble, et le cycle 2 ou cycle des apprentissages fondamentaux pour la GS uniquement — ce cycle inclut aussi les deux premiers niveaux de l'école élémentaire : les cours préparatoire et élémentaire niveau 1 (CP-CE1). En septembre 2016, l'école maternelle ne sera alors plus que constitué d'un seul cycle, le « cycle des apprentissages premiers » composé de la TPS, la PS, la MS et la GS[15].


Note : La grande section de l'école maternelle est donc à cheval sur deux cycles.


L'enfant dispose de trois ans pour acquérir l'ensemble des compétences du cycle considéré. Par exemple, un élève entrant en cycle 2 aura trois ans pour acquérir une lecture courante, ainsi qu'une compréhension explicite de textes. Cet apprentissage, réparti sur l'ensemble du cycle, peut être en voie d'acquisition dès la grande section, pour les plus matures ; durant le cours préparatoire pour la plus grande partie des élèves ; pour certains enfants, cet apprentissage n'est parfois possible que durant l'année de CE1.



Cycle 1 ou cycle des apprentissages premiers |


Niveaux concernés : l'ensemble de la maternelle (TPS-PS-MS-GS).


Le bulletin officiel spécial n°2 du 26 mars 2015 est consacré au programme d'enseignement de l'école maternelle, entré en vigueur à la rentrée scolaire 2015[16].


L'enseignement en cycle 1 s'organise autour de 5 grands domaines d'apprentissage :



  • Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions ;

  • Agir, s'exprimer, comprendre à travers les activités physiques ;

  • Agir, s'exprimer comprendre à travers les activités artistiques ;

  • Construire les premiers outils pour structurer sa pensée ;

  • Explorer le monde


L'école maternelle constitue une phase essentielle dans le processus d'apprentissage puisque les enfants découvrent et s'initient progressivement aux bases du travail effectué en classe préparatoire et puisqu'il constitue le premier pas de l'enfant dans le processus d'apprentissage[17].


La réforme introduite par la Loi d'orientation de 1989, guidée, d'une part, par une volonté d'industrialiser les processus d'éducation et de systématiser l'évaluation, et d'autre part, de satisfaire les attentes en matière de performance et de précocité, n'a pas eu les résultats attendus, les troubles de l'apprentissage et l'échec scolaire ayant nettement progressé



Controverse |


L'école maternelle fait l'objet de critiques, notamment :



  • sur le plan éducatif : un rapport du Haut Conseil de l'éducation, publié vers 2007, met en cause l'école maternelle dans l'échec scolaire à l'école primaire ;

  • sur le plan économique, le 3 juillet 2008, le ministre de l'Éducation nationale Xavier Darcos a déclaré devant la Commission des finances du Sénat, concernant la préscolarisation des enfants de moins de trois ans : « Est-ce qu'il est vraiment logique, alors que nous sommes si soucieux de la bonne utilisation des crédits de l'État, que nous fassions passer des concours à bac +5 à des personnes dont la fonction va être essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches ? Je me pose la question, ces personnes ayant la même compétence par exemple que si elles étaient institutrices en CM2 »[7]. Ce qui a entraîné un débat, relayé par la publication d'au moins un ouvrage, sur l'éventuelle suppression de l'école maternelle[18].


Les défenseurs de l'école maternelle mettent en avant plusieurs arguments :



  • d'un point de vue éducatif : ils mettent en avant la qualité de l'enseignement apporté (socialisation, langage, développement de compétences, etc.) ;

  • d'un point de vue physiologique : pour entrer en maternelle, l'enfant ne porte en général plus de couches. Les enseignants n'ont donc pas à les changer. Les enfants « peuvent également être admis dans la limite des places disponibles s'ils ont atteint l'âge de deux ans au jour de la rentrée scolaire, à condition qu'ils soient physiquement et psychologiquement prêts à la fréquenter ». La propreté peut être un élément de refus de l'enfant en maternelle (mais en aucun cas le seul) ;

  • d'un point de vue économique : ils mettent en avant le coût de garde des enfants, qui serait moindre pour la collectivité à l'école qu'avec d'autres modes de garde[réf. nécessaire].



Appellations |


La scolarité primaire se déroule à l'école maternelle puis à l'école élémentaire, chaque structure étant placée sous la responsabilité d'un directeur d'école ou bien les deux structures étant regroupées sous l'appellation « école primaire » et placées sous la responsabilité d'un seul directeur. Dans l'enseignement privé, toutes les écoles sont des écoles primaires.


Une « école d'application » est une école élémentaire ou maternelle comme une autre, qui participe en plus à la formation des futurs Instituteurs (professeurs des écoles). Les écoles d'application étaient rattachées jusqu'en 1991 aux écoles normales d'instituteurs et les étudiants y « appliquaient » (mettaient en pratique), sous la direction des maîtres d'application qui y enseignaient, ce qu'ils apprenaient en théorie à l'école normale. Les écoles normales d'instituteurs ont été remplacées en 1991 par les Instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) qui leur ressemblaient, mais qui depuis 2010 fonctionnent différemment. En 2011, les écoles d'application existent toujours, de même que les maîtres d'application (désormais appelés "maîtres formateurs") qui y enseignent. Ce sont des maîtres qui possèdent une qualification certifiée de formateur, qui ont une classe comme les autres mais qui accueillent régulièrement dans leur classe des futurs professeurs des écoles en stage. Ils sont déchargés de classe une partie de leur temps de service sur lequel ils vont visiter leurs étudiants dans d'autres écoles où ils effectuent des stages en responsabilité. Ils leur donnent des cours alliant théorie et pratique, les conseillent et les évaluent. Ce sont en général des maîtres chevronnés, à la pointe de la pédagogie, des maîtres « modèles ». En 2013, les IUFM sont remplacés par les ESPE (Écoles Supérieures du Professorat et de l'Éducation).



Pour approfondir |



Bibliographie |




Articles connexes |



  • École

  • Assurance scolaire

  • École primaire en France

  • École élémentaire en France



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Sur education.gouv.fr

    • « Horaires et programmes d'enseignement de l'école primaire - Bulletin Officiel hors-série no 3 du 19 juin 2008 », sur Éducation nationale

    • « Annuaire de l'Éducation Nationale pour trouver son école », sur Éducation nationale

    • « La présentation du programme à l'école maternelle », sur Éducation nationale, juin 2016(consulté le 3 août 2016)




  • Considérations sur les salles d'asile - M. Edom (Inspecteur de l'académie), Le Mans : C. Richelet, 1840



Notes et références |



Notes |




  1. Les lois françaises s'appliquent aux 66 317 994 habitants de la France, quelles que soient leur nationalité.



Références |




  1. « La scolarité sera obligatoire dès 3 ans à partir de la rentrée 2019 », L'Obs, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne)


  2. « Histoire de l'école maternelle en France- Pédagogie - Direction des services départementaux de l’éducation nationale du 86 - Pédagogie - Académie de Poitiers », sur ww2.ac-poitiers.fr (consulté le 4 avril 2016)


  3. Pauline Kergomard, « Maternelles (écoles) », sur www.inrp.fr (consulté le 4 avril 2016)


  4. « Chronologie,.  L'enseignement du premier degré. Politiques publiques - repères - vie-publique.fr », sur www.vie-publique.fr, 21 octobre 2014(consulté le 4 avril 2016)



  5. « Que de(s) femmes! », sur le blog de Claude Lelièvre, 9 septembre 2013(consulté en 21 février 201().




  6. « Y a-t-il trop de femmes dans l'enseignement ? », sur le site du magazine L'Express, 9 septembre 2011(consulté le 21 février 2015).



  7. a et b
    « Sur la maternelle, Darcos en remet une couche », sur le site du magazine L'Express, 17 septembre 2008(consulté le 21 février 2015).




  8. « L'école maternelle : rôle, programme... », sur le site du ministère de l’Éducation nationale, juin 2014(consulté le 21 février 2015).



  9. « Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche », sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le 5 avril 2016)


  10. « Les élèves du premier degré à la rentrée 2015 : forte baisse des taux de redoublement », sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le 5 avril 2016)



  11. « Présentation de l'école primaire », sur le portail national des professionnels de l'éducation sur le site du ministère de l’Éducation nationale, 21 octobre 2013(consulté le 21 février 2015).



  12. Ministère de l'Éducation Nationale ; Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche ; Académie de Poitier : "Mise en place des rythmes scolaires à l’école maternelle".

    http://www.ia86.ac-poitiers.fr/medias/fichier/me-769-mo-rythmes-scolaires-en-maternelle-_1383726302471.pdf



  13. « L'école maternelle », sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le 4 avril 2016)


  14. Bulletin officiel de l'Éducation nationale HS1, 14 février 2002.


  15. « Programme d'enseignement de l'école maternelle : arrêté du 18-2-2015 — J.O. du 12-3-2015 (NOR : MENE1504759A) », sur BOEN, 26 mars 2015(consulté le 3 août 2016)


  16. Ministère de l'Éducation nationale, « Au BO spécial du 26 mars 2015 : programme d'enseignement de l'école maternelle », sur education.gouv.fr (consulté le 19 décembre 2017).


  17. Naïl Ver, Adeline Paul et Farid Malki, Professeur des écoles : droits, responsabilités, carrière, Retz Éditions, 2014, 223 p.


  18. Julien Dazay, Il faut fermer les écoles maternelles. Le plaidoyer d’un inspecteur de l’Éducation nationale, mars 2008















































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